Exposé Aristote

métaphysiques, qui convoquent une transcendance, ne sont attestées que postérieurement. Le dictionnaire de l’Académie 1664 évoque le tragique comme « action mystérieuse », action, donc, sur le public, par une esthétique. Ici, Scherer expose et cherche, en se référant à Aristote, les conditions de développement du tragique : « s’épanouir » (Il ne s’épanouit que dans l’ombre). La définition est elle-même volontairement imprécise comme pour signaler le refus du recours au registre de la définition pour qualifier

le terme « classiques » évoque avant tout les auteurs français du siècle de Louis XIV, il englobait à cette époque les grands auteurs de l’Antiquité grecque et latine : Homère, Ovide, Cicéron, Socrate, Phèdre, Plaute, Horace, Aristophane ou encore Aristote. Ces auteurs avaient été redécouverts à la Renaissance et même traduits en français. Ces « anciens » devinrent très populaires et, dès le XVIème siècle, firent l’objet d’un véritable culte par les auteurs français. Le mot lui-même est plus tardif

Le théâtre classique de Corneille et Racine Dans cet exposé, nous parlerons du théâtre classique ainsi que de ses règles, et de la tragédie, tout cela à travers différents auteurs. I- Le théâtre classique Le théâtre classique est un style apparaissant durant le 17ème siècle. On l'appelle de cette manière car il répond à un ensemble de règle, inspirée du théâtre antique. Parmi les auteurs connus, nous citerons Corneille et Racine, ainsi que Molière. Il existe plusieurs types de pièces, les

TRAGEDIE La tragédie est un genre théatrale qui débute dans la grèce antique , elle s'oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « crainte et pitié ». Comment est on passé de la tragédie classique à la tragédie moderne ? Dans un premier temps nous verrons les origines de la tragédie , puis la tragédie classique ensuite la querelle des anciens

opposition pbématique. Si connaissance basée sur pensée => savoir = pure abstraction ? Cmt s'accorderait-il ac perceptions du monde ? => connaissance de « qqch » : nécessiter relier perceptions/concepts Ig° cond° de la connaissance IMG: ARISTOTE: « l'âme ne pense jamais sans img » (R ne fctionne pas ss ig°) permet compréhension (rep° int du réel) => repris par KANT esprit séparé entre 2 faculté(percept/intellect) → ig° relie/ intermédiaire => rend le monde ext sensible à l'intelligence

« Profil Textes philosophiques » Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Aristote La nature (Physique, chap. II) Introduction et commentaire par Jean-Claude Fraisse Traduction O. Hamelin (1ère édition : 1990) PhiloSophie Texte soumis à copyright © septembre 2008 Table des matières Introduction .............................................................................. 4 Note sur la vie et les écrits d’Aristote .......................................... 4 1. L’objet de la Physique

d’apprécier toutes les choses en les ramenant à une valeur commune. * La monnaie comme instrument de mesure: elle permet de mesurer l’ensemble des biens et des services dont on a besoin, de facon à se les procurer à leur valeur la plus juste. Aristote “il ne peut pas y avoir d’échange sans égalité, ni d’égalité sans commune mesure”. Ca permet donc de mesurer précisément la valeur échangeable des biens, et combine de biens sont nécessaires à l’obtention d’un autre bien. Adam Smith “pouvoir de commandement

Alors si la raison est universelle, cela signifie-t-il qu’on doive tout soumettre à sa règle ? B) Développement 1) Thèse Il parait légitime de tout soumettre à la règle de la raison. Normalement la raison s’impose à tous car d’après Aristote « L’homme est un animal raisonnable » et Descartes écrivait au XVIIème siècle « La puissance de bien juger et de distinguer le vrai d’avec le faux qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale entre tous les

désirer que les choses qui dépendent de nous, cad rien sauf notre jugement. Pour aristote, c’est l’action vertueuse (le juste milieu entre deux extrèmes). Le point commun entre tous les eudémonistes c’est qu’ils considèrent que morale et bonheur sont compatibles). II- “Suis et pratique l’enseignement ... de même que la vie heureuse ne se sépare point de ces vertus” (Page 49) : Exposé du quadrupe remède : Epicure expose les conditions pour être heureux. C’est un enseignement pratique qu’il propose

font que de l'économie apparaissent au XIXe siècle. Le terme d'économie apparaît dans la Grèce Antique par des écrits d'auteurs qui sont avant tout des philosophes (le terme d'économie apparaît chez Aristote mais la façon dont il envisage d'économie est relativement différente de la façon actuelle. Aristote envisage le concept l'économie dans une interrogation politique de gestion de la cité). Beaucoup d'économistes classiques sont avant tout des philosophes (Adam Smith). Les économistes néoclassiques