Explication De Texte Hommes Supérieur Nietzsche

transgression sera punie par le tribunal. Comment, alors, expliquer que coexistent des systèmes de droit différents ? et d'abord, d'où viennent ces lois différentes ? Peut-être, en isolant leur source, comprendra-t-on leurs divergences ? On dénombre trois explications, chacune découlant de la précédente, et la dépassant. 1) Dieu Moïse, au sommet du Sinaï, reçoit les Commandements (Exode, 20), écrits de la main même de Yhvh. La charia musulmane "descend" directement d'Allah (Coran, 5, 48). Lycurgue, avant

matières INTRODUCTION. Imagination et mobilité [7] Chapitre I. Le Rêve de vol [27 Chapitre II. La poétique des ailes [79 Chapitre III. La chute imaginaire [107 Chapitre IV. Les travaux de Robert Desoille [129] Chapitre V. Nietzsche et le psychisme ascensionnel [146] Chapitre VI. Le ciel bleu [186] Chapitre VII. Les Constellations [202] Chapitre VIII. Les Nuages [212] Chapitre IX. La Nébuleuse [225] Chapitre X. L'arbre aérien [231] Chapitre XI

D’OCCIDENT       JANVIER - AVRIL 1931 TOME VII     ENQUÊTE SUR ANDRÉ GIDE     Le soixantième anniversaire de M. André Gide a été célébré avec ferveur dans plusieurs pays étrangers.M. Ernst-Robert Curtius écrivait à cette occasion : « Comme Nietzsche, André Gide a découvert un homme nouveau, une nouvelle région de l'âme. »M. W.-E. Suskind, analysant cette notion de « l'homme nouveau », selon M. Gide et opposant les cultures catholique et protestante, reconnaît la supériorité de celle-là dans

prince nouveau. Il est maintenant question de savoir comment celui-ci doit se comporter avec ses « sujets » et ses « amis », dans les chapitres qui constituent d’après Charles Benoist l’essence du Machiavélisme : « Des choses pour lesquelles les hommes et surtout les princes sont loués ou blamés » et « Comment les princes doivent garder leur foi ». Machiavel se pose dans ces deux chapitres plus précisément la question des qualités et des devoirs du Prince, question très débattue depuis le Moyen-Âge

dans un langage, le mot peut nous faire penser).Le terme religion a deux étymologies possibles : • Relegere : recueillir, rassembler (de legere rassembler, au fig.: lire). L’étymologie dit ici l’aspect sociale de la réalité religieuse : les hommes se rassemblent en des rites et des cultes au nom d’une croyance commune en une relation causale entre les dieux et l’ordre du monde. Au nom de cette croyance, la religion va consister à lire le monde, c’est-à-dire les présages et à agir en conséquence

conscience nous fait juger de la bonté ou de la malice de nos actions. Ce principe est inné comme amour du bien et haine du mal comme sentiment que la raison ne fait qu’éclairer. La conscience morale est bien amour du juste, amour de l’ordre, amour des hommes en général. La conscience morale comme voix intérieur insère l’homme dans la perspective de la communauté humaine qui lui fait adopter un regard intersubjectif. Ce rapport est l’expérience d’un devenir-sujet fini. (Rousseau) • Un désespoir de

considérer une personne pour sa capacité rationnelle, il faut neutraliser tout élément qui pourrait enfermer une personne dans une idéologie. Le féminisme considère qu’il faut défendre les femmes car elles ont la même capacité de raison que les hommes, il faut casser dans la société tout ce qui fait qu’on les considère comme des sous cogito. L’autre féminisme réclame des droits au nom d’une nature spécifique, et là on se détourne de l’humanisme. A coté du féminisme, il faut noter le communautarisme

justifications. L’ambition de cet essai serait d’accepter et d’examiner cet étrange défi. Il s’agit de savoir si l’innocence, à partir du moment où elle agit, ne peut s’empêcher de tuer. Nous ne pouvons agir que dans le moment qui est le nôtre, parmi les hommes qui nous entourent. Nous ne saurons tant que nous ne saurons pas si nous avons le droit de tuer cet autre devant nous ou de consentir qu’il soit tué. Puisque toute action aujourd’hui débouche sur le meurtre, direct ou indirect, nous ne pouvons pas

égarer et qu’il suffit de suivre sans s’en écarter. De ce point de vue, les animaux sont nos modèles : ils nous donnent à voir ce qu’est une vie orientée par la sensation immédiate du plaisant et du déplaisant ; seulement, à la différence des animaux, les hommes possèdent un esprit, et une imagination. L’esprit les rend capable d’avoir des notions abstraites, qui doivent provenir des sensations pour être vraies. Par l’imagination en revanche, l’homme devient capable de se projeter hors de l’instant présent

effet, le cinéma a d'abord exercé son influence sur les moyens techniques et esthétiques de la représentation, et de là, sur la manière dont les dramaturges ont choisi, ou pas, de mettre en forme des fables. D'ailleurs, l'effort de la plupart des hommes de théâtre du XXème siècle, écrivains ou metteurs en scène, a porté vers un rapprochement de ces deux instances, qu'il serait donc malvenu de séparer. Ecriture et représentation de la fable de théâtre sont deux aspects indissociables. Le constat