Faire Rire Pour Instruire

Autres exemples possibles : le personnage de Dracula dans le roman de Bram Stoker ou la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont dans Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos : personnages libertins qui s'amusent à se lancer des défis pour faire perdre leur vertu à des femmes fidèles et droites. Ils sont maîtres dans l'art du mensonge et de la manipulation et sont totalement immoraux. Leurs victimes sont pour eux des conquêtes à accrocher sur un « tableau de chasse ». DVD au CDI, je répète

noble, c'es-à-dire faire passer, transmettre ses idées philosophiques du Siècle des Lumières à travers ses ouvrages. Conclusion : Pour conclure, on peut dire que certes Voltaire traite de la vanité du projet humain, mais qu'il cherche également à séduire ses lecteurs, et qu'il pousse plus loin ses contes en cherchant à instruire les destinataires de son livre. Voltaire reprend ainsi un grand topos du classicisme : castigat ridendo mores, corriger les mœurs par le rire. → Margot C. Wuhan

la terreur, par le spectacle des passions humaines et des catastrophes qui en sont la fatale conséquence. Une comédie À la différence de la tragédie, avec laquelle elle fut à l'origine du théâtre moderne au XVe siècle, la comédie cherche à faire rire par le biais de la provocation des personnages caricaturaux, son intrigue à rebondissements et au dénouement heureux. Résolument allègre et débridée à ses débuts, elle va évoluer, à travers ses sujets pris à la réalité quotidienne, vers des situations

Lydien Xanthos. En somme, toutes ces traditions ne reposant que sur des conjectures, il serait vain de s’arrêter à l’une d’elles : mieux vaut se résigner à ignorer ce qu’on ne peut savoir.Il aurait ensuite été esclave d'Iadmon avant de réussir à se faire libérer. Il se rend alors auprès de Crésus pour tenter de sauvegarder l'indépendance de Samos et il réussit dans son ambassade en racontant au roi une fable. Il se mettra ensuite au service du « roi de Babylone », qui prend grand plaisir aux énigmes

Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, la publication de L'Encyclopédie en étant peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. C’est pourquoi nous pouvons nous demander, quels avantages y a-t-il à recourir à une histoire fictive

s’enchaîner logiquement -Idéalement : 3 parties séparées par des phrases de transition permettant d'articuler de façon logique les différentes parties entre elles Conclusion : - Reprise de l'essentiel - Souligner l'originalité du texte, tenter de faire un parallélisme avec un autre texte... Attention, ne pas introduire de nouveaux centres d'intérêt qui auraient pu être oubliés dans le développement. * Rédiger seulement l’intro et la conclusion au brouillon * Entièrement rédigé, pas de titres

Le personnage face à une situation insupportable : jalousie de Phèdre 2. La crainte Le personnage soumis à un destin divin, implacable, omnipotent : Oedipe Le personnage soumis à un destin humain : folie de Zucco, destin social de Arlette... 3. Le rire Le personnage face à une difficulté psychologique : Argan et son hypocondrie Le personnage face à la mort : violence comique du théâtre d'Artaud, de Ionesco... (absurde) II. Mais la confrontation d'un personnage théâtral à une situation difficile

l’art dramatique. En 1674 Boileau dans l’art poétique résume les principes établis. Ainsi pour la deuxième partie du XVIIème siècle la doctrine se voit incontestablement triompher grâce à Racine. Les Principes du Classicisme A. Plaire et instruire Selon la théorie de la catharsis d’Aristote, (purgation des passions) en faisant vivre par procuration des émotions fortes au spectateur (terreur, pitié…) cela lui ouvre l’esprit. Les dénouements sont de plus souvent des leçons de morale.

II/La comédieLa comédie française du début du XVIIème siècle cherche son inspiration dans la comédie italienne et espagnole. Le public ne demande qu’un divertissement, une série de surprises et de retournements de situation propres à déchaîner le rire. Vers 1660, on se détourne de la fantaisie et de la singularité et on s’intéresse au naturel, au vraisemblable et aux analyses psychologiques. C’est ainsi que, par son observation pénétrante de l’homme et de la société, Molière innovera la comédie

LES REGISTRES Le texte littéraire vise à produire une émotion sur le lecteur. Le registre traduit cette impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur, qui peut aller du plus grave au plus joyeux (faire rire ou pleurer…). Les registres sont d’abord associés à certains genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au XVIIIème