Expérience de Milgram

avec moi-même et que chacun peut être pour soi, au gré des situations, un objet de surprise ? Surprise désagréable car je suis rarement tenté de dire « ce n'est pas moi » lorsque ce qui me rend perplexe est gratifiant. Alors qu'en est-il de cette expérience ? Faut-il dire que « je est un autre » selon la formule de Rimbaud ou avec Sartre identifier une stratégie de mauvaise foi ? Parce qu'enfin cet être que je dis ne pas être moi, je sais bien que c'est moi. D'où le véritable enjeu de cette question

français suite à la diffusion, sur France 2, du Jeu de la mort, test scientifique déguisé en jeu télévisé inspiré des concepts de la télé poubelle6 où des candidats croient infliger des décharges électriques à un concurrent7. Cette expérience, inspirée de celle de Stanley Milgram, menée par des chercheurs en psychologie, a pour but de démontrer la soumission de nos esprits et de nos actes au pouvoir du petit écran7. La diffusion du programme relance le débat, au sein de l'intelligentsia, sur l'objectif

groupe Elle s’intéresse aux processus relationnels internes à un groupe, aux phénomènes d’influence qui le traversent, guident ses prises de décisions et les positions de ses membres. (ex tirés de l’expérience des élèves, expérimentation de Asch, Milgram, Moscovici). 2–1 Cohésion du groupe [pic] ( Cohésion Les membres ont tendance à se rapprocher lorsque leurs objectifs sont semblables ou lorsque leurs buts peuvent être réciproquement satisfaits. Le degré de cohésion du groupe a un impact

laquelle il perçoit son environnement, réagit avec le monde, etc. • Pour Moles, la communication (qui a pour racine mettre en commun) est “l’action de faire participer un organisme ou un système, situé en un point donné, aux stimuli et aux expériences de l’environnement d’un autre individu ou système, situé en un autre lieu et à une autre époque, en utilisant les éléments de connaissance qu’ils ont en commun” Fidélité ? Bruit Emetteur Message Récepteur Code commun Répertoire émetteur

l'expérience de Milgram. Cette expérience démontrait à quel point il est facile de soumettre des gens aveuglement, en leur faisant croire que l'on fait partie de l'autorité. Ainsi, des scientifiques déguisés en médecins ont demandé à de simples gens de poser des question à quelqu'un et de lui envoyer une décharge électrique à chaque fois plus grande, à chaque mauvaise réponse. La personne qui recevait la décharge, en vérité ne recevait rien et était un acteur. Mais cette expérience à démontré que

signifie dans les deux cas obéissance spontanée obtenue sans justification, sans conflit. L’autorité est perçue comme légitime. « Autorité » s’oppose à « pouvoir » qui serait son contraire, le fait d’obéir sous la contrainte. EX : expérience de Stanley Milgram Soumission à l’autorité : Cette étude est partie d’une interrogation sur la seconde guerre mondiale : pourquoi et comment des individus ont-ils pu obéir aux ordres monstrueux d’Hitler ? La première explication est moraliste (il s’agit

perceptive : on perçoit les choses à partir des attentes, de ce pourquoi on est dans telle situation. On ne perçoit jamais au hasard On ne voit pas les mêmes choses selon qu’on est dans telle type de forme. Dissonance cognitive (Festinger, 1950) : Expérience : on propose un salaire très élevé à un SDF pour faire un travail, il refuse car il n’y croit pas. Festinger avait demandé à des gens à se consacrer toute la journée à une activité manuelle. Le lendemain, on demande à quelqu’un de présenter l’activité

elle manifesta violemment sa colère, restée contenue jusqu'alors. Puis elle demanda à boire, but une grande quantité d'eau, et se réveilla de l'hypnose le verre aux lèvres. Le trouble avait disparu pour toujours. Arrêtons-nous un instant à cette expérience. Personne n'avait encore fait disparaître un symptôme hystérique de cette manière et n'avait pénétré si profondément dans la compréhension de ses causes.[…] Breuer étudia systématiquement la pathogenèse d'autres symptômes morbides plus graves. Dans

Dissertation : Faut-il être certain pour être dans le vrai ?Notre dissertation d’aujourd’hui a pour sujet « Faut-il être certain pour être dans le vrai ? ». Avec cette problématique, nous essayerons d’y répondre au travers de trois grandes parties.Au travers de notre première partie, nous introduisons le fait que la certitude n’étant pas un critère suffisant pour être dans le vrai.En premier lieu, il est montré que nous nous fions trop souvent à nos croyances. Elles nous conduisent à affirmer des

les priorités des individus L’origine de la motivation se situe « dans la situation ». C’est la situation (l’environnement physique et humain) qui peut éveiller ou susciter une motivation chez un individu (e.g. la publicité ; et l’expérience de Milgram : 65% des sujets sont prêts à « sacrifier » une personne, quand l’environnement est propice). On admet aujourd’hui que l’origine de la motivation se situe à la fois dans l’individu « et » dans l’environnement : approche interactionniste de la motivation