Expérience de pensée

Dans le registre de nos pensées, nous faisons une double expérience contradictoire : lorsque nous raisonnons, lorsque nous procédons à des démonstrations ou argumentons, il semble que nos pensées s’enchaînent selon une logique rigoureuse qui ne doit rien au hasard. Nous maîtrisons le déroulement de nos pensées, et nous aboutissons la plupart du temps au résultat que nous attendions. En d’autres circonstances, et Nietzsche le montre de façon magistrale, nos pensées semblent naître de manière imprévisible

v pas de soi, l'élève doit imaginer au moins deux réponses possibles et opposées et souligner leur insuffisance. On essaye de toujours commencer par l'idée la plus simple, le plus logique et la plus spontanée (celle de l'opinion). D'une part on pense spontanément que : → opinion comme 1ére réponse. Pourtant : → objection à la 1ére réponse, souligner son importance D'autre part, on peut alors dire que → 2éme réponse qui tient compte de l'objection de la première. Mais alors → Objection à la 2éme

se connaître aussi bien que nous. Nous sommes, en effet, depuis notre naissance intimement liée à notre être. Nous sommes donc, à priori incontestablement la personne qui se connaît le mieux. L'homme aime à croire qu'il est le seul maître de ses pensées et de ses actes. Mais d’un autre côté on pourrait au contraire penser que nous sommes aussi sujets au doute. Et, parfois nous avons des réactions ou bien même des paroles dont nous sommes les premiers surpris. Ces situations nous laissent penser qu'une

courants dans le monde du travail. Nous avons donc dans ce film pu voir différentes personnes, qui témoignaient tous sur le problème du mal-être au travail. Il y avait de simples ouvriers dans une manufacture de tissu qui nous racontait leur expérience, mais également des psychologues, des médecins, des politologues, des ex-employés, des membres de syndicats bref, un peut tous les corps de métiers étaient représentés, qui racontaient eux aussi leur rapport au mal-être au travail. Dans un premier

c’est-à-dire que ses facultés se sont développées grâce au contact avec ses semblables. Ce qui reviendrait à dire que l’on ne peut pas être soi-même. Bref, peut-on ne pas être soi-même ? Soit on considère que certaines facultés comme le langage, la pensée, la conscience, etc. me permettent d’être moi-même, c’est-à-dire que je peux me diriger vers ce que je veux être, dans ce cas on peut être soi-même. Soit on considère que l’homme n’est pas un être naturel, c’est-à-dire qu’il suscite l’intervention

différentes d'expliquer le comportement des individus (on retrouve encore ces deux approches aujourd'hui). Aristote (qui est un empiriste) pense que l'âme est le processus ordonnateur de la biologie, c'est a dire qu'il n'existe pas de corps sans âme). Pour lui, ce qui construit l'âme c'est l'expérience qui s'aquiert progressivement. Cette expérience s'appuie sur les processus biologique (au début il n'y a rien). Pour Platon, (qui est moins pragmatique), l'âme appartient au monde des idées

la seule opération de la pensée. faits: pas de contradiction avec son contraire → fondés sur la relation de cause à effet (au delà de l'évidence de notre mémoire et de notre sens) → on suppose une connexion entre le fait présent t ce qui en est inféré. fabrique et constitution humaine de faits? question: d'où nait cette évidence qui nous assure une réalité d'une existence et d'un fait au-delà du témoignage actuel des sens ou des rapports de notre mémoire? (expériences actuelles ou passées) comment

existence de ma conscience, et non nécessairement une existence matérielle (mon corps). Je peux affirmer cela non pas en considérant, comme Descartes, que le simple fait de douter de mon existence permet d’affirmer que j’existe puisque ma pensée (/substance pensante) est immédiate ; mais plutôt, à la manière de Blaise Pascal, que cette idée me vient par intuition, et qu’elle n’a pas besoin de démonstration tant elle me parait évidente. Il faut cependant garder en

certaines personnes. Les pratiquant font attention à ne pas commettre de pécher. Mais croire en Dieu n'est pas une obligation, alors qu'en Iran par exemple, la bas c'est une obligation ils sont tous musulmans et croit en cet être, ils ne peuvent pas pensé par eux même car ils sont dénué de leur liberté. C'est ce qu'on appelle la croyance foi.            De plus, notre langue natale nous permet de véhiculer une certaine croyance, tel que la superstition comme ne pas passer sous une échelle car cela porte

qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement par nous mêmes ; c'est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose ici que penser. » . C'est ainsi qu'il exprime sa définition de la pensée, de la conscience. Cependant, suis-je ce que j'ai conscience d'être ?L'être que je suis est-il l'être dont j'ai conscience ? La voie externe est la voie du comportement de l'individu, de son entourage sociale, de sa psychologie, de son caractère.