Facteurs De Contingence Mintzberg

commandement : chaque travailleur ne doit avoir qu’un seul supérieur hiérarchique. - Subordination de l’intérêt individuel sur l’intérêt général. - Centralisation du pouvoir. Il faut doser le degré de centralisation. - Stabilité du personnel : facteur de réussite de l’entreprise. - Union du personnel : il faut éviter la division du personnel.  Max Weber (1864-1920) C’est un bureaucrate. Il s’intéresse à la bureaucratie des entreprises. Les individus doivent être sélectionnés selon leurs

la somme totale des moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ses tâches : répartition des tâches, des responsabilités, mécanismes de coordination, règles et procédures (Mintzberg, 1982 ; p. 18). La première section de ce chapitre se rapporte à la manière dont les dirigeants conçoivent les structures des organisations. La deuxième section expose quelques typologies des structures organisationnelles. Les déterminants des structures

Etudie les motivations de l’homme au travail à partir du travail lui-même * Deux séries de facteur de motivation : - Facteurs d’hygiène : (éléments externes : économiques et relationnels) - Facteurs valorisants : (éléments internes : intérêt du travail, responsabilité, progrès personnel…) * Œuvre de référence : - Motivation at work (1959) - Le travail et la nature de l’homme (1972) Facteurs de motivation : L’inspirateur du management participatif : * « Job enrichment » ou

probabilité que le groupe réalisera ses buts. » Pour R. Likert, le comportement des dirigeants dépend également de facteurs organisationnels tels que la confiance accordée aux salariés, la communication interne, les procédures de contrôle existantes … Après enquête auprès de nombreuses entreprises, R. Likert a isolé quatre styles de comportement des dirigeants selon ces facteurs. Le style despotique (ou exploiteur) : une approche taylorienne du style de direction ; le dirigeant fait peu confiance

temps. * La fusion de ces multiples écoles de pensée nous a donné le management moderne. 1.2 4 écoles de management 1.3.3 l’école béhavioriste ou écoles des relations humaines (1930-1960) 1.2.3.l’école sociologique ou école de la contingence structurelle (1960-1970) 1.2.4 l’école managériale (1970-aujourd’hui) Adam Smith : un des premiers hommes à décrire la réalité de la division du travail. 1723-1790 « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. » *

Ce livre est la traduction française d'un incontournable du management, The Structuring of Organizations d'Henry Mintzberg, dont le succès continu atteste la qualité. ette analyse fouillée et novatrice des structures de l'entreprise intègre les résultats des recherches les plus ( récentes des sciences du management, de l'économie, de la sociologie et de la psychologie. Les notion,s classiques d'organigramme et de division du travail sont éliminées au profit des concepts de coordination, de flux

opératoires (tendance à freiner les cadences) et de l’autre la direction souhaitait gérer la productivité (tendance à augmenter les cadences). L’absence de dialogue social et la dépendance par rapport à l’expertise des ouvriers constituaient un facteur de conflit. L’objectif de Taylor est d’organiser le contrôle managérial de la production. Issu de son expérience en atelier, l’expert Taylor fait place au théoricien pour in fine s’affirmer comme le représentant d’une nouvelle doctrine à base

Théorie des organisations Introduction Les chercheurs s’accordent à penser et à accepter que le fonctionnement de l’organisation soit un facteur déterminant de la performance tant pour les entreprises du secteur privé que des organismes publics. De façon parallèle, à l’image des sciences de gestion qui se nourrissent de multiples disciplines (comme la micro économie, la sociologie, psychologie etc.)Les différentes réflexions et approches relatives à l’organisation se sont développées dans

informations peut être confiée non seulement aux sous-unités elles-mêmes, mais aussi à des experts. Le décideur peut en effet se faire assister par des experts (ROY B., 1985) qui ont notamment le temps et les techniques pour réaliser des analyses (MINTZBERG H., 1998, p. 44). Le contrôle de gestion est alors considéré comme un système d’information utilisé par les décideurs, qui collecte, traite et diffuse de l'information provenant de l'intérieur de l'organisation ou directement de l'environnement.

1 École des relations humaines 3.2 Les théories issues de la socio-psychanalyse 3.3 Les théories issues de la psychologie sociale 3.4 Les approches cognitivistes 4 Les approches de management 4.1 L'école socio-technique 4.2 L'école de la contingence 4.3 Autres approches de management 5 Les approches sociopolitiques 5.1 La théorie de l'acteur stratégique 5.2 La théorie de la régulation sociale 5.3 La sociologie des logiques d'action 5.4 Approches macro et micro sociologiques 6 Notes et