Facteurs Puissance Militaire Américaine

Mexique a perdu presque le moitié de son territoire. La promiscuité avec l’Amérique du Nord, et donc les EU, est – elle favorable à l’émergence, c’est – à – dire le passage de l’ombre à la lumière, la sortie du sous développement, voir l’accès à la puissance, essentiellement économique mais aussi politique, culturelle ou diplomatique. Plus spécifiquement, en considérant le cas du Brésil et du Mexique, les Amériques sont – elles un espace favorable à l’émergence ? Il ne s’agit donc pas seulement de croissance

économique ?    B) Les fluctuations de la croissance de 1850 à 1945.    C) Les fluctuations de la croissance de 1945 à nos jours.   II°) Les économies-monde successives.   A) L’économie-monde britannique (1850 -1914).    B) L’économie-monde américaine (1914-1970).    C) L’économie-monde multipolaire (depuis la fin des années 1970).    Conclusion.                                     HISTOIRE PREMIERE   PREMIERE PARTIE : Croissance économique, mondialisation et mutations

Le Moyen-Orient dispose d’un large pouvoir sur les grandes puissances mondiales grâce à ses nombreuses -mais décroissantes- réserves de pétrole. L’Iran, fort de ce pouvoir et couplé d’une localisation clé vis-à-vis du Détroit d’Ormuz, engendre une opposition ferme quant à son plan d’enrichissement de l’uranium. En effet, ce pays défend son droit au développement nucléaire à des fins civiles et ne semble pas enclin à mettre un terme provisoire à ses activités. Or, plusieurs institutions et pays exigent

était-elle perdue d’avance ? INTRODUCTION : Accroche : Les Américains, fin 2001 en Afghanistan, une fois les talibans chassés du pouvoir, avaient affiché l'objectif de construire un État et des institutions démocratiques dans ce pays. Toutefois, la présence américaine sur le sol Afghan s’est traduite par un fiasco américain complet marquant l’échec définitif d’un concept appelé state building. À l'origine de ce concept se trouve l’idée que les puissances « civilisées » auraient le droit d'employer la force

celui de demain n’est pas encore. Dans ce contexte, l’entreprise ne peut plus ignorer la  géopolitique, discipline peu connue et souvent réservée aux acteurs influents de la scène  internationale  (Etats,  Organisations  Internationales  etc.)  en  quête  de  stratégies  de  puissance relevant du temps long.    En effet, une tradition, voire une certaine myopie, tendent à exclure l’entreprise du  champ  de  la  géopolitique.  Longtemps,  l’entreprise  a  cherché  à  évoluer  à  l’abri  des  préoccupations  et  des  incidences 

ocean, the word island=l’Eurasie, l’Afrique (Canal de Suez). Dernier 12ème : les Amériques, jusqu’en Australie(la puissance maritime. Il avait dit en 1904, il y aura une opposition entre une puissance continentale face à la puissance maritime. Pour lui la puissance continentale : siège à Berlin (ce fut Moscou). Il ne parle presque jamais de l’Afrique car sous le joug des puissances coloniales. Meurt en 1944(ses principaux disciples vont aménager sa théorie, déjà avant sa mort il avait revu quelques

antagonismes ; la peur réciproque entretient alors un climat de méfiance. Cependant, le souvenir des atrocités de la seconde guerre mondiale a sans doute freiné les affrontements politiques, idéologiques, économiques mais évitent tout affrontement militaire direct (risque nucléaire). PBK : « Pourquoi au lendemain de la seconde guerre mondiale, le monde a-t-il le sentiment que la paix n’est pas totalement retrouvé? » Séance 1 (1h) A) Bilan de la Seconde guerre mondiale Quelles ont été les conséquences

monde ? Dans un premier temps il conviendra de présenter la puissance de la Triade et ses relais qui animent des flux massifs, d’inventorier les atouts favorisant leur domination (I), avant d’étudier les nouveaux pôles d’impulsion qui appartiennent à ces périphéries en voie d’intégration et de comprendre les moteurs de leur ascension (II) pour finir par examiner les périphéries qui restent en marge et de comprendre les multiples facteurs explicatifs (III). I. La Triade, trois pôles animant et dominant

l’humanité. Une superpuissance – l’Union soviétique – s’est, de son plein gré, privée de ses alliés et a cédé toutes ses positions sans rien exiger en échange ; puis elle s’est effondrée en donnant naissance à quinze États indépendants. « Aucune grande puissance ne s’est jamais désintégrée aussi radicalement et aussi rapidement sans avoir été vaincue par les armes », s’étonnait Henry Kissinger1. Or cela s’est précisément passé à un moment où la situation internationale, ainsi qu’une bonne partie des élites

encore dominé et soumis par les puissances occidentales qui l’ont conquis, dépecé et partagé au gré de leurs intérêts géo et sociopolitique, l’Afrique amorce de nos jours un tournant périlleux. Les crises sociopolitiques et militaires récurrentes vécues dans la sous-région ouest-africaine ces dernières années en sont une indication de taille, qui illustre la faillite de ces décennies de politiques néocoloniales imposées notamment par la France (ancienne puissance coloniale) au paquet d’Etats ouest-africains