Exposé Sur Le Bonheur

L’homme peut-il trouver le bonheur par lui-même selon Pascal ? La recherche du bonheur est un thème fondamental de la morale que traite Pascal en évoquant différentes thèses à ce sujet. Selon Pascal, l’homme est toujours à la recherche du bonheur, c’est sa nature qui veut cela, mais il est incapable de trouver une félicité durable. Comment l’homme cherche-t-il le bonheur ? Pourquoi ne peut-il le trouver ? Nous verrons que pour Pascal, l’homme cherche précisément l’inaccessible. Pour fuir la conscience

être source de satisfaction. On désire que ce qu'on n'a pas mais que l’on aimerait avoir, cela s'accompagne donc nécessairement d’un sentiment de privation, de vide, de manque. Seul le vieux désire rester jeune, seul le laid désire être beau. Platon expose cette thèse dans le Banquet, dans un dialogue mettant en scène Socrate dans une discussion arrosée où il est question de l’amour et du désir. Mais le désire reste finalement très complexe, il peut être durable, peut ne jamais s’interrompre, comme

« l’argent n’apporte pas le bonheur ». Alors, que signifie le bonheur ? Serait-il seulement le fait d’être riche ? Si on pense un peu à cela on se rend compte qu’on est heureux quand on est bien portant, quand on aime et quand on est aimé. La richesse ne peut pas acheter la santé et l’amour comme on achète du pain. Etre riche, cela ne signifie rien si on n’a pas les choses qu’on ne peut pas acheter. On pourrait affirmer que le rôle de l’argent est seulement celui d’entretenir le bonheur, sans vraiment le

donc la tendance naturelle (…) la cause de son insatisfaction. » §4 : « Or il est une conséquence nécessaire (…) pour les rendre malheureux. » §5 : « C’est au premier chef (…) » jusqu’à la fin. §1 : Dans cette première partie du texte, Leopardi expose la thèse de sa théorie du plaisir. La théorie du plaisir semble être la « nature de notre esprit et de tout être vivant ». Dès le début, l’esprit conscient et l’esprit de l’animal sont mis en parallèle, ce qui semble indiquer que la théorie du plaisir

mouvements futurs ? I- Un monde parfait A) recherche du bonheur L’idéal inaccessible de tous passe inévitablement par la quête du bonheur, ainsi, depuis tous les temps et particulièrement durant le mouvement humaniste, les écrivains illustrent leur rêve par des mondes imaginaires, ou le bonheur est roi. - le roman : Le grand Meaulnes écrit au XXe siècle par Alain fournier insiste sur la recherche presque inespérée du bonheur. Mais une fois trouvé, il ne lui échappe plus et l’histoire de

de son œuvre théorie et pratique datant de 1793, Kant s’interroge sur deux notions indissociables : la morale et le devoir, comme nous pouvons le voir lorsqu’il dit : « on n’en a pas le droit, c’est-à-dire : cela contredit le devoir ». Il nous en expose sa vision très clairement en l’illustrant d’un exemple précis qui compose la majeure partie du texte. S’il commence par un cas plutôt simple auquel toute personne pourrait s’identifier, son exemple prend au fil du texte de plus en plus d’ampleur et

détachement entre le corps de Merseult et son esprit, et enfin, qu'il meurt heureux. Le monde naturel est bon. On remarque qu'il y a un registre liryque, représentant le bonheur de Meurseult grâce au spactacle que lui offre le monde. La métaphore "Rien, pas un amour ni un décor, mais un désert infini de solitude et de bonheur" signifie que Meurseult n'a pas besoin d'avoir des sentiments pour se sentir bien, au contraire, la métaphore "jouait ses dernières cartes" veut dire que pour Merseult,

relations. Ainsi, le Mahoute, diabétique et héroïnomane, vient-il lui faire sa piqûre. Nous analyserons l’humour noir de la situation avant de nous intéresser aux arguments de Momo contre la drogue et à son attaque, beaucoup plus inattendue, contre le bonheur. I/ UNE SCÈNE D’HUMOUR NOIR a). La situation est des plus incongrues : ce n’et pas une infirmière mais un toxicomane qui vient régulièrement faire sa piqûre à Madame Rose, et il se trompe d’ampoule, lui injectant sa propre héroïne, au risque

l’approche du souverain bien, comblement de tous nos désirs : le bonheur. Pourtant la pensée par ce même sentiment nous conduis à subir la douleur de la perte d’un proche à l’encontre de ce bien absolu. Faut-il alors s’abstenir de penser pour être heureux ? L’éradication de la pensée éviterait elle de connaître déplaisirs nous ramenant vers un bonheur plus certain ? La pensée ne serait elle pas source de plus grands plaisirs vers un plus grand bonheur ? Nous verrons dans un premier temps que la pensée semble

ont été mal reçues et on crée la polémique à l'échelle planétaire. Le peuple doit-il suivre de façon systématique les lois de la religion pour prétendre à une vie meilleure, au bonheur ? Pour Karl Marx, la religion est une illusion qui apaise l'angoisse humaine en proposant une Providence bienveillante ; elle est un bonheur "illusoire". Dans un premier temps (ligne 1 à 4), Marx présente la religion comme une réalisation fantastique de l'homme, qui serait la théorie générale de ce monde. Ensuite, de