Expérience de Milgram

confiance relève du crédit accordé à quelqu’un ou à quelque chose d’une valeur affective ou morale qui fait que l’on ne peut concevoir toute tromperie de sa part. Cette confiance se construit au fil du temps du fait des informations accumulées et des expériences positives passées. La confiance et la nature de celle-ci varie fortement en fonction de l’environnement dans lequel se trouve l’individu, ainsi ont fait référence au « climat de confiance ». De nos jours, il est de plus en plus difficile d’accorder

fonctionnement humain.Innéisme : - certaines facultés mentales faisant partie du patrimoine génétique et ne demandant pas d’apprentissage ;- Vision partagée par Platon et Descartes notamment. ‌ Empirisme :- Environnement et expériences influençant les capacités mentales et à l’origine de la personnalité ;- Soutenu par Hobbes (1588-1679), Locke (1632-1704), Hume (1711-1776), Rousseau (1712-1778).Psychologie : une discipline autonome • Naissance et développement

libre qui est conduit par la seule raison, et qu’il n’a, par conséquent, « que » des idées adéquates » ? Toutes ces assertions péremptoires n’avaient leur sens que bien avant que l’on verbalise le concept d’inconscient, et avant que des expériences en psychosociologie, bien conduites depuis un demi-siècle, ne viennent tempérer, comme nous le verrons ci après, ces certitudes. Après une étude générale, nous conclurons par la petite idée qu’avait déjà la Thora sur tout cela. I I

(éventuellement subordonnés). ➢ Les rapports du groupe à l’Individu Le groupe n’existe pas à part des membres qui le composent. Il est un ensemble partagé qui induit des habitudes, un code de conduite basés sur les attentes des membres, et des expériences passées. Le groupe, s’il est formel, confère des statuts aux membres et s’inscrit dans une organisation étendue (l’organigramme de l’entreprise). Il donne une légitimité à des décisions personnelles. Ceux qui détiennent le pouvoir dans le groupe

relations entre personnes.  La psychologie sociale étudie des phénomènes précis comme la soumission à l’autorité, le conformisme au sein des groupes, les préjugés, les stéréotypes, la dynamique de groupe, la manipulation…  Expériences célèbre de Salomon Asch, Milgram ou Stanford.  https://www.youtube.com/watch?v=gGHQWZpA7Uc  https://www.youtube.com/watch?v=mxf7G0WEJ20 Institut de Formation en Soins Infirmiers Lozérien - Centre Hospitalier de Mende. https://www.youtube.com/watch?v=gGHQWZpA7Uchttps://www

Elles sont nos convictions et nos responsabilités. Agir dans le respect des valeurs éthiques, c’est tenir compte de ce qui est bon pour nous et ceux qui nous entourent. Ces notions sont différentes pour chaque individu de par à son éducation, ses expériences, sa culture.... Il est donc important de formaliser ces concepts au sein de l’entreprise. Car une personne morale (entreprise, organisation, ONG, etc.) ne peut créer sa propre philosophie, ses valeurs ou encore son éthique. La formalisation des

la pression social * Le conformisme : Comportement qui respecte les normes en vigueur dans une société. Expérience d’Asch en 1951 sur la conformité, vis-à-vis d’un groupe. (Les battons) Il constate une pression de l’individu vis-à-vis du groupe. Il y a aussi le conformisme populaire subi ou choisi (BCBG ou FHCP). * L’obéissance : (autorité) Expérience de Milgram en 1960 (choc électrique). C’est pour étudié la capacité des gens à donner de gros choc électrique pouvant aller jusqu’à

déjà identifié par Tarde comme la cible de la communication de masse naissante. Deux expériences fondatrices La psychologie sociale a très souvent recours à l’expérimentation. Voici deux exemples d’expériences fondatrices de cette discipline, qui présentent la particularité d’avoir donné lieu à des résultats contradictoires… o L’expérience de Norman Triplett (1897) : la « facilitation sociale » Cette expérience est une des premières réalisées en psychologie sociale. Elle va ouvrir un domaine de

Psychologie sociale L'observation On ne voit pas tout, on ne voit pas tous la même chose (dessin vieille/jeune), car ce qui est projetée dans notre cerveau va être analysé, nos expériences, notre éducation ont un impact sur notre analyse (grille personnelle). Il y a 3 système majeur dans notre esprit : instinctif, on ne le contrôle pas, au centre du cerveau le palé-cortex, c'est ce qui nous donne notre instinct de survie. Mais on ne se sent pas tous menacé par la même chose. affectif

notre situation. • La torture exercée sur des individus les laisse avec de graves séquelles les rappelant de leur séance avec un tortionnaire. Ces gens doivent alors vivre avec ce handicap pour le reste de leur vie. Selon l'expérience de Stanley Milgram, n'importe qui peut devenir un tortionnaire. Non seulement cette pratique a des impacts sur les victimes, mais elle exerce un égal impact sur les tortionnaires eux-mêmes qui doivent a leur tour mener une double vie. Cela devient très compliqué à séparer