Exorde

d’intègres et de vertueux. Mais bien au contraire, ils sont malhonnêtes, égoïstes et immoraux. II- Ruy Blas, un héros de figure romantique. A) Une allocution structurée venant d’un ancien valet. Pour introduire son discours, l’auteur commence par un exorde pour attirer l’attention de son auditoire. Ensuite, il annonce le thème général qu’il veut aborder : la dénonciation de l’abus du pouvoir. Pour argumenter, il cite les conséquences néfastes de cette corruption à l’aide d’exemples. Puis, il fait un

lecteur a ses opinions. Il dit que son texte ne fait que plaidoyer l'abolition de la peine de mort. Hugo étant un grand orateur, il dévoile une vrai rhétorique judiciaire. Son discours argumentatif direct est du à une très bonne organisation: - EXORDE, qui permet de capter l attention du lecteur - La NARRATION qui expose les faits - L'ARGUMENTATION qui développe la thèse - La PERORAISON qui conclut le discours. B ) Des registres variés * L’œuvre est écrite comme un genre de journal intime

classique qui manifeste la puissance royale et le pouvoir de la parole du maître des animaux : exorde (vers 15 à 20), narration (21-22), confirmation (23-24 ou 34), exemple accompagnant la confirmation et préparant la péroraison (pour moi, … v. 25-29), péroraison (30-34). Autre signe de l’éloquence : enjambements marquant la fluidité de son propos : vers 16-17, 21-22, 23-24, 25-26, 3031, 32-33. Exorde : flatterie. Hypocrisie de cette invitation : le roi ne peut qu’être flatté, et c’est effectivement

plus large puisqu’elle s'intéresserait à l'humanité tout entière. -S'adresser à son interlocuteur en étant aimable, en respectant son titre, le mettre en confiance, mettre des petites phrases qui détendent l'atmosphère CONSTRUCTION : 1.Exorde : -Captatio benevolentiae : je capte votre attention en étant gentil avec vous afin que vous m'écoutiez jusqu'au bout. -définir le problème (évoque). 2.Narratio : -Expose les faits et présente le texte. 3.Confirmatio : thèse qui éclate

et sa situation, dans une deuxième partie des vers 27 à 34 à quel point Antiochus est un personnage troublé, divisé, qui décide d’abandonner sa quête et pour terminer des vers 35 à 50 le revirement d’Antiochus qui finit par suivre ses sentiments. EXORDE/NARRATION :Au début du monologue, Antiochus pose par des questions rhétoriques la problématique qui est la sienne, ses interrogations et débats intérieures, le sujet du monologue.La première question à la deuxième personne du singulier marque la distance

un recueil de lettres) éponyme : personnage qui donne son titre à une œuvre esprit critique : esprit qui soumet tout à l’examen euphémisme : façon de présenter une réalité brutale ou blessante en atténuant son expression pour éviter de choquer exorde (n.m.) : première partie d’un discours, entrée en matière filigrane : par transparence, à l’arrière-plan fonctions (cf. : schéma de la communication) :           - référentielle : message qui présente le référent          - phatique : parler pour

une formulation typique de ce pays car il pose le citoyen en acteur du pays. De plus, cette formule peut flatter les japonais cependant, le mot « sujet » (également typique du pays) est plus péjoratif. Il explique dans les deux paragraphes de son exorde que le Japon a décidé d'agir par « mesure d'exception » et qu'il confirme « les termes d'une Déclaration commune » mais il ne dit pas explicitement ce dont il s'agit. Il laisse l'auditeur dans le doute. La première phrase de la narration fait référence

très convainquant : - Les marques de l'oralité : *la longue apostrophe du début (l. 63 à 65) dont on verra l'ironie après. *Le jeu des pronoms (« je », « vous ») *le présentatif « voilà » - L'organisation du discours est rigoureuse : *un exorde (capte l'attention par l'apostrophe) = toute l'apostrophe du début jusqu'à « voici ce qui m'est arrivé » *une narratio (l'exposé des faits, le raisonnement) = tout le reste de son discours *… pas de péroraison (ou conclusion avec un registre pathétique)

à trouver la bonne disposition du discours. L'élocution : à la fois le style, la tournure, le ton, la dimension orale. La mémoire : souvenir du problème des parties, des arguments, de ceux déjà prononcé, de la réponse. + discours. Méthode Exorde : c'est l'effort que je fais pour capter l'attention de l'auditoire au début du discours..Il s'agit de faire surprise. = Raconter une anecdote inattendue, pour lui faire se demander s'il y a un rapport. Faire appel à la bienveillance de l'auditoire

Pbtique : quel est le rôle de ce récit dans la pièce ? I- Un discours narratif : 1/les temps 2/la construction rhétorique : -exorde :on attire la bienveillance de l’auditoire en présentant le sujet du discours -narration : exposé des faits, récit -confirmation :on rassemble les preuves ou arguments destinés à prouver ce qu’exposait la narration, si le récit n’avait pas de but argumentatif, il se peut que cette partie n’y soit pas. -la péroraison :conclusion du discours :elle vise à émouvoir