Exorde

.......... EN GUISE D’INTRODUCTION : « IDÉE SUR LES ROMANS »……......................................... LES TROIS VERSIONS…….....................................…….............................................................. L’ANALYSE DES TROIS EXORDES…….....................................……...................................... VERS UNE DÉFINITION DU TRAGIQUE…….......................................................................... L’HUMANISME SADIEN…….....................................……

dans une longue tirade la corruption des nobles et la décadence de l’Espagne. (PB-AXES- I- Un réquisitoire II- la figure du héros romantique) I- Un réquisitoire a-Une dénonciation de la corruption 1) « Apostrophes et » ironie - Exorde (= début d'un discours) : "Bon appétit" => métaphore = représente l'envie des ministres de voler l'état partage du gâteau métaphore du festin qu’on partage. -Il détourne l’emploie de bon appétit  subvertion mot convivial  utilisé ici pour critiquer

affirme que le conjuré mérite la mort (§2) et il en apporte des preuves par l'exemple (§3) avant de conclure qu'il est urgent d'agir (dernière phrase). Cicéron ne laisse ainsi aucune place au doute et entend, par là, emporter l'adhésion de tous. Cet exorde, nous allons le voir, a pour objectif d'intimider Catilina et de lui signifier qu'il ne lui reste plus qu'à quitter Rome puisque tout est découvert. C'est l'occasion, pour Cicéron, de brosser un portrait en creux de cet homme dangereux, cet homme

ministres -RB va utiliser une argumentation structurée en 5 étapes 1) exorde 2) dénonciation des abus de pouvoir 3) conséquences néfastes de la corruption 4) éloge du peuple 5) description de la société en crise 1) EXORDE: èvers 1057 à 1059 Bon appétit, messieurs ! – Ô ministres intègres ! Conseillers vertueux RB commence par un exorde : +=une introduction ou une entrée en matière d'un discours ou d'une œuvre

OBJET D ETUDE : LE THEATRE DU XVII AU XXI (VERS LA LITTERATURE D’IDEES)SEQUENCE 2 : O.I. L’ILE DES ESCLAVES (1725) DE MARIVAUX (1688-1763)COMMENT UNE COMEDIE PEUT-ELLE FAIRE REFLECHIR A DE NOUVEAUX RAPPORTS SOCIEUX ?TEXTE 2 : 2, Le discours de TrivelinSEANCE 1 :Nouvel extrait et repérages préliminairesETAPE 1 : (Identique au commentaire) · externalisation des connaissances à l’aide du paratexte : Le mouvement (= contexte culturel de l’auteur)

la fin de sa vie que cet homme, rattaché par son histoire personnelle et familiale aux deux grandes dynasties et à la tradition des Grands d’Eglise soutien du trône, rédige ce poème politique, qui par bien des aspects peut être vu comme une exorde adressée au roi Robert. La situation de la toute nouvelle royauté est, en effet, critique dans ces années 1020. Le pouvoir royal est complètement affaibli et a perdu toute autorité. Le propre père de Robert, Hugues Capet, est arrivé sur le trône

3)Déterminisme social C)Rencontre entre deux mondes 1-Regards croisés 2)Regard : miroir de l’âme, empathie du poète 3)Regard du poète : ma pensée II)L’indifférence de la femme A)Insensibilité 1)Discours direct 2)Exorde B)Dualité des sentiments 1)Attente du poète > Burlesque C)Réquisitoire 1)Exorde + péroraison 2)Analepse 3)Famille d’yeux 
 Francis Ponge, le plat de poissons frits Intro : À travers le Parti pris des choses, Ponge, dont la notoriété débute grâce à un élogieux article de Sartre, vise à

il vise un public intéressé au libertinage philosophique qu’il tente de ramener vers une morale plus mesurée et raisonnable. La satire est composée d’alexandrins aux rime suivies. - mouvements du texte :1) v. 1 à 4, exorde sur la folie universelle2) v. 5 à 18, un 1er couple antithétique, le pédant et le galant3) v. 19 à 28, un 2ème couple, le dévot et le libertin4) v. 29 à 34, péroraison sur la diversité des comportements humains.- unité du passage : critique de différents

[1973], page 77, Les Belles Lettres) Mais Aristote aborde tout de même d'autres divisions : « Les parties nécessaires sont donc l'exposition et la confirmation. Ces parties sont les propres du discours ; au plus, un discours comprend un exorde, une proposition, une confirmation, une péroraison ; ce que l'on dit contre l'adversaire rentre dans les preuves ; la comparaison des arguments est une amplification de l'argumentation par le plaideur ; c'est par conséquent une partie des preuves

partie de la population, c'est-à-dire dans les sociétés tenant de la démocratie Athénienne. II - Les 5 parties de la rhétorique - L'invention Recherche de tous les moyens de persuasion relatifs au thème du discours. - La disposition -> Exorde : introduction du discours. -> Narration : exposé des faites concernant la cause. -> Digression : a pour fonction de distraire l'auditoire. -> Péroraison : conclusion qui met fin au discours - L'élocution Rédaction du discours. Lieu d'une