Exposé Sur Le Baroque

2012-2013 Objet d’étude : le théâtre. Le texte théâtral et sa représentation du XVIIème siècle à nos jours Séquence 3 : L’illusion comique (1636) de Corneille (œuvre intégrale) Problématique : En quoi cette pièce relève-t-elle de l’esthétique baroque ? Passages ayant fait l’objet d’une lecture analytique : 1) Scène 1, acte I (LA) : une scène d’exposition 2) Scène 3, acte I, vers 163-187 (LA) : la vie aventurière de Clindor ("Votre fils tout d’un coup ne fut pas grand seigneur […] c’était

exprime de grands sentiments entre des personnages de haut rang I. La vie théâtrale au XVIIème siècle 1) Où va-t-on  voir une pièce de théâtre? 2) Comment se déroule une représentation? 3) A quoi ressemblent les costumes et les décors? II. Du baroque au classicisme 1) Une période de transition 2) La règle des trois unités 3) Bienséance et vraisemblance III. Comédie et tragédie 1) Progression de la comédie 2) Perfection de la tragédie 3) Synthèse des points communs et différences entre les

un succès considérable. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une comédie tragique qui raconte la vie d’un libertin. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, à cause de ses tromperies et de son jeu avec les apparences, ceci ne correspond pas aux caractéristiques du mouvement classique.En quoi cette scène remplit-elle son rôle de scène d'exposition ?Nous allons voir comment la première scène de l’acte

thèmes principaux de l’œuvre et indiquez le sens que leur accorde l’auteur ou le metteur en scène. D) 2e paragraphe consacré à la mise en scène. Vous devez exposer les intentions du metteur en scène et les moyens qu’il prend pour les livrer sur scène : choix de l’esthétique (réalisme, réalisme épuré, minimaliste, fantaisiste, baroque, avant-gardiste, multi-média…); proposition de la mise en espace; utilisation de l’espace scénique; direction d’acteur (le(s) rythme(s) du jeu, le travail du corps…);

dans ses bras que d'une patte et son visage est inexpressif. la blonde, à l'inverse est a moitié nue, et se cache à peine, bien maquillée, et bien en chair. Le contraste entre l'attitude des deux personnages en est dérangeant. Autres œuvres qui expose l'écart entre ce qui est montrée à l'enfant et ce qui est réellement, vient appuyer encore une fois que, passé un certain âge, le monde perd de sa magie. III. Les Expositions 1988 : Banality show. Souhaite toucher le public en exposant objet

Seul dépasse de la bure le visage aux yeux révulsés, la bouche ouverte en un silencieux dialogue. ____________________________________________________________ _______________ Pierre-Paul Rubens ( 1577-1640 ) est un peintre baroque flamand. Il a accepté de peindre un grand nombre de portraits mais, « d'instinct plus porté aux grand travaux qu'aux petites curiosités » comme il l'écrivait lui-même, il a surtout réalisé des grands projets religieux, des peintures mythologiques

mort qui pouvaient cohabiter au siècle des Lumières afin de saisir le glissement qui s’est effectué progressivement de la mort familière à la mort rejetée. Pour y répondre nous nous intéresserons dans un premier temps à la mort-spectacle ou mort baroque, qui est une sorte de réminiscence de cette familiarité avec la mort, notamment lors du grand cérémonial, qui est toujours public. Nous tracerons ensuite un tableau assez contrasté de la mort du juste comparée à celle de l’impie. Et pour terminer

italienne (comédie d’intrigue, d’imbroglio autant que de mœurs) : tend à s’écrire en prose. 3. La dramaturgie Décor fixe, peint selon lois de la perspective ; apparition de machines (qui permettront métamorphoses du théâtre baroque). A l’origine (comme toujours chez la Pléiade), le nouveau théâtre se réfère plus à des modèles (Plaute, Térence pour comédie, Euripide et Sénèque pour tragédie) qu’à des règles. Elles sont floues : Art Poétique d’Horace et chez des rhéteurs

texte Corneille, Le Cid, acte III, scène 3, vers 803 à 837 Le texte que nous allons analyser est extrait d’une célèbre tragédie du XVIIe siècle, Le Cid. Cet ouvrage a été composé par Corneille, un auteur classique avec néanmoins quelques influences baroques. Corneille a écrit une première version du Cid, qu’il a ensuite modifiée pour qu’elle corresponde aux règles de la tragédie classique, instaurées par l’Académie française. Le passage sur lequel nous allons nous concentrer se situe dans la 3ème scène

février 1665, du dramaturge comédien Molière. Cette pièce est inspiré e l’œuvre Don Juan de Tirso de Molina, c’est une contre-attaque à a Cabale des Dévots après la censure de Tartuffe, en 1664. En pleine époque classique, Molière créer une pièce baroque sur le sujet du libertinage, très présent dans la société du XVIIème siècle qui reste néanmoins sensible, surtout pour l’Eglise. Dès la deuxième représentation de la pièce, Molière a joué la prudence, contre ses détracteurs, en modifiants certains