Explication De Texte Philosophie Lucrèce

Découvrir la philosophie antique Du même auteur Cyril Morana et Eric Oudin (sous la direction de), Les énigmes du moi, Bréal, 2008 Du même éditeur La philosophie tout simplement, Claude-Henry du Bord L’histoire de France tout simplement, Michelle Fayet Les mythologies tout simplement, Sabine Jourdain Découvrir la psychanalyse, Edith Lecourt L’histoire des civilations, Eliane Lopez Les religions tout simplement, Quentin Ludwig La littérature tout simplement, Nicole Masson La culture générale

LA PHILOSOPHIE HELLÉNISTIQUE : (I) L’ÉPICURISME ET LE STOÏCISME INTRODUCTION Période hellénistique : c’est par ce nom que les historiens ont désigné cette période de trois siècles qui sépare la fin du règne d’Alexandre le Grand (-323) – date qui correspond à un an près à celle du décès de son précepteur Aristote – au début de celui d’Auguste (-27). Pour fixer les idées, il faut encore relever que la date de l’ambassade envoyée à Rome par les Athéniens (-155), composée de trois philosophes

questions philosophiques. Wittgenstein a même pensé que tous les problèmes philosophiques étaient des problèmes mal posés, des problèmes de langage et de logique, et que la logique allait les faire disparaître. Ou, pour le dire autrement, que la philosophie ne dit rien du monde mais ne vise qu’à dissiper des malentendus. L’idée de Wittgenstein est que le langage est en isomorphisme avec le monde : il y a une analogie de forme entre la proposition (« le chat est sur le tapis ») et un fait du monde

intellective). Chacun des degrés supérieurs présuppose l’inférieur et possède les facultés antérieures mais la réciproque n’est pas vraie. On voit apparaître ici en toute clarté un ensemble de thèmes qui sera repris, élaboré tout au long de la philosophie occidentale, jusqu’à la révolution lamarckienne-darwinienne, soit une conception fixiste[1] de la Nature et une conception hiérarchisée des êtres naturels, des vivants, ce qui donne lieu à ce qu’on appelle l’échelle des êtres. De la matière sans

psychologues, de Charcot en passant par Janet et jusqu’à Freud [1839 – 1956]. Science du comportement Dernier courant qui naîtra au cours du XIXe siècle, portera sur la science du comportement. C’est un courant qui cherchait à se démarquer de la philosophie. Canguilhem critiquera violemment ce courant en affirmant que ce type de psychologie traitait l’homme comme un objet. L’origine de ce type de psychologie serait de trouver dans des travaux initiés par des physiciens sur les temps de réaction

comme la liberté ou la dignité. ii philosophique Sans les Grecs, nous n’aurions peut être ni logique, ni médecine, ni astronomie, ni droit, ni art dramatique. Nous leur sommes en grande partie redevables de notre philosophie, de notre science et sans doute de nos institutions. De même, notre façon de penser, de formuler des grandes hypothèses, ou les dogmes qui forment l’armature de nos religions ont leur origine en Grèce. Mais le leg le plus important

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE Inspection générale de l’Éducation nationale ETAT DE L’ENSEIGNEMENT DE LA PHILOSOPHIE EN 2007-2008 Groupe de philosophie Septembre 2008 Rapport à Monsieur le Ministre de lʼÉducation nationale Lʼétat de lʼenseignement de la philosophie en 2007-2008 — Groupe de philosophie - page 2/67 SOMMAIRE État de l’enseignement de la philosophie en 2007-2008 __________________________________1 SOMMAIRE ________________________________________________________________________

de fantasy reconnaissable au fait qu=elle favorise chez les lecteurs la *suspension constante de l=incrédulité+ en situant dans un cadre scientifiquement plausible ses spéculations sur les sciences physiques ou sociales, l=espace, le temps et la philosophie@.5) Michel Pilotin: ALa science-fiction est le comble de la fiction. Quel genre rivaliserait avec celui qui est fondé sur l=invraisemblable à base rationnelle? Les cadres du vieux roman d=anticipation à la Jules Verne, ébranlés par Wells

Le mot philosophie (du grec ancien φιλοσοφία, composé de φιλεῖν, « aimer » et σοφία, « la sagesse, le Savoir », c'est-à-dire littéralement : « l'amour de la sagesse ») désigne une activité et une discipline existant depuis l'Antiquité et se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine, ou encore comme un savoir systématique. Différents buts peuvent lui être attribués, de la recherche de la vérité, et de la méditation sur le bien et le

Le mot philosophie (du grec ancien φιλοσοφία, composé de φιλεῖν, « aimer » et σοφία, « la sagesse, le savoir », c'est-à-dire littéralement « l'amour de la sagesse ») désigne une activité millénaire dont la définition est pourtant assez ardue : la philosophie peut se présenter comme un savoir totalisant, une réflexion visant une interprétation globale du monde et de l'existence humaine, ou encore comme un questionnement. Différents buts lui ont été attribués, de la recherche de la vérité, du bien