Expression La Fete De Gervaise

philosophique (page 29) la destinée de l’œuvre (page 31) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 Résumé Chapitre I En 1850, sont, depuis deux semaines, arrivés de Plassans, en Provence, à Paris, Auguste Lantier, sa compagne, Gervaise, et deux de leurs fils, Claude et Étienne. Ils s'installent dans le faubourg de la Goutte-d’Or. Descendus d’abord à l’hôtel Montmartre, ils se réfugient à l’hôtel Boncœur, un garni misérable. Comme Lantier, qui est paresseux, infidèle et ne supporte

vont engager toute la suite et le dénouement du roman, illustrent d'emblée la formule employée par Zola pour répliquer à ceux qui le critiquaient, "une oeuvre de vérité" montrant l'une des "plaies" d'un "milieu gâté": l'alcoolisme. Coupeau Invite Gervaise à l'Assommoir du père Colombe, occasion pour le romancier natura liste de proposer au lecteur un document''vrai". On étudiera la représentation de la réalité et sa transposition littéraire. La représentation de la réalité se fait à la fois par

situe au moment ou les coupeau viennent de s'installer sous les toits dans le trou le plus sal. Ils ont laisse a virginie leur belle boutique. Ce passage vient après un dernier événement joyeux de leur vie de famille : la communion de nana qu'ils ont fête avec leurs anciens amis. Ensuite ils tombent dans une grande misère. Nous verrons comment Zola cherche à faire sentir a ces lecteurs bourgeois l'effroyable pression de la misère. Nous verrons comment Zola dresse un portait très réaliste de la misère

Culture générale et expression – devoir trois Travail un : Le document un est un article rédigé pour l’Université de Provence par Jacqueline Voisenet qui s’intitule « le Banquet Chrétien au Haut Moyen Age » publié en 1996. Il s’agit d’un texte argumentatif dont l’idée directrice est la générosité des banquets chrétien au moyen âge afin de nouer de bonnes relations (amitié et paix) avec les convives. Les idées principales sont que celui qui reçoit montre sa puissance en offrant des mets de

les vingt années de l'existence douloureuse de Gervaise, une blanchisseuse. Cette femme, qui vit à Paris dans le misérable quartier de la Goutte-d'Or, a durant toute sa vie été malheureuse en ménage. Tout d'abord délaissée par son compagnon Lantier, elle se marie avec un ouvrier zingueur nommé Coupeau. Malheureusement, après un accident de travail, cet homme finit par plonger dans l'alcoolisme et bat Gervaise, tout en lui soutirant son argent. Gervaise, qui veut investir ses économies dans une blanchisserie

Culture générale et expression Devoir 1 Ce devoir est à réaliser après l’étude des séquences 1 et 2 du module 2. Thème : dans le cadre du thème « Les droits de l’enfant », Les maisons de redressement Objectifs ➧ Savoir lire un document de manière approfondie (objectif de compréhension) ➧ Pour cela, savoir identifier les éléments d’un paratexte et les exploiter ➧ Reconnaître les principales marques d’énonciation et les exploiter ➧ Savoir dégager les idées d’un extrait et les reformuler

XII Ce devait être le samedi après le terme, quelque chose comme le 12 ou le 13 janvier, Gervaise ne savait plus au juste. Elle perdait la boule, parce qu’il y avait des siècles qu’elle ne s’était rien mis de chaud dans le ventre. Ah ! quelle semaine infernale ! un ratissage complet, deux pains de quatre livres le mardi qui avaient duré jusqu’au jeudi, puis une croûte sèche retrouvée la veille, et pas une miette depuis trente-six heures, une vraie danse devant le buffet ! Ce qu’elle savait, par

en travaillant. (texte 28) – première ivresse sérieuse, mais gaie. (texte 29) – première ivresse blanche. (texte 30) – l’alcoolisme devient chronique, Coupeau ne travaille plus. (texte 31) – Coupeau, malade, a dévasté la chambre, ce qui pousse Gervaise dans celle de Lantier. (texte 32) – "Le pichenet et le vitriol l’engraissaient, positivement." (texte 33) – la pituite. Coupeau se soigne à l’eau-de-vie. (texte 34) – à Sainte-Anne, fluxion de poitrine, délire passager. Cauchemars, hallucinations

œuvre aussi large et aussi vivante qu’il pourra ! Je ne démens aucun conte, je travaille, je m’en remets au temps et à la bonne foi publique pour me découvrir enfin sous l’amas des sottises entassées. EMILE ZOLA Paris, 1er janvier 1877. –4– I Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir

œuvre aussi large et aussi vivante qu’il pourra ! Je ne démens aucun conte, je travaille, je m’en remets au temps et à la 6 bonne foi publique pour me découvrir enfin sous l’amas des sottises entassées. ÉMILE ZOLA Paris, 1er janvier 1877. 7 I Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir