Fable Roi Lion

auteur critique ? I-Jean de La Fontaine un auteur engagé qui critique une société 1) L'engagement de Jean de La Fontaine -Il dénonçait la société corrompue dans laquelle il vivait tout en courant beaucoup de risques car Louis XIV n'était pas un roi très commode : si quelque chose ne lui plaisait pas il le faisait payer très cher (ex : Fouquet le protecteur de La Fontaine) -Mais Jean de La Fontaine était un homme adroit, car il a contourné la censure grâce aux animaux qu'il met en scène dans ses

 cetterépétition dansle discours du Lion met en évidence son hypocrisie.parallélismes « :, exPlus d'amour, partantplusde joie » introduit un lien de ABAB « partant »cause à conséquence.chiasmes, ex « : ne mouraient pas Ilstous,maistous étaient frappés » ABBA. La conjonction« mais » sert depivot au chiasme et souligne l'opposition.antithèses « :, ex  terre », / « Ciel »antithèse qui, dans une pensée religieuse, sépare nettement lemonde de Dieu de celui des hommes. (la première faute du Lion est de croire qu'il

JEAN DE LA FONTAINE, « LE LION ET LE MOUCHERON » (Livre II, fable 9), p. 74-75 PROBLÉMATIQUE : De quels procédés La Fontaine use-t-il, dans cette fable, pour rendre son enseignement plus efficace ? Axe 1 : La Fontaine surprend son lecteur en présentant deux animaux diamétralement opposés par leur taille et leurs forces, mais égaux par leur orgueil… Arg. 1 L’image du Roi Lion attendue par le lecteur… Arg. 2 …est déjouée par le fabuliste au profit du Moucheron… Axe

Fable ou Histoire (III, 3) Un jour, maigre et sentant un royal appétit,  Un singe d'une peau de tigre se vêtit. Le tigre avait été méchant, lui, fut atroce. Il avait endossé le droit d'être féroce. Il se mit à grincer des dents, criant : « Je suis Le vainqueur des halliers, le roi sombre des nuits ! » Il s'embusqua, brigand des bois, dans les épines ; Il entassa l'horreur, le meurtre, les rapines, Egorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait

| |Les tourterelles se fuyaient: | |Plus d'amour, partant plus de joie. | |Le lion tint conseil, et dit: «Mes chers amis, | |Je crois que le Ciel a permis | |Pour nos péchés cette infortune;

Au XVIIe sicle, La Fontaine crit la fable intitule Les obsques de la Lionne en 1885, Zola publie son clbre roman Germinal et, la toute fin du XIXe sicle, Jarry renouvelle la comdie en composant la pice de thtre Ubu roi. Les auteurs utilisent des registres diffrents pour transmettre leur critique. La Fontaine est un moraliste qui dnonce les relations hypocrites ( paratre ) et la place de la flatterie. Cest un flatteur qui dnonce le cerf et cest en flattant que lanimal chappe la condamnation

époques : de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui. Un apologue est un récit en prose ou en vers qui a pour fonction d'illustrer une leçon de morale. Sa visée est donc argumentative et didactique. L'apologue apparaît sous différentes formes : la parabole, la fable ou encore le conte ( philosophique … ). Ce genre de récit a pour but d'instruire le lecteur et permet à l'auteur de dénoncer des faits révoltants ou encore d'avancer des valeurs ou des idées nouvelles. De ce fait, l'apologue est en vogue chez les moralistes

Nous allons comparer la fable d’Esope, fabuliste de l’antiquité grecque, intitulée « Le Lion, le Loup et le Renard » et sa réécriture par Jean de La Fontaine, fabuliste classique. D’une part, ces deux fables présentent de nombreux points communs. En effet, les titres identiques opposent trois animaux par leurs caractères moraux. Les deux textes retracent la même mésaventure, celle d’un loup qui médit du renard auprès du Lion, mais qui retombe dans son propre piège face à la ruse du renard. Les

obsèques de la Lionne Vers 1 à 15 : Situation initiale - Deuille a la cour Vers 17 à 23 : Commentaire du narrateur Vers 25 à 29 : Elément perturbateur - Le Cerf indifférent Vers 28-29 : Péripétie n°1 - La dénonciation au Roi Vers 30 à 38 : Péripétie n°2 - La colère du Roi Vers 39 à 49 : Elément de résolution - La défense du Cerf Vers 49 à 51 : Situation finale - Le Cerf gracié Vers 52 à 56 : Moral Différents discours des différents locuteurs : Vers 32 à 38 : Le Roi au Cerf. Discourt

des mètres Alexandrins (vers 4, 19, 35) et octosyllabes (vers 1, 3, 6, 42…) se succèdent. Tempos différent qui brise la monotonie métrique. B. Une fable polyphonique 1. alternance du discours direct et du récit Les voix fictionnelles alternent. Voix du narrateur (vers 1-16, 24-32, 49-51), voix des protagonistes de la fable (discours du roi : vers 33-38 ; discours du cerf : vers 39-49). 2. La voix du fabuliste Autre voix qui résonne : celle du fabuliste (vers 17-23 et vers 52-55). La variété