Exposé Chant Des Partisans

satire violente des «Sorbonistes ». Rabelais réalise la transition entre deux époques : s’il est encore un homme du Moyen Âge qui aime la liesse et la farce, il est aussi un contemporain de la Renaissance, humaniste savant, médecin féru de grec et partisan du retour à la nature . À travers lui, le Moyen Âge et la Renaissance, loin de s’opposer, découlent harmonieusement l’un de l’autre. Séance 2 : Introduction lecture documentaire : Le XVIème siècle Questionnaire à faire par écrit pour le :

l’humanité » A Sur le plan politique Tous les philosophes sont favorables à la monarchie à condition qu’elle ne soit pas absolue. Ils veulent une monarchie limitée dans laquelle le pouvoir serait partagé entre plusieurs organes. Seul Rousseau reste partisan de la démocratie et de la république. L’idéal politique des lumières n’est pas révolutionnaire, mais c’est un idéal qui se veut réformiste. B Sur le plan économique Les politiques économiques se veulent très dirigiste de la monarchie, on parle d’hyper-réglementation

connaissance scientifique, je le ressens comme dérisoire, mais en même temps avec une grande fierté, parce que je crois qu’il constituera malgré tout un bon outil d’autoformation professionnelle ». La fin de cet extrait servira de transition pour exposer les objectifs d’un auteur qui, en tant que chercheur-enseignant, ne conçoit pas l’idée sans l’action et rappelle, dans cette même lettre, les termes de notre contrat. Je le cite de nouveau : « C’est cet objectif d’autoformation (...) qui était premier

bonheur de l’humanité ». • Sur le plan politique Ils sont favorables à la monarchie mais à condition qu’elle ne soit pas absolue, ils veulent une monarchie limitée où le pouvoir serait partagé entre plusieurs organes. Rousseau se distingue car c’est un partisan de la démocratie. Cet idéal politique n’est pas révolutionnaire, ils ne veulent pas l’abolition de la monarchie mais ils veulent la réformer. • Sur le plan économique Politique économique très dirigiste qui se traduit par une « hyper réglementation

l'expression  généralisée  d'un  tempérament  qui  s'ana­  lyse.  Il en est deux surtout qu'on a souvent discutées en les opposant l'une à  l'autre au lieu de les admettre l'une et l'autre, celle du roman d'analyse  pure et celle du roman objectif. Les partisans de l'analyse demandent  que l'écrivain s'attache à indiquer les moindres évolutions d'un esprit et  tous  les  mobiles  les  plus  secrets  qui  déterminent  nos  actions,  en  n'accordant au fait lui­même qu'une importance très secondaire. Il est le 

en un ensemble organisé qui serait une réplique (ctd. copie, double) de la société toute entière ; en 1837 il envisage le titre général d’ « Études sociales ». Cependant, en 1842, il choisit pour le titre d’ensemble « La Comédie humaine ». BALZAC expose les principes directeurs de son œuvre dans un important « Avant-Propos de la « Comédie humaine » (1842). Dès la première phrase BALZAC y avoue que c’est sous l’influence de la querelle scientifique entre CUVIER (GEORGES CUVIER – 1769-1832) et

'idiotisme et l'hypocrisie devaienf foulnir les garanties officielles de l'ordre occidental. Jusqu'à ce que la reli- gion positive ait assez surmonté ces résistances fémi- nines, elle ne pourra point développer suffisamment, envers les principaux partisans des diverses doctrines arriérées, la réprobation décisive que mérite leur infério- rité mentale et morale. Ceux qui nient maintenant l'existence naturelle des affections désintéressées deviennent justement suspects de ne repousser, à cet égard, les

the public ans educators. Madison: University of Wisconsin, Center on Effective Secondary Schools. 5 cela, des chercheurs ont montré que les élèves ayant discuter d'un sujet, avaient acquis plus de connaissances que ceux qui y avaient été exposés sans avoir débattu. De plus, il a été démontré que les élèves abordant des sujets qui les intéressent personnellement (concernant le local, leur communauté...), présentaient une meilleure participation dans leur communauté. • On political and civic

qui sont à l’avantage de la bourgeoisie. La Charte permet aussi la formation de partis, et l’assemblée se divise aussitôt en trois courants principaux : à gauche, les libéraux défendent les libertés de 1789; au centre, les constitutionnels sont partisans d’une Charte ouverte et démocratique; enfin, à droite, les ultra-royalistes, soutenus par la noblesse, souhaitent le rétablissement des anciens privilèges. La Charte établit également le "suffrage censitaire", par lequel une certaine catégorie de

primaires et électorales               La souveraineté, on l’a vu, est transférée à la nation. Cette nation constitue un corps, et il faut déterminer qui en fait partie et comment il s’exprime. Le débat s’ouvre sur ces questions : Robespierre est partisan du suffrage et de l’éligibilité universels, du Pont de Nemours défend l’idée selon laquelle seuls les propriétaires devraient être électeurs et l’abbé Sieyès établit une distinction entre citoyens actifs et citoyens passifs, les citoyens actifs étant