Exprimer Le Souvenir

ART DU LANGAGE (Arts, Etat, pouvoir.): Louis Aragon : « Strophes pour se souvenir ». BIOGRAPHIE : Louis Aragon est né en 1897 à Neuilly-sur-Seine. C’est un poète, romancier et journaliste français. Il fait parti du mouvement surréaliste, et s’engage ensuite au parti communiste en 1933. Résistant pendant la seconde Guerre mondiale, considèrent la poésie comme un moyen de défense nationale, il est la figure même du poète engagé, mais il est aussi célèbre pour ses poèmes lyrique. Il meurt en 1982

d’harmonie et de régularité. II. Vertige des sens et des sensations 1) le vertige La reprise des mêmes rimes crée un effet lancinant ; au-delà de l’harmonie, le poème devient une sorte de tourbillon d’images et de sensations, ce qui est exprimé par les vers 3 et 4. 2) les différents sens La vue : " triste et beau " ; " luit comme un " L’ouïe : " valse " ; " violon " L’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances

d'adolescent, ses souvenirs de collège, ses premières luttes littéraires et ses impressions de promeneur ému par la beauté de la nature. Il s'y exprime à la première personne et évoque son expérience de la vie et de la poésie. Les Contemplations sont un recueil de 158 poèmes rassemblés en 6 livres que Victor Hugo a publié en 1856. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1834. Les Contemplations sont un recueil du souvenir, de l'amour

est reconnu comme un écrivain majeur du XXe siècle par l’abondance et la variété de son œuvre. Il est surtout un des créateurs qui a su se réapproprier les formes du passé comme s’aventurer dans les démarches les plus novatrices de son temps pour exprimer un lyrisme puissant et une quête de soi. En 1967, il publie un étrange roman, Blanche ou l’oubli, où il s’interroge sur la création artistique et la conscience psychologique. Ainsi entend-il analyser le « doute perpétuel qui règne sur l’existence

névroses sont liées à des souvenirs coincés dans la mémoire. Deuxième leçon : La névrose n’est pas due à une dégénérescence congénitale, mais à une histoire individuelle (≠Pierre Janet). L’hystérie est l’effet de conflits intérieurs du psychisme qu’il faut parvenir à mettre à jour. Freud abandonnera le procédé de l’hypnose. « Les souvenirs oubliés ne sont pas perdus ». Le refoulement : concept qui désigne le processus par lequel est maintenu dans l’inconscient des souvenirs qui sont inacceptables

d’harmonie et de régularité. II. Vertige des sens et des sensations 1) le vertige La reprise des mêmes rimes crée un effet lancinant ; au-delà de l’harmonie, le poème devient une sorte de tourbillon d’images et de sensations, ce qui est exprimé par les vers 3 et 4. 2) les différents sens La vue : " triste et beau " ; " luit comme un " L’ouïe : " valse " ; " violon " L’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances

nation est en train de naître. 3) Le pastiche facilite la résurgence du souvenir. C’est grâce à la lecture de Flaubert que Proust révolutionne la littérature et fait de la phrase une vision du monde qui part à la recherche du temps perdu. La phrase sinueuse suit les circonvolutions de sa conscience qui retrouve progressivement les bribes de son souvenir et les fait ressurgir à la surface. « Et tout à coup le souvenir m’est apparu. Ce goût, c’était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche

Il décedera des suites d'une anémie en mai 1981. Résumé : Le Livre De Ma Mère est une oeuvre autobiographique, dans lequel Albert Cohen raconte des brides de sa vie. Il nous exprime son désarroi face à la mort de sa mère, sa tristesse, son malheur. Dans ses souvenirs, il nous rappelle avec une extrême précision, les souvenirs de sa mère, ses attidudes, ses gestes, ses mots, son réconfort. Il raconte sa mère avec passion. Il nous fait partager ses moments d'angoisse face à une mort inévitable, indéniable

blancheur suggère la pureté mais aussi la sensualité. 2- Le souvenir négatif d’une passion Un champ lexical péjoratif : « putain, panthère, amer, rebute, sanglant ». La virulence du vocabulaire exprime une sensualité violente et dangereuse. Comparaison avec des êtres mal faisant «la panthère, la sirène ». Les souvenirs amoureux deviennent des cauchemars « saveur amer, sanglant, faisant pleurer » 3- Un revirement inattendu Mais se souvenir remet un retournement à la 4ème strophe : - Importance

l'intéresse plus. Il ne se retrouve même plus dans ce procès puisque son avocat dit « je » pour Meursault à la place de « il ». Beaucoup d'expressions telles que « j'étais déjà très loin de cette salle d'audience »(l.7) ; « j'ai été assailli des souvenirs d'une vie qui ne m'appartenait plus »(l.21-22) révèlent son indifférence. Il ne s'occupe plus de son ancienne vie ; « m'écarter encore de l'affaire » (l.6), « me réduire à zéro »(l.6)l. ; « se substituer à moi »(l.6) révèlent qu’il se sent étranger