Explication De Texte Nietzsche Le Besoin Nous Contraint

modifie-t-il la valeur du travail ? Sujet 6562 L'automation est-elle un remède à la division du travail ? Sujet 6231 L'être humain est-il voué à la production et au travail ? Sujet 1462 L'évolution du travail Sujet 980 L'homme a-t-il besoin de travailler ? Sujet 391 L'homme doit-il craindre que la machine travaille pour lui ? Sujet 103286 L'Homme doit-il craindre que la machine travaille pour lui ? Sujet 103595 L'homme doit-il travailler pour être humain ? Sujet 2085

BAC de Philosophie – Année 2012 FILIÈRE L Sujet 1 « Que gagne-t-on en travaillant ? » Le sujet nous impose de nous demander ce que peut apporter le travail, généralement associé à la fois à un moyen de survie et à une idée de contrainte. La compensation à cet effort serait la rémunération entendue comme compensation de la perte d'énergie, de temps ou même d'âme. Peut-on considérer le travail comme une activité aliénante et réduire ainsi le travailleur à un esclave au service de

(but de kant: morale universelle donc pas raison, contrairement à morale relative). B-le fondement du devoir morale Distinction: obligation/contrainte. Obligation: se fonde sur ce qui est légitime, Contrainte: présence de l'idée d'une contrainte physique. L'obligation procède d'une démarche morale, mais de façon légitime, alors que la contrainte a une idée de violence qui nous force. (voir schéma: introduction à Kant.) Kant nous propose de partir de la maxime: vaut mieux un mensonge plutôt

habiles son,t ceux qui ont les plus fortes passions et que les valeurs morales sont le fruit de la faiblesse et du ressentiment de la foule. C’est donc à une réflexion sur les rapports entre nature et convention que nous invite le texte. Le problème soulevé par le texte est dès lors celui de savoir que faut-il faire pour vivre selon la vertu. Faut-il se maîtriser, avoir une emprise sur ses passions ou bien faut-il au contraire les débrider? La structure du passage est très claire: le premier aspect

l'univers permet de mener une vie heureuse : « Si la crainte des météores et la peur que la mort ne soit quelque chose pour nous, ainsi que l'ignorance des limites des douleurs et des désirs, ne venaient gêner notre vie, nous n'aurions nullement besoin de physique[12]. » Épicure nous invite donc à connaître la nature pour la démystifier, pour éviter de voir des causes magiques ou merveilleuses là où il n'y a qu'un mécanisme aveugle et amoral. La souffrance morale viendrait ainsi du fait que l'on

Explication de texte : Le Langage impersonnel, Bergson BERGSON – Le langage peut-il aller au-delà de l’aspect impersonnel des choses ? Thèse : « Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. » Notre texte est un extrait du Rire de Bergson publié en 1900. Il s’agit d’une réflexion sur les rapports qu’entretiennent le langage et notre perception du réel. A la question : quel est le rôle du langage dans notre perception de la

et de paresse semblent alors juste une autre façon de donner du sens à notre travail et à notre existence. Comment comprendre ce paradoxe. Pourquoi ne pas s’installer dès maintenant dans une vie du moindre effort ? Pourquoi ne pas réduire nos besoins pour dès maintenant travailler moins ? Notre approche du travail et de l’oisiveté n’est-elle pas un désir vain ? On peut aussi distinguer deux types de travail : il y a le travail pour gagner sa vie, pour assurer la conservation de notre vie et

nous vous proposons : - LA DEFINITION DE LA NOTION (introduction et perspective) - LES GRANDS AXES DE RELEXIONS (position et conception) En bonus nous vous offrons la méthodologie du commentaire de texte philosophique et des informations sur les grands courants de pensée ainsi que des grand philosophes qui les ont fondé. CE FASCICULE VOUS PERMETTRA DE CONNAITRE L’ESSENTIEL DE VOTRE COURS ET D’AVOIR LES IDEES ET ARGUMENTS POUR VOTRE DISSERTATION.

tremblement : la foi est sans assurance, sans sécurité intellectuelle ; elle désigne une croyance en vertu de l’absurde. 2.Croire est un choix difficile En effet, les croyances religieuses viennent souvent avec leurs contraintes. Si certaines d'entre elles, comme les contraintes morales "évidentes" (ne pas tuer, ne pas voler, ne pas mentir...) sont assez instinctives, d'autres plus spécifiques à chaque religion impliquent des choix difficiles, ou plutôt des sacrifices. Par exemple, devenir musulman

plutôt que de l’autre même sans aucune raison apparente. Quoique l’homme possède un libre arbitre, il en irait de même : face à un choix où chaque alternative semble valoir autant que l’autre, la conscience ne pouvant choisir, je suis pourtant contraint d’aller d’un côté plutôt que d’un autre. Même si je suis à équidistance de deux mets, je me dirigerais nécessairement vers l’un des deux mets parce qu’indistinctement des petites perceptions m’échappent et me poussent dans une direction. Le paradoxe