Faire Son Devoir Est Ce Agir Moralement

porté vers le bien ? L’Homme ne viserait- il pas un but personnel, ne considérant ses pairs dans ses actions ? De surcroît, cette question semble impliquer comme présupposé qu’il est dans l’Homme de viser le bien, qu’il est naturel pour lui de le faire. Ce présupposé est défendu par la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Elle implique ainsi que la conscience fonderait la morale et viserait le bien tout en rendant de lois universelles. Cependant, cette affirmation condamnerait dès lors

sont pas eux-mêmes causes ». Ainsi, si l'alcool trouble mon jugement au point de me faire commettre des actes que je me serais interdits en temps normal, j'aurais beau jeu d'invoquer une ignorance temporaire du bien et du mal : cette ignorance, j'en suis la cause, puisque c'est en toute conscience que j'ai accepté de boire. J'ai même bu pour atteindre cet état second où mon sens des responsabilités est émoussé. Agir sous l'emprise de l'alcool est donc une circonstance aggravante, et non atténuante

morcelant l'unité de la personne prise en charge et la transformant plus que jamais en patient. La prolongation médicale de la vie entraîne parfois des conséquences peu compatibles avec la qualité de la vie. Certes, le recours à ces manières de faire, nécessaires pour assurer survie et rétablissement, se justifie en règle générale par son caractère temporaire et provisoire; il devient plus problématique lorsque, la fin approchant, il tend à former le dernier milieu au sein duquel la personne

heureux, parce qu'il lui faudrait pour cela l'omniscience. Il est donc impossible d'agir, pour être heureux, d'après des principes déterminés ; on ne peut que suivre des conseils empiriques, par exemple ceux de s'astreindre à un certain régime, ou de faire des économies, ou de se montrer poli, réservé, etc., toutes choses que l'expérience nous montre comme étant en définitive les meilleurs moyens d'assurer notre bien-être". Kant, Fondements de la métaphysique des moeurs, 1785, Deuxième section, § 25

Fleury, Collectio canonum, III-IV)1 III. Du ministère du roi. – Ce qu’est le ministère du roi, il le révèle lui-même par le nom de son office et il l’enseigne par le soin qu’il prend du royaume tout entier. Et rien n’incite davantagel’âme du roi à bien agir que la clémence de divers princes qu’on propose en exemple, comme la mansuétude de l’empereur Constantin. Mais pourquoi parler de rois étrangers, quand Charles 5 et son fils Louis manifestèrent tant de piété et de prudence pour le bon gouvernement

Romain Université DOMUNI Licence I Octobre 2011 Platon, une manière de vivre Devoir Professeur : Frère Emmanuel BIOSSIEU op. |Sujet 3 : | |Justice et Ethique | Note: 15,00 / 20,00 Bon

l'éthique ou le droit en déterminent la validité. Plus brièvement encore, la sociologie explique sans chercher à fonder, tandis que le droit, la morale ou la logique visent à fonder sans poursuivre l'explication proprement causale. Pour mieux faire comprendre cette différence entre les sciences de faits ou de causalité « réelle », que sont la sociologie ou la psychologie, et les disciplines normatives ou d'implication « idéelle » (et, sur le terrain juridique, d' «imputation » comme s'exprime

et les différentes façons de penser le corps : son fonctionnement, ce qui peut l’affaiblir ou au contraire le renforcer. 2. Il faut souligner que ces représentations autour du corps malade (et les manières individuelles et collectives de faire autour de ce corps malade) ne sont pas autonomes des manières dont les sociétés nous conduisent à penser la personne. On le voit de manière évidente avec les débats généraux de bioéthiques qui questionnent directement ou indirectement cette notion

l’art. Un artiste est généralement en retrait de la société, il est marginal, d’ailleurs, un être étant responsable de lui même qui affirme ses choix et se défini lui même et ainsi se différencie des autres, n’est-il pas aussi marginalisé ? Il faut faire une distinction entre la production de l’artisan et celle de l’artiste. Celle de l’artisan est utile et a un caractère fonctionnel, elle satisfait un besoin ; alors que celle de l’artiste ne satisfait pas de besoin et n’a pas de caractère fonctionnel ;

UNE CERTAINE DEFINITION de la liberté, donnée à examiner, EST JUSTE. Comment comprendre la question ainsi posée ? Mettre en question une définition c’est se demander ce qu’elle vaut en tant que définition. Or une définition a pour rôle de faire savoir ce qu’est ce qu’elle définit, en énonçant ses caractéristiques essentielles. Il s’agit donc ici de savoir si l’on doit dire de la liberté qu’elle est une absence de contrainte quand on veut donner à savoir ce qu’elle est essentiellement.