Exister Est Ce Seulement Vivre

apprendre à vivre ? » est la question de Constantin. La vie étonne ; insaisissable, elle crée, fait sans cesse événement. Pourtant, des lois la comprennent : la physiologie, la biochimie, la génétique rendent compte de son fonctionnement. Mais cela est superficiel : apprendre à vivre, n’est pas apprendre les lois de la vie, ni faire de la biologie. Apprendre à vivre, si cela est possible, ce serait apprendre à vivre sa vie. Recevoir, d’un autre, les recommandations nécessaires pour exister, pour se

compatibles pour la vie humaine. Chaque élément qui conçoivent l’univers doivent être adapté pour qu’un homme munit d’une conscience et d’une intelligence puissent y vivre, donc «des atomes, des étoiles, des galaxies et des lois physiques. » (p.92 ligne 10) Si un élément était incompatible pour les êtres humains, il y serait impossible d’y vivre par exemple, si l’univers était plus chaud ou bien plus froid. Le principe anthropique faible est tellement simple, au point ou tous les scientifiques l’acceptent

finirait par commander le faible, et créerait forcément des lois que le faible serait obligé d’obéir. Il ne peut donc exister de sociétés sans lois. D’ailleurs, en reprenant les faits historiques, les sociétés ont toutes été conçues par la force des vainqueurs. Il s’établit logiquement et naturellement des lois. Alors que nous venons de considérer que les lois ne sont pas seulement nécessairement mais naturellement conçues par l’homme, nous devons définir les différents types et rôles des lois.

Le plaisir de vivre : Plaisir définition : Cessation de la douleur, du manque, du désir. Vive : Etat d’éxistence, éxister, demeurer. Le plaisir de vivre, existe-il ? Oui il existe et aucun philosophe ne le rejette. Les trois grands sages de l’antiquité que sont Platon, Aristote et Epicure se sont penchés sur la question. Le plaisir de vivre est bel et bien réel cependant l’accès à celui-ci n’en est que plus compliqué. « N’est-il vrai que, nous autres hommes, désirons tous être heureux » écrivait

« Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure. » A. Einstein Pour chaque action que nous effectuons nous avons une motivation. Cette motivation peut être d’ordre intérieur, c’est-à-dire qui vient de nous, ou d’ordre extérieur, c’est-à-dire qu’elle vient de facteurs qui se trouvent dans notre environnement. D’après Albert Einstein ces motivations, qu’elles soient

appliquées par la Justice, mais on peut aussi entendre les lois naturelles, autrement dit les lois qui régissent la Nature. Ainsi, la question posée est de savoir si la liberté est assurée par la loi ou si, dans le cas contraire, la liberté peut exister en dehors du cadre de la loi, qui, initialement, restreint les libertés individuelles. En effet, en dehors du cadre de la loi, un individu n’est plus soumis aux normes et aux principes de cette dernière. Mais si la liberté se définie par une absence

VII et plus précisément, sur l’allégorie de la caverne. Dans cette allégorie, il présente l’enseignement qui doit être dispensé au philosophe et à la difficulté qui existe entre apprenants et enseignements. L’allégorie de la caverne a beaucoup de lien avec la société que nous tentons de construire présentement. Les enjeux du vivre-ensemble, de la justice, de l’éducation, de la politique sont présents autant de la caverne que dans notre vie de tous les jours. La question que nous posons est la

tableau, et que je l'efface, il n'existe plus mais l'essence du cercle persiste. 1) L'essence d'une chose ne me dit pas que telle chose existe. On ne peut donc pas déduire une existence de son essence. Pour Descartes, l'essence de Dieu est d'être parfait. L'imperfection est selon lui une imperfection. Comme j'ai l'idée de Dieu dans mon esprit, Dieu par définition existe. Cet argument est appelé l'argument ontologique. Du grec on, « étant », participe présent du verbe einai « être ». Kant réfute l'argument

Exister, est-ce simplement vivre ? Dans le langage courant, il nous arrive fréquemment d'utiliser des mots pour d'autre, ou d'en donner une définition commune, alors que ces termes sont extrêmement différents. C'est le cas pour les mots exister et vivre. Tout deux peuvent être utilisés comme des synonymes, mais diffèrent profondément dans leur sens. Ainsi nous pourrions nous poser la question de leur égalité: exister, est-ce simplement vivre ? L'emploi du « simplement » préfigure donc que vivre

l'assouvissement de tous nos désirs et la notion de règle ? Ce serait alors une illusion d’avoir comme règle de vie l’idée d’accomplir tous nos désirs. Seulement il n'est pas cependant exclure que l'on puisse accomplir certains de nos désirs qui soit plus cohérents, en accord avec une bonne règle de vie et un respect mutuel entre les hommes. Vivre en société, c'est, en effet, apprendre à renoncer à certains de ses désirs. Dans un premier temps, nous allons voir ce qu'est le désir, et qu'il faut classer