Facteurs Clé De Succes Bnp Paribas

locales. Ces PME perdant peu à peu pied... La crise financière a alors révélé le dysfonctionnement industriels que nous venons de citer. LES ORIGINES DE LA CRISE Que s’est –il passer ? Dans une large mesure, ces pays ont été victimes de leur propre succès. Sur la lancée de leurs solides performances économiques jusqu’au début des années 90, les pays asiatiques ont refusé de voir les problèmes lorsqu’ils ont commencé à se manifester. Se croyant à l’abri d’une crise du type de celle qui avait secoué

des jeunes des rues est faible, la plupart n'ayant pas poursuivi leurs études au-delà de l’école primaire. Le taux d'abandon scolaire reste élevé au sein de cette population. La population des enfants et des jeunes des rues accumulent de nombreux facteurs alimentant le cercle vicieux de la pauvreté et de l’exclusion : faible niveau d’alphabétisation et d’éducation. Que ce soit dans le voisinage, dans les magasins, dans les transports, sur le marché de l’emploi, les enfants ainsi que les jeunes adultes

d’assurer que les objectifs fondamentaux de l’entreprise soient atteints » ; -pour Rumelt (1980)6, « un ensemble de politiques et de plans qui, pris dans leur ensemble, définissent les objectifs d’une entreprise et son approche de la survie et du succès. Inversement, nous pourrions dire que les politiques, les plans et les objectifs d’une entreprise expriment sa stratégie pour affronter un milieu concurrentiel de plus en plus complexe » ; -pour Andrews (1980)7, «le modèle de décisions avec lequel

Groupe Président de Bouygues Telecom François Bertière P-dg de Bouygues Immobilier Patrick Kron P-dg d’Alstom Alain Pouyat Directeur général Informatique et Technologies nouvelles Madame Francis Bouygues Directeur général délégué de BNP Paribas Hervé Le Bouc P-dg de Colas Directeur général de Groupama Centre-Atlantique Georges Chodron de Courcel Helman le Pas de Sécheval Charles de Croisset International advisor Goldman Sachs International Jean-Claude Tostivin Directeur général

défendre ses intérêts. Cet aspect des relations internationales a pris une importance nouvelle. Comme les pays développés ne recourent plus à la guerre pour régler leurs différends, les facteurs classiques de la puissance (territoire, population, état des forces militaires) s’estompent au profit d’autres facteurs, économiques et technologiques principalement. Les rivalités se sont déplacées sur un vaste champ comprenant l’ensemble des domaines assurant le fonctionnement de nos sociétés, l’enjeu étant

la capacité de production ou dans les compétences par exemple). Même en l’absence de nouveaux projets spécifiques, le diagnostic export est aussi un moyen de rester actif et de défendre sa place sur des marchés où la concurrence est vive et où les facteurs d’influence sont évolutifs. Le diagnostic peut donc déboucher également sur de nouvelles décisions stratégiques. Les points clés du diagnostic L’étendue du diagnostic dépend du problème à traiter. ◆ Exemples : La détermination d’une nouvelle gamme

la capacité de production ou dans les compétences par exemple). Même en l’absence de nouveaux projets spécifiques, le diagnostic export est aussi un moyen de rester actif et de défendre sa place sur des marchés où la concurrence est vive et où les facteurs d’influence sont évolutifs. Le diagnostic peut donc déboucher également sur de nouvelles décisions stratégiques. Les points clés du diagnostic L’étendue du diagnostic dépend du problème à traiter. ◆ Exemples : La détermination d’une nouvelle gamme

constituent pour les ménages des revenus, des ressources leur permettant d’assurer leur fonction principale, c’est-à-dire consommer des biens et des services. Ces derniers sont vendus par les entreprises qui les mettent sur le marché grâce à des facteurs de production. → Les administrations publiques : Elles permettent l’existence de tout le reste par les services non marchands qu’elles procurent à la société. Elles financent leur production grâce aux impôts, taxes et cotisations (prélèvements obligatoires)

financière solide, d’un capital de savoir-faire diversifié et d’outils d’expertise modernes, qui le positionnent aujourd’hui en acteur clé du développement économique marocain.  Elle est née de la fusion de deux banques marocaines en 2003 Wafabank et la Banque Commerciale du Maroc (BCM), elle est une filiale de l'ONA, groupe royal marocain. BMCI (BNP PARIS BAS) La BNP a développé ses activités au Maroc depuis 1940, via sa filiale marocaine la BNCIA (Banque Nationale pour le Commerce et l'Industrie

service du bien être et de la liberté du plus grand nombre. L’économiste Nicolas Baverez rappelait : » la mondialisation n’est ni bienheureuse ni satanique. Elle constitue une configuration historique inédite dont les démocraties doivent trouver la clé pour valoriser le potentiel considérable de progrès qu’elle recèle et maîtriser les risques qu’elle comporte. » Voter pour l’avenir, ce n’est certainement pas voter pour la dé mondialisation mais plutôt, à l’instar de l’Allemagne, de la Suède ou du