Exportation Concertée

matière de réglementation. La Chine, désormais notre deuxième partenaire commercial, présente à la fois des opportunités et des défis majeurs. Étant donné son énorme potentiel de croissance, la Chine est une destination de premier ordre pour les exportations et les investissements. Toutefois, certaines politiques industrielles et macroéconomiques de la Chine impliquent indéniablement une approche axée sur le capitalisme d’État. La Russie, notre proche voisin le plus grand, présente des similitudes

Taux d’ouverture = [[(exportations+importations)/ 2] / PIB] x 100 * C’est une façon de mesurer à quel point le pays est ouvert vers l’extérieur, autrement dit, à quel point son économie est dépendante de l’extérieur. Exemple : le taux d’ouverture de la France est d’environ 30%. Autrement dit, 30% de la richesse dépend de l’extérieur. * Taux de couverture = (exportations+importations) x 100 * Il permet de savoir si un pays couvre ses importations par ses exportations. * Coefficient

l'entreprise souhaite exercer sur ses circuits de distribution. L'entreprise doit connaître les différentes solutions à sa disposition car les réseaux de vente sont multiples et souvent complexes. Trois modes de présence peuvent être envisagés : 1. Exportation contrôlée (avec maîtrise de la vente) Si l'entreprise peut pratiquer la vente directe (vente de projets ou de gros équipements) ou utiliser les services d'un personnel expatrié, la forme la plus courante d'implantation commerciale dans cette

substituable avec des travailleurs non qualifiés et on va s’apercevoir qu’il y a une certaine adéquation avec les travailleurs qualifiés. A) l’essor du commerce international Le degré d’ouverture est le rapport entre les exportations et le PIB. L’ouverture est croissante au niveau mondial depuis 30 ans. On a connu une période de crise entre 1980 et 1985. Qui est responsable de l’ouverture de marché ? Est-ce que les périodes de croissance correspondent à des périodes d’intensification

restrictions sur les quantités importées / exportées Barrières réglementaires : normes, mesures administratives Subventions à l’exportation et à la production versées par l’État c) Barrières monétaires : Dévaluation de la monnaie (pour rendre les exportations plus compétitives par les gains de change => politique de « dévaluation compétitive » 4. Les coûts du protectionnisme * Aggravation du retard technologique pour les entreprises protégées de la concurrence internationale ; * Pertes

conclut elle-même les contrats de vente à l’étranger. Cependant ces interventions d'intermédiaires constituent un "écran" qui empêche toute véritable connaissance et toute réelle pénétration du marché étranger. 2 L’EXPORTATION ASSOCIEE ou EXPORTATION CONCERTEE * Exemple : le portage ("Piggy Back") : il s'agit d'une technique utilisée par les PME pour bénéficier (moyennant des commissions) du réseau de distribution d’une FMN.

CHANGE - OR ➢ LE SYSTEME DE BRETTON WOODS ➢ L’ECHEC DU SYSTEME DE BRETTON WOODS III- La situation monétaire internationale actuelle ➢ MONNAIES FLOTTANTES ET MONNAIES STABLES ➢ LA GESTION CONCERTEE DES TAUX DE CHANGE Conclusion Introduction Un système monétaire international représente l’ensemble des mécanismes qui régissent les échanges de monnaies entre les pays. Un S.M.I peut donc être plus ou moins organisé.

Mais c’est sur le plan sécuritaire que la discordance de l’UMA est plus évidente. Alors que toute l’Afrique du Nord fait face à des menaces terroristes accrues, les pays maghrébins n’arrivent toujours pas à mettre en place une stratégie commune et concertée C) Les conséquences de l'échec Depuis 1989, les échanges commerciaux inter maghrébins ne dépassent pas 2 à 3 %, quand ils atteignent de 50 à 70% avec l'Europe. - Selon le FMI, ce commerce intermaghrébin compte en 2011 pour 0,8 % pour l’Algérie

communes et des intérêts communs ». Edmund Burke, philosophe irlandais du XVIIIe siècle, illustre parfaitement, dans son Discours sur la conciliation avec les Etats-Unis d’Amérique de 1775, les caractères de la coopération interétatique : une action concertée fondée sur une certaine forme de communauté. Il est intéressant de confronter ce propos avec deux formes de coopération internationale prégnantes actuellement : le multilatéralisme et le régionalisme. Le multilatéralisme peut être définit comme

transports (terre, air, mer). * -l’effet frein des habitudes de consommation privilégiant des produits importés. * -l’insuffisance de la diversification des productions. * -l’absence des mesures d’incitation spécifiques en faveur de exportations * -l’inadaptation de l’appareil institutionnel (le coût par exemple de la taxe de coopération * régionale (TCR) au niveau de la CDEAO. Une question qui semble en passe de trouver un * début de solution à travers l’uniformisation de