Expérience de Milgram

Pour évaluer le mérite de ces options par défaut, et plus généralement les difficultés associées aux produits, le régulateur pourra bénéficier d’un nouvel outil : l’économie expérimentale. Il pourra se doter d’un laboratoire, ou sous-traiter des expériences d’évaluation des produits aux laboratoires d’économie expérimentale français et internationaux, parfois avec la participation des entreprises ; • permettre aux consommateurs insatisfaits de changer facilement de fournisseur de service. Le commerce

l’usage de moyens externes de coercition.Elle ne peut se maintenir qu’à travers le respect. L’autorité donne du pouvoir sur les autres, que cette autorité soit naturelle (charisme, charme) ou fondée sur la reconnaissance d’une compétence, d’une expérience, d’une sagesse supérieures qui justifie qu’on s’y réfère et qu’on s’y soumette. Cette forme de pouvoir n’existe que là où il existe une hiérarchie spontanée et forte entre les individus. - Cette forme de pouvoir est sans aucun doute la plus puissante

soumissions ? Une expérience de psychologie sociale, similaire à celles réalisées dans les années 60 par le psychologue américain Stanley Milgram, va éclairer la question. Tania Young anime une émission fictive, « la Zone Extrême », dans laquelle un candidat, le cobaye de l'expérience, doit, sous l'autorité de Tania, lui infliger une décharge électrique. Et si on jouait à se tuer ? C'est ce que propose « le jeu de la mort », un documentaire choc de France 2. Le but de cette expérience scientifique est

fixation prolongée des yeux sur un objet brillant situé légèrement 6   Bases théoriques et cliniques de l’hypnose a ­ u-dessus de la ligne d’horizon des yeux. De ce fait, il assimila cet état à un état voisin du sommeil. Témoignant de quelques expériences effectuées sur ses propres patients, il admit que les mesméristes avaient découvert un important procédé thérapeutique. Il décrivit l’état somnambulique comme une sorte de « sommeil nerveux » et donna à ce phénomène un nouveau nom, hypnotisme

autres supports ; • Cas d’entreprises ou d’organisations décrivant des situations de groupe et permettant une analyse de phénomènes ; • Investigations menées par les élèves eux-mêmes au sein d’organisations existantes ; • Textes relatifs à des expériences dans le champ de la psychologie sociale ; Série STG – Projet de programmes de la classe terminale – communication et gestion des ressources humaines – page 9 • Articles de presse ; • Témoignages d’expériences rapportées par les élèves en

rémunération et les possibilités de promotion de tous les ouvriers qui acceptent de travailler selon la méthode scientifique. Les résultats obtenus par Taylor Que ce soit à la Midvale ou à la Bethlehel Steel dans lesquelles il conduisit ses expériences, Taylor est toujours arrivé à augmenter de façon spectaculaire ses rendements tout en obtenant des augmentations de salaires substantielles pour les ouvriers. A la Bethlehem Steel, il réduisit les effectifs de manutention de 600 employés environ

rémunération et les possibilités de promotion de tous les ouvriers qui acceptent de travailler selon la méthode scientifique. Les résultats obtenus par Taylor Que ce soit à la Midvale ou à la Bethlehel Steel dans lesquelles il conduisit ses expériences, Taylor est toujours arrivé à augmenter de façon spectaculaire ses rendements tout en obtenant des augmentations de salaires substantielles pour les ouvriers. A la Bethlehem Steel, il réduisit les effectifs de manutention de 600 employés environ

termes que sont pouvoir et peuple. I – Des modèles historiques de démocratie La démocratie athénienne (VIème-Vème siècle avant JC) C’est un modèle d’organisation politique très important. On va parler de ce modèle car c’est le premier, on a une expérience politique unique d’un régime politique qui est le premier à se penser dans le terme de démocratie. Cela ne veut pas dire que toutes les démocraties dérivent de ce modèle, cela dit c’est une idée qui s’invente et qui a été particulièrement influente

fonctionnement lorsque nous sommes amenés à prendre une décision ? Sommesnous réellement rationnels et mus par la volonté de maximiser notre profit personnel comme le soutiennent certaines conceptions ? Sommes-nous également affectés par nos émotions, notre expérience et notre histoire personnelle ? Et finalement, décidons-nous vraiment ? Quand nous votons, notre choix a-t-il réellement un impact sur la vie collective ? et dans ce cas, de quelle nature est-il ? Quand un groupe décide de fermer un site industriel

Rotman, à Toronto, ont montré qu’une zone cérébrale s’active lorsque, au lieu de considérer un trait de caractère en général, on se l’attribue. Cette zone de la « personnalisation » serait hyperactive chez les personnes déprimées. Dans ces expériences, dix sujets volontaires sains doivent donner leur avis sur diverses qualités ou défauts de caractère. On leur demande, par exemple, d’un point de vue général : « La générosité vous semble-t-elle un défaut ou une qualité ? », puis, d’un point