Extrême Limite

élastique Zone de déformation plastique Rm Re0,2 Re E 0 0,2 0,4 εn (%) courbe contrainte-déformation d’un matériau ductile, E, Re,Re 0.2, Rm Module d ’Young E σ n = E εn E caractéristique intrinsèque du matériau Limite d’élasticité Re = limite entre zones élastique et plastique → limite d’élasticité conventionnelle Re0.2 (contrainte correspondant à 0,2 % de déformation) Résistance à la traction Rm contrainte maximale atteinte durant l’essai de traction Exploitation de la courbe σ−ε σ Résistance

La pression maximale d’épreuve est limitée à la pression qui détermine dans le métal des contraintes atteignant 90% de la limite d’élasticité spécifiée. Cette pression est déterminée à partir de la relation suivante : Pmax = 2.S.t.E D Ou : Pmax : Pression maximale d’épreuve en (bar). S : Contrainte égale à 90% de la limite d’élasticité en (bar). t : Epaisseur nominale du tube exprimée en (mm), moins la tolérance négative de fabrication. D : Diamètre

...................................................................................... 19 1.3 Trajectoires et lignes de courant..................................................................................................... 20 2. Conditions limites .......................................................................................................................................... 21 1 Réalisé par : Jirikoff Nicolas Vanderstappen Geoffrey 2.1 Interfaces fluide-solide .................

Validations – Démarche du calcul scientifique : 1.1 Introduction Une première approche Chapitre 1 3 ′′ (1.5) f (t) = c1 eβ κ t 2 t) [A cos(ω x) + B sin(ω x)] Marc BUFFAT, UFR Mécanique, UCBLyon – Conditions aux limites ⇒ A = 0 , ω L = nπ u(x,t) = e−(κω (1.7) (1.6) ′′ g (x) − β g(t) = 0 ′ (1.4) (1.3) (1.2) (1.1) 4 f (t) − β κ f (t) = 0 – Solution fonction du signe de β Solution physique ⇒ constante β < 0 – En intégrant (1

Génie Civil de Grenoble 2. Caractéristiques mécaniques des boulons L’EC3 n’autorise que sept classes mécaniques de boulons. Temporairement, en France subsiste la classe 6.6. Les caractéristiques mécaniques des boulons nécessaires sont : fyb : limite d’élasticité fub : résistance à la traction Classe fyb (Mpa) fub (Mpa) 4.6 240 400 4.8 320 400 5.6 300 500 5.8 400 500 6.8 480 600 8.8 640 800 10.9 900 1000 6.6 360 600 Pour une classe XY donnée, fyb

transversal : G=E/2*(1+) où  est le coefficient de Poisson Courbe type de traction : E est le module d’élasticité longitudinale, il s’exprime en N/mm2 et est égal à la pente de la droite de proportionnalité et de l’élasticité du matériau. La limite élastique Re s’exprime aussi en N/mm2 et marque la fin du domaine élastique (« point A »). Il marque aussi le passage d’une déformation élastique à une déformation plastique. Pour cette dernière, l’éprouvette ne retrouve plus ses dimensions initiales

contre le fond de la matrice. Le flan peut glisser entre le serre-flan et la matrice. *Fluer : Peut être traduit par : glisser / couler / se déformer… Phase 3 : Le poinçon et le serre-flan sont relevés : la pièce conserve la forme acquise (limite d’élasticité dépassée). Phase 4 : On procède au « détourage » de la pièce, c'est-à-dire à l’élimination des parties devenues inutiles. (Essentiellement les parties saisies par le serre-flan). Selon la profondeur ou la forme de la pièce, plusieurs

des pièces à la fatigue CETIM. DEBIEZ (S.). – Les aciers modernes : de nouvelles exigences pour les produits d’apport Soudage et techniques connexes, juin-juill. 1992. [5] Conseil pour le soudage des aciers de construction métallique et chaudronée à limite d’élasticité garantie 420 N/mm 2 – OTUA (Office technique pour l’utilisation de l’acier). Conseils pour obtenir des aspects de soudure plus favorables à la tenue en fatigue – Institut de soudure et OTUA. CECA. – Aciers à grains fins pour constructions

mécanique II 2007 Rm = 1.2 GPa R0.2 = 1.0 GPa 2 Exercice 14: dimensionnement à la fatigue d’un arbre en torsion. Corrigé Pour résoudre ce problème, il faut construire le diagramme de résistance à la fatigue. Pour ce faire, il faut connaître la limite d’endurance effective de la pièce considérée (SNEeff) et donc le facteur de correction CG qui dépend de la taille de l’arbre d . De même. Pour estimer le facteur de concentration de contrainte en fatigue, Kf, il faut connaître d. Il s’agit donc de

essentiellement les contraintes d’une part, et les déformations d’autre part. Les règlements ou les donneurs d’ordre qui commandent un ouvrage imposent des limitations sur les contraintes et sur les déformations. Par exemple, en construction métallique, on limite la flèche d’une poutre : L f ≤ L 300 f On s’intéresse ici aux déformations et aux déplacements d’une poutre, que l’on suppose droite. On établira en particulier les équations de déformations de la poutre dans un repère local lié à