Faillite

1934, ne sauve pas la marque de la faillite. Fin 1934, les banques (banque Lazard etc) et créditeurs perdent confiance et décident de ne plus suivre son sur-endettement chronique et ses importantes pertes financières, et de confier la gestion à son principal débiteur Pierre Michelin, du groupe Michelin, (second fils d’Edouard Michelin, co-fondateur du groupe Michelin, un des principaux créanciers de Citroën) avec la mission très difficile de lui éviter la faillite. Par contre, dans son livre La

par le banquier. De plus l'augmentation des taux d'intérêts ont fait augmenter les mensualitées de remboursement ce qui va entrainer une augmentation du non remboursement des emprunteurs et va entrainer la faillite de ces familles d'emprunteur qualifié de "subprimes". Conséquence cette faillite touche de plus en plus d'emprunteurs "subprimes" ce qui a affecté les marchés financiers puis l'ensemble des banques américaines. Ceci a obligé les banques à être de plus en plus méfiante et à prendre beaucoup

octobre, plus de 16 millions de titres furent bradés sur le marché, sans trouver d’acheteurs. Des centaines de milliers d’actionnaires se trouvèrent ruinés. Les banques ne purent se faire rembourser leurs crédits, un grand nombre d’entre-elles fit faillite. Ainsi en trois ans la plupart des banques américaines n’existaient plus. La crise devient alors générale et touche peu à peu tous les secteurs. La production industrielle s'effondre et l'agriculture est concernée. Pour s’en sortir le seul moyen

de 1929 s’est manifestée par la chute brutale des cours des actions à Wall Street ce qui a entraîné la ruine de milliers d’actionnaires et des milliards de dollars qui disparaissent du circuit monétaire. De plus, en 3 ans, 9 000 banques ont fait faillite ce qui a conduit à la destruction de 15 % des dépôts du système bancaire. La masse monétaire a donc diminué, une partie de la monnaie ayant été détruite  (celle qui n’a pu être récupéré par les détenteurs de dépôts (à vue ou rémunérés) dans

* * * * * * * * * * * * * Crise Industrielle dût à la Surproduction industrielle + Baisse de la Consommation + Faillites Banquaires ==> Baisses des prix + Baisses de la production + Ralentissement de la croissance + Diminution des importations + Baisse des salaires + Faillites des entreprises ==> Suppression d'emploi + Chômage + Hausse de la pauvreté Dates de crises = 1873 à 1896 ( Grande dépression ) : Entre 2 phases industrielles

de la crise éclatera aux yeux du grand public en 2008 avec la faillite de Lehman Brothers. Au cours de l’année 2008 la crise est alors devenue systémique lorsque certaines grandes banques mondiales se sont retrouvées en difficulté en raison d’un risque lié aux défaillances de remboursement des crédits immobiliers. Septembre 2008, la crise se propage, la bourse est touchée, certaines des plus grandes banques mondiales font faillite et les états vont intervenir à coup de centaines de milliards

! : une crise économique est un phénomène brutal de la situation et des perspectives économiques, de grandes crises comme celles de 1929 ou celle de 2008-2010 entraînent souvent des répercussions sur le niveau des salaires et peut provoquer des faillites et des hausses du chômage. Le krach Samuel : Le jeudi 24 octobre (jeudi noir ou Black Thursday) marque la première vraie panique. Le matin, il ne se trouve presque pas d'acheteurs, quel que soit le prix des actions. Beaucoup de rumeurs circulent

concerne les banques et les instituts financiers où l’on observe une ruine générale, avec de nombreuses faillites. Pour la population, la crise est signe de chômage et d’appauvrissement. Au niveau des entreprises, la crise touche surtout les PME (petites et moyennes entreprises). Même si les grandes entreprises sont touchées, elles le sont dans une moindre proportion mais ne sont pas à l’abri de faillites. La crise a aussi des effets positifs. Le premier et non des moindres est le discrédit du capitalisme

pays comme la Grèce où les importations sont supérieures aux exportations, la possibilité que cette dépréciation perdure est dangereuse. Les membres de la zone euro veulent absolument éviter que ce pays soit en cessation de paiement autrement dit en faillite. L’euro s’écroulerait alors et ce serait le premier pas vers la contagion. En effet, d’autres pays comme l’Espagne ou le Portugal ont souffert de la crise et sont déjà en situation délicate. La situation économique de l’Espagne est d’ailleurs plus

l’automne 2008. L’aléa moral survient à chaque fois qu’un acteur n’est pas responsable de ses actes Or, c’est ce qui se passe avec les banques systémiques. ( la règle fondamentale du libéralisme c'est la faillite, la faillite est la sanction normale du marché or aujourd'hui les banques ne font plus faillite , elles sont donc plus tentées de faire des spéculations le risque est donc trop élevé)