Faculté Maîtresse

Etudie le droit à Poitiers 1528: on le retrouve à Paris où il étudie la médecine ; il a abandonné la vie monastique pour devenir prêtre sans avoir la prêtrise ; il vit en concubinage et a deux enfants 1530 : il étudie à la faculté de médecine de Montpellier ; il commente les médecins grec et latin : Hippocrate et Galien 1532 : il est en poste à l’hôpital de Lyon ; il correspond avec Erasme il traduit Hippocrate en français il publie

extrait du post scriptum de l’ouvrage de Pierre Bourdieu publié en 1979, LA DISTINCTION- Critique sociale du jugement de goût. Cet ouvrage est une lecture qui se veut plus sociologique que philosophique de l’ouvrage d’Emmanuel Kant, Critique de la faculté de juger, à travers laquelle Bourdieu cherche à démontrer le fondement social de l’opposition du «goût pur» ou « goût de la réflexion» au « goût des sens». Thèse: L’analyse philosophique du «goût pur» en opposition à un goût «barbare», primaire

à la conscience d'être dégagé de tout intérêt, sans que cette prétention dépende d'une universalité fondée objectivement ; en d'autres termes, la prétention à une universalité subjective doit être liée au jugement de goût. " Kant, Critique de la faculté de juger

demander ce qu'est le jugement de goût. → Kant a écrit 3 livres :  Critique de la Raison Pure  Critique de la Raison Pratique  Critique de la Faculté de Juger (→ c'est dans ce dernier ouvrage que se trouve l'esthétique kantienne) 2.2. Les sources de l'esthétique kantienne → Le mot « esthétique » = fait référence au mot grec « aisthésis » (=faculté de percevoir par les sens ou la sensation). Le terme renvoie aux aisthéta (=faits de sensibilité), à la différence des noeta (=faits d'intelligence)

simplement les exposer. L’artisan n’innove pas, il possède un savoir faire qu’il a acquis et qu’il met en pratique au quotidien, dans son travail. Quand à l’artiste, il ne reproduit pas mais ne crée pas non plus sans règles. Dans Critique de la faculté de juger, Kant définie le génie artistique de la manière suivante : c’est « le talent qui consiste à produire ce dont on ne saurait donner aucune règle déterminée ». Ainsi, l’artiste est le spectateur de son œuvre naissante, et « un beau vers n’est

que quelque chose est beau, c’est qu’il attend des autres qu’ils éprouvent la même satisfaction ; il ne juge pas seulement pour lui, mais pour tout le monde, et il parle de la beauté comme si c’était une propriété des choses. » Critique de la faculté de juger, Analytique du beau, §7 Kant évoque donc l’idée d’un jugement qui soit à la fois subjectif et universel. Le beau est l’objet d’une satisfaction désintéressée, ce qui plait universellement sans concept, ce qui produit une satisfaction

mère, de la tuberculose en 1878. Elle se réfugie alors dans les études où elle excelle dans toutes les matières. En novembre 1891, elle part pour Paris, où elle a été acceptée pour y suivre des études en sciences physiques et en mathématiques à la faculté des sciences de Paris Au printemps 1894 , elle rencontre Pierre Curie, qu’elle épouse le 26 juillet 1895. Le 12 septembre 1897, elle donne naissance à sa première fille, Irene. En décembre 1897, elle commence à l'Ecole superieure de phisique

KANT Critique de la Faculté de Juger, §43 : poïesis Dans ces textes, Kant cherche en effet quelle est la spécificité de l'art par rapport aux autres domaines de la production humaine (ou de l'activité fabricatrice de l'homme). Il va montrer que parmi les activités productrices de l'homme, l'art se distingue, comme le travail, de la nature ; mais il se distingue toutefois du travail de l'artisan. L'art n'est pas un travail mais à la limite un mélange de travail et de jeu " L'art se distingue aussi

Pourtant maints philosophes se sont risqués à une définition du beau. Dans son Hippias Majeur, Platon parle de " ce qui est agréable à la vue et à l’ouïe ". Plus tard, le philosophe d’Outre-Rhin Emmanuel Kant (1724-1804) affirma dans sa Critique de la faculté de juger que " le beau est ce qui plaît sans concept ". Cette ultime définition nous donne des enseignements précieux. En effet, elle suggère l’immédiateté de la compréhension et de l’admiration d’une œuvre d’art. Le plaisir issu de la contemplation

Rien n’est plus difficile que de définir l’art. Rien n’est plus complexe et mystérieux tout à la fois. Et pourtant, l’entreprise n’est pas inutile, qui nous permettrait de reconnaître ce qui vaut et ce qui ne vaut rien ; qui nous permettrait simplement d’entendre plus clairement ce mot que nous utilisons, ce sentiment particulier que face à lui nous éprouvons. L’art est-il donc quelque chose de vraiment à part ? Une œuvre est-elle un objet comme aucun autre ? Ce qui résiste, c’est qu’il n’y a