Exposé Divorce

propre mère n’hésite pas à l’insulter et son père à la battre pour stigmatiser son insuffisante soumission. En janvier dernier, Nadia a trouvé la force de quitter le domicile conjugal et s’est réfugiée chez sa cousine. Elle se demande si, en dehors du divorce, il existe d’autres moyen, pour elle, de mettre fin à ce mariage qui lui fait horreur. 1 DOCUMENT N° 1 : Cass. Civ. 1 , 13 mars 2007 LA COUR : - Attendu, selon l'arrêt confirmatif attaqué (Bordeaux, 19 avril 2005), que, malgré l'opposition

personnels mais d’autres biens leur appartiennent en commun ● Cette communauté n’est pas une indivision : un époux ne peut demander le partage des biens communs à tout moment comme pour les biens indivis. ● fin du régime : décès – absence – divorce – séparation judiciaire – changement de régime matrimonial ● création de société : chacun des époux a le droit de devenir membre d’une société. Pour entrer dans une société, l’époux concerné doit faire un apport. L’apport d’un bien propre est

taxe d'habitation. Naturellement, la solidarité peut également naître si les époux souscrivent ensemble un emprunt ou se porte caution l'un de l'autre. La liquidation du régime En principe, la liquidation du régime à la suite d'un décès ou d'un divorce ne pose aucun problème puisqu'il n'existe, par définition, aucun bien commun. Dans la pratique, plusieurs problèmes peuvent surgir. Le partage des biens indivis en soumis au régime classique de l'indivision. Les époux peuvent prévoir que ces biens

-Période de refondation ou de refondation Carbonier : Les 3 lois fondamentale : *Loi de juillet 1965 réformant le droit des régimes matrimoniaux. *Loi du 3 janvier 1972 qui a entièrement réformé le droit de la filiation. *Loi de juillet 1975 sur les divorces. -Période de retouche qui est marqué par l’élaboration de textes destinés à modifier ponctuellement le droit de la famille : *Loi de décembre 1985 qui achève de réformer les régimes matrimoniaux. *Loi de juillet 1993 qui institue le Juge Aux Affaires

exprimera de la manière suivante : « quand j’hésite, j’achète tout » Les Années 80 son également Marquées par la montée du chiffre des divorces, l’émergence des foyers uniques, ainsi que par une autonomisation croissante des membres de la famille. Les structures familiales éclatent et le divorce n’est plus vraiment tabou contrairement aux années précédentes ou le divorces était mal vu. La publicité et même le marketing on dû s’adapter à ces nouveaux modes de vie. Les campagnes des années 80 révèlent alors

convention de New York de 1990, les questions relatives à la protection pénale de l’enfant ou inversement relative à la poursuite pénale des enfants délinquants, les questions intéressant la participation des enfants à diverses procédures familiales (divorce de ses parents par exemple), les questions relative à l’éducation des enfants, les questions sociales (l’enfant au travail, l’enfant et la sécurité sociale), etc. Si le droit de l’enfant envisage l’enfant comme un pré citoyen, voire comme un citoyen

pour se marier il faut obtenir l’autorisation de son seigneur (celui qui est à la tête du fief, du domaine). Lorsqu’on est un homme ou une femme il faut demander l’autorisation à ses parents. La deuxième conséquence canonique est l’interdiction du divorce, le mariage est indissoluble. Deux atténuations : - La séparation de corps est possible, l’église propose ce mécanisme mais celui-ci ne rompt pas le sacrement du mariage. - Dès lors qu’il n’y a pas consommation du mariage. B) Le mariage

mai 2007 un contrat de courtage matrimonial auprès d’une société. Ce contrat prévoyait des frais d’adhésion d’un montant de 8100 euros. Lors de son inscription, le justiciable a stipulé par écrit qu’il était divorcé, ce qui n’était pas le cas au moment de la signature du contrat (le divorce fut prononcé le 22 avril 2008). Pour cela, la société réclame un versement de dommages et intérêts, ainsi que l’annulation du contrat liant les deux contractants. * Procédure : La société de courtage matrimonial

notoriété. En effet, par cette définition, on peut voir que le concubinage se rapproche du mariage, mais pas complètement. En effet, le 1er décembre 1997, un juge du tribunal de grande instance de Lyon a pu statuer sur le fait qu’une femme en instance de divorce pouvait « disposer d’un espace personnel » dans la mesure ou, même si elle entretenait un lien de concubinage avec un autre partenaire, celui-ci n’était « pas créatrice d’obligations juridiquement sanctionnées pour ce dernier ». Il en est cependant

de lfunion libre qui peut emprunter des formes très diverses allant de la cohabitation juvénile soit la cohabitation post matrimoniale (réunion de personne plus âgée ayant connus le mariage, puis sa dissolution par la mort dfun conjoint ou le divorce ou encore le couple homo affichant leur différence.) cette augmentation de lfunion libre à entrainer une très forte chute du nombre de mariage. Sfagissant des relations parent - enfant on notera qufelles prennent appui sur la filiation et se manifeste