Exposé Sur Le Horla

Le horla Histoire: On peut très bien imaginer ce livre comme un journal intime, le narrateur s'y exprimant à la première personne. Il nous rapporte ses angoisses et troubles par une sorte de journal : il sent autour de lui la présence d’un être invisible qu’il nomme le « Horla ». Au début lucide, il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise. Il finira par incendier sa demeure et, dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence

EXPOSES SUR LE HORLA ① La structure temporelle Ecrit sous forme journal intime. C’est une forme originale. Narrateur raconte chaque jour ce qui lui arrive. Dans chambre d’hôtel, il raconte brûlage maison. Journal intime : au jour le jour. 1er 139 jours dernier jour. 39 jours racontés, 100 pas racontés. Dates + importantes que d’autres. ② La structure géographique Début : maison entre Rouen et Paris : 8 mai au 3 juin expédition au Mont-Saint-Michel : 4 juin au 2 juillet maison : 3 juillet

Dans l'extrait suivant du roman de Guy de Maupassant, Le Horla, le narrateur expose les émotions du protagoniste ressenties au contact de l'Être Invisible. En premier temps, le narrateur illustre la peur qui émane du personnage à l'approche du Horla. La peur du personnage se manifeste lorsque le Horla l'épie pendant sa promenade dans la forêt: « Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d'angoisse. […] ». (L. 25) On peut déduire qu'il sentait une présence

par Maupassant n ’a pas d ’antécédents tels que l’hérédité ou l’alcool. Elle est angoissante car ce n ’est pas une maladie que l’on peut essayer de comprendre et de soigner. P.-J. Castex dans Le conte fantastique en France de Nodier à Maupassant expose la thèse qu’il y a des traces autobiographiques dans des récits de Maupassant. Selon Castex, Maupassant touché d’une maladie mentale, a pris un vif intérèt pour la folie. L’écrivain fait les premieres allusions à la démence du héros dans son premier

41 Le trajet vers Le Horla — La « folie » dans les contes « fantastiques » de Maupassant Kazuhiko ADACHI Maupassant, la folie, et le « fantastique » On sait bien que Maupassant a souffert du mal que cause peut-être une syphilis mal soignée et qui a influencé la formation chez lui d’un pessimisme profond. Il est indéniable que l’auteur du Horla a repris plusieurs fois la folie comme thème central de ses contes en s’appuyant, d’une part sur son propre intérêt et son expérience, d’autre part

pâle, Victor Hugo Le rouge et le noir, Stendhal  Julien Sorel Les misérables, Victor Hugo  Jean Valjean Eugénie Grandet, Balzac Vous les entendez ?, Nathalie Sarraute Stupeurs et tremblements, Amélie Nothomb Bel Ami, Maupassant  George Duroy Le Horla, Maupassant Tous les matins du monde, Pascal Quignard Les diaboliques, Barbey d’Aurevilly La confession d’un enfant du siècle, Alfred de Musset Si par une nuit d’hiver un voyageur, Italo Calvino « On ne fait pas de bonne littérature avec de bons

fantastique · Guy de Maupassant, Le Horla , 1887. Qu’en est-il quand le moi connaît un phénomène de dédoublement qui brouille encore davantage ses limites ? Peut-on perdre la conscience de soi ou même percevoir son moi comme un autre ? La littérature fantastique exploite ce topos : dans la seconde version du Horla , Guy de Mau- passant joue avec la forme du journal pour restituer les méandres

( extrait du Horla, Maupassant, chap.6 (Hatier, p.34) ( Lecture / Outils de la langue ( Ecriture( Lecture du chapitre en fonction des deux axes ( Elaboration au tableau d’une fiche de synthèse  ( Exercice d’écriture : rédiger la suite de l’extrait du Horla en utilisant les différents outils

au jugement de Louis Vax, le fantastique doit sourdre du monde, il doit donc avoir un certain réalisme en lui. Ce n’est qu’au fil du récit que cette hésitation peut apparaître même si l’évènement de départ peut paraître irréel au moment où il est exposé. Cette idée se vérifie bien dans La Morte Amoureuse de Théophile Gautier où le point de départ est les rêves d’un jeune séminariste qui a l’impression d’avoir une double-vie suite à la vision d’une femme lors de son ordination. A la suite de cette

prêtre : « Vous n’êtes pas croyant , docteur mais aidez-moi, n’est ce pas ? Vous vous chargez de l’amener ? Et je lui promis mon aide. P 44,45 3_ Illustration du « conte de noel » : B. Exposé à l’oral de 5 mn, avec le dossier précédent comme support ( 5 points) 1_ Le livre que j’ai lu s’appelle : « Le Horla » écrit par Guy de Maupassant en 1887. Guy de Maupassant est né au Château de Miromesnil à Tourville sur Arques le 8 août 1850. Il est français et de religion