Fait De La Chose Inerte

exister c’est être là, simplement. Les existants s’apparaissent en général mais pas uniquement.« L’existence c’est la contingence » a écrit Sartre, dans la Nausée, par déduction l’existence n’est pas nécessaire. Par contingence, il faut comprendre le fait que l’existence ne soit pas seulement une apparence qui peut s’absoudre ni une constatation mais l’absolu et la gratuité totale, le soleil est gratuit, la famille a laquelle j’appartiens et gratuite et même moi suis gratuit. C’est cette réflexion qui

NGABA SOEL TD Série n°1 Séance n°6 : Cas pratique. « On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde. » Ainsi dispose l’article 1384 du code civil. Aussi le dommage peut être définit comme une l'atteinte à un intérêt patrimonial ou extrapatrimonial d'une personne que l'on appelle victime. La victime peut être « immédiate

il se crispe sur le revolver et le coup part tout seul; mais Meursault tire quatre autres coups sur le corps inerte. Meursault est emprisonné. Par contre, il ne manifeste aucun regret lorsqu’il est interrogé par le juge. L’interrogatoire des témoins par le procureur montre que Meursault n’a pas pleuré à l’enterrement de sa mère, qu’il s’est amusé avec Marie dès le lendemain et qu’il a fait un témoignage de complaisance en faveur de Raymond, qui s’avère être un souteneur. L’avocat plaide la provocation

contraint d’accepter quelque chose, parce que l’on ne pas faire autrement, ou encore « à contrecoeur ». employer ce terme à l’égard du matérialisme, c’est donc supposer, d’une part, que cette thèse semble avoir pris le pas sur ses concurrentes et , d’autre part, qu’elle représente pour nous quelque chose de décevant. Il convient donc de chercher ce qui laisserait penser que le matérialisme pourrait l’emporter sur les autres thèses et en quoi il s’agirait de quelque chose de décevant.   Problématique :

ouvert mais qui incontestablement suggère une vision du monde marquée par la philosophie de l’absurde que Camus a développé par ailleurs dans un essai intitulé Le Mythe de Sisyphe. - Situation de l’extrait : L’extrait que nous allons étudier est tout à fait au centre du roman dont il est l’épisode charnière. C’est en effet le récit du meurtre que commet Meursault. Rappelons que Meursault a récupéré le pistolet de son « ami » Raymond Sintès pour l’empêcher justement de commettre un meurtre puis est retourné

tout seul, la moralité elle-même suppose la rencontre d'autrui. 1. Comment définir ce qu'est autrui ? La réponse semble simple : autrui, ce sont les autres hommes dans leur ensemble. Dès la perception, je ne vise pas autrui comme je vise une chose inerte, c'est-à-dire comme une pure altérité : autrui est tout à la fois autre que moi et identique à moi. 2. Quel rapport existe-t-il entre moi et autrui ? • il y a d'abord le moi, puis ensuite seulement le monde et autrui ; Selon Descartes, je n'ai

des rues désertes et des pentes de San Francisco. Un dernier claquement et la communication entre les roues et la direction est définitivement rompue. La voiture glisse, tourne et éjecte la conductrice dans la vitrine du magasin en face. Lauren gît, inerte. Très rapidement, les témoins de la scène contactent les secours. Grâce aux efforts acharnés des médecins (défibrillation, intubation…), le décès cérébral de Lauren initialement annoncé laisse place à un espoir nouveau : contre toutes attentes, le

Page 9) fait comprendre qu’il cherche à planifier l’insolite de son vécu. De même au moment lors du meurtre de l’Arabe, Meursault agit d’une façon irrationnelle : «J’ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût » (L’Étranger, Camus, Edition Folio, Page 95). Pendant le procès même la justification faisant allusion à la chaleur et au soleil le tourne en dérision puisqu’elle paraît insultante aux yeux de la justice. Étranger à lui même il fait preuve d’une

elle tente nous faire comprendre que ce n’est que lorsque l’on est privé de l’autre que l’on a besoin de lui. Tout ceci pour dire que c’est un fait : l’homme a besoin des autres et que cette citation vaut aussi pour les sentiments. Ensuite voyons du côté des « choses », ça nous pouvons facilement le démontrer que nous en avons besoin de chose mais moins que nous en avons plus besoin quand elles sont absentes :nous mangeons, nous buvons, nous respirons…Tout ceci nous le faisons en principe

LA RESPONSABIILIITE GENERALE DU FAIT DES CHOSES DU FA T DES CHOSES SOMMAIRE LE PRINCIPE GENERAL DE RESPONSABILITE DU FAIT DES CHOSES I. L’ADMISSION DU PRINCIPE GENERAL DE RESPONSABILITE DU FAIT DES CHOSES Civ., 16 juin 1896, Teffaine Ch. Réunies, 13 février 1930, Jand’heur 3 3 3 4 II. LES CONDITIONS DE LA RESPONSABILITE GENERALE DU FAIT DES CHOSES A. LA NOTION DE CHOSE Civ. 2ème, 17 mars 1993 Date de création du document : année universitaire 2007/08 Consultez les autres fiches sur