Explication De Texte Somme Théologique Thomas

dont on espère la réalisation. De là une ambiguïté du désir : sa satisfaction est peut-être moins source de contentement que le fait même d’exprimer du désir. De fait, un homme qui pourrait satisfaire tous ses désirs serait un homme malheureux. (Voir texte de Rousseau). « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède. On jouit moins de ce qu’on obtient que de ce qu’on espère, et l’on est heureux qu’avant d’être heureux. En effet, l’homme avide et borné, fait pour

découle. Le but de ce texte est de montrer que cette approche réductrice va considérablement amoindrir leurs capacités de décision et risque de les rendre très dépendants d’opinions de l’époque, ou même de « modes », lesquelles existent manifestement en science comme en technique. Un recul, pour employer le terme consacré, est nécessaire, afin de poser les problèmes, soulever les questions adéquates, et agir en étant à l’écoute des réactions provoquées par ses actions. Ce texte est donc destiné aux

tentation est forte de s'arrêter aux deux groupes d'idées ainsi mis en opposition : en un sens, toute l'histoire de la pensée européenne ou occidentale s'y trouve d'ailleurs résumée. S’opposent ce qu'on appelle le spiritualisme religieux (Platon, Saint Thomas 'Aquin, Descartes, etc.) et le naturalisme (Éicure, Lucrèce, Hobbes, assendi, etc.). S’offre un choix simple et fondamental : esprit ou matière? Dieu ou la Nature? La seule question restante serait : de quel côté Molière penchait-il? La très forte

pour la cérémonie, puisque son symbole va bien au delà de toute Eglise. Commentant un texte de l'Evangile, Dominique a parlé du courage des femmes qui se rendaient au tombeau du Christ le troisième jour. Elles trouvèrent un tombeau vide. Dominique ajouta: "Voici ma foi: la mort ça ne s'arrête pas au tombeau. Après, je ne sais pas !" Ce fut un moment exceptionnel qui, sans tour de passe-passe clérical ou théologique, articula la mort sur la béance d'une question ouverte à jamais. 9 Deuil Le mot

tentation est forte de s'arrêter aux deux groupes d'idées ainsi mis en opposition : en un sens, toute l'histoire de la pensée européenne ou occidentale s'y trouve d'ailleurs résumée. S’opposent ce qu'on appelle le spiritualisme religieux (Platon, Saint Thomas 'Aquin, Descartes, etc.) et le naturalisme (Éicure, Lucrèce, Hobbes, assendi, etc.). S’offre un choix simple et fondamental : esprit ou matière? Dieu ou la Nature? La seule question restante serait : de quel côté Molière penchait-il? La très forte

rationaliste et une tendance théologique. Les penseurs de la tendance rationaliste tels que Platon posent comme base de la réflexion des principes rationnels mais ils ne tiennent pas compte du contexte existant. C’est donc la raison mais aussi la volonté de construire un modèle idéal qui guident ces philosophes. Même si chez eux, peu de considérations religieuses ne sont pas exclues. La religion ne se situe pas au cœur de leur démarche. En revanche, les penseurs de la tendance théologique tels que Saint Augustin

très prestigieux au moyen-âge car on disait que le docteur en droit pendant 20ans pouvait devenir noble. Il y avait d’un côté les romanistes qui étudié le droit romain nommé les « glossateurs » car ils pratiquent la clause sur les textes (explication de texte obscur et compliqué) ils vont avoir des premières méthodes pour apprendre le droit, ils lisent des textes de lois devant les étudier puis les expliquer, les commenter en cherchant le sens de la loi. Tous ces commentaires vont être intégré au

démonstration mathématique, il en va de même du pb du fondement du droit qui n’est pas juridique mais philosophique. 2. Présentations des philosophes du droit Sous l’antiquité nous avons deux travaux philo : Platon et Aristote. Période médiévale : St Thomas d’Aquin. Au 17s : Locke, Hobbes. Au 18s : Rousseau, Kant, Montesquieu. Au 19s : Hegel, Marx. 20s : Hayek. À côté de ces grands philo il y a également des juristes, le point de vue est différent, ce sont des praticiens du droit qui vont s’interroger

 religion et société  A – Une difficulté langagière  B – Présence et absence du mythe           ‐  L’un et le multiple           ‐  Vers la recherche d’une cohérence           ‐  Vers une critique des valeurs modernes           ‐  La fin d’un isolement sociétal pré‐texte           ‐  Les origines  C – Le peuplement de l’Afrique ancienne                                         1 – Possibilité d’une histoire de l’Afrique                                         2 – Lignes de migrations : le fonds        7     

comme les autres champs historiques, est donc toujours en chantier. On voudra bien ne pas l’oublier en lisant le présent ouvrage, synthèse provisoire de connaissances en constante évolution. Au début, le droit est dit/dicté par les dieux, ou par Dieu. Texte terrible, dont nul ne peut s’écarter, que rien ne peut changer, dont toute discussion est impossible : pas de place, donc, pour une histoire. L’histoire ne devient possible que si le droit se fait, au moins en partie, humain ; lorsqu’il peut s’inscrire