Fanatisme Amour Ou Peur De La Vérité

condition féminine. C'est en 1984, que l'amant reçoit le prix Goncourt. C'est un roman autobiographique qui évoque le milieu familial de l'auteur pendant son adolescence en Indochine. Marguerite Duras y raconte son aventure amoureuse et parce que cet amour était contraire aux principes sociaux familiaux et aux traditions de l'époque, il devient en fait l'amour défendu et même impossible. Dans l'analyse nous essaierons de voir ce qui a poussé l'héroine à aller au delà des interdits, comment elle les

forme de spontanéité), qui trouve sa source dans « l'amour mystique », forme de spiritualité généreuse. ● Cet amour que le mystique éprouve à l'égard de l'autre ne le vise d'ailleurs pas directement, il ne « cède pas à un attrait de son objet ; il ne l'a pas visé ; il s'est élancé plus loin et n'atteint l'humanité qu'en la traversant ». ● C'est l'amour pour Dieu, pour le bien, pour la vérité..., pour l'idéal qui s'élance ainsi et qui, en chemin, rencontre l'autre et l'accueille. ● 1. La religion

lâcheté (ma peur d’assumer ma contingence c’est-à-dire ma liberté). Par peur d’assumer le fait d’être moi-même la propre cause de mes actes, je fais d’autrui cette cause (« c’est pas ma faute »). Ainsi les prisonniers de la caverne de Platon, parce qu’ils ne veulent pas croire qu’ils sont dans l’illusion et donc ne veulent pas assumer leur liberté, finiront-ils par tuer celui qui, après avoir « pris » lui-même conscience d’être dans l’illusion et avoir contemplé le soleil de la vérité, est revenu

plus ni le frein ni la voix ; En efforts impuissants leur maître se consume ; Ils rougissent le mors d’une sanglante écume. On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux, Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux. A travers des rochers la peur les précipite. L’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui−même, il tombe embarrassé. Excusez ma douleur. Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J’ai

sentiments que la peur ? LE DESIR, LES PASSIONS, L'AMOUR 63. Les hommes ne désirent-ils rien d'autre que ce dont ils ont besoin ? 64. Peut-on distinguer de vrais et de faux besoins ? 65. La volonté est-elle complice ou maîtresse du désir ? 66. Le désir est-il la marque de la misère de l'homme ? 67. Suffit-il de devenir le maître de ses pensées pour l'être de ses sentiments ? 68. Aimer, est-ce la même chose qu'être amoureux ? 69. Est-il raisonnable d'aimer ? 70. Dans tout amour, n'aime-t-on

* Que pouvez-vous dire sur l’état de nature ? * Comment l’Histoire des anciens est-elle critiquée dans cet extrait ? Au XVIIIème, la religion est un outil de répression, de domination, Voltaire est contre le fanatisme religieux (« l’infâme ») qui s’appuie sur l’ignorance. Il critique l’Histoire fabuleuse qui relève de la superstition et va promouvoir un discours historique plus raisonné. Les fables sont un travestissement de la réalité, elles peuvent avoir un

alors ». Voltaire fait d’autre part la satire de l’institution religieuse qui maintient le peuple dans l’ignorance. Il condamne la présomption des théologiens à l’égard des sciences. Les mages font preuve d’intolérance et annoncent les passages de fanatisme que Voltaire condamne dans plusieurs chapitres (le souper). III Les thèmes voltairiens 1. L’éloge de la science Après avoir vu la satire des mentalités, nous allons voir les thèmes voltairiens. L’auteur dote son héros du doute cartésien, celui

intérêt a tirer d'une philosophie ancienne ? (La philosophie) Pourquoi des philosophes? (Philosophie) " Avoir peur de la philosophie, c'est avoir peur de soi-même" Faut-il avoir peur de la philosophie? La réflexion philosophique est elle une nécessité ? (Philosophie) Faut-il vivre pour philosopher ou philosopher pour vivre? (Philosophie) Faut-il rire de la philosophie? Peut-on parler de vérité en philosophie ? (Philosophie) Citation de Claude Bernard sur la philosophie (Philosophie) En quoi la philosophie

plus grandes déviations en fonction des dogmes de chacun. (Du fanatisme religieux aux crimes les plus atroces) Citation de François Jacob dans « le jeu des possibles » en 1981 : "Tous les crimes de l'histoire sont des conséquences de quelque fanatisme. Tous les massacres ont été accomplis par vertu, au nom de la religion vraie, du nationalisme légitime, de la politique idoine, de l'idéologie juste ; bref au nom du combat contre la vérité de l'autre, du combat contre Satan." La conscience du Bien

Voltaire reproche à la religion, c’est le terrorisme intellectuel qui tyrannise les esprits, aussi s’en prend-il aux « linostoles » (les docteurs de Sorbonne) aux pastophores (les prêtres) qui refusent par obscurantisme et fanatisme l’aphorisme placé dans la bouche de Bélisaire : « La vérité luit de sa propre lumière, et n’éclaire pas les esprits avec flammes des bûchés ». Le philosophe doit en dernier ressort pourfendre l’erreur et apporter la lumière. L’ingénu est pour Voltaire l’occasion de défendre la