Fantine Les Misérables

humaine et de phrases exclamatives. Dans Les misérables (1862), Victor Hugo fait une description pathétique de Fantine, qui a du vendre ses cheveux et ses dents pour payer ses dettes. Qu'est-ce que cette histoire de Fantine ? C'est la société achetant une esclave. À qui ? À la misère. À la faim, au froid, à l'isolement, à l'abandon, au dénuement. Marché douloureux. Une âme pour un morceau de pain. La misère offre, la société accepte. Les misérables, Victor Hugo, 1862 BLe registre lyrique et le

Roman ; Fantine Année universitaire : 2006/2007 EXPLICATION DE TEXTE Texte N°1 ; pages 9-10 liv.1 ; chap.2 A- COMPREHENSION GLOBALE 1- Situation du texte. Le texte est extrait du premier livre de Fantine intitulé Un

Ce corpus est constitué de trois textes, portant tous sur la dégradation du personnage féminin. Les textes présents ici sont des extraits de Tous les matins du monde de Pascal Quignard (1991) , L’Assommoir de Émile Zola (1857) et Les misérables de Victor Hugo (1862). Ces textes présentent un thème commun qui porte sur la dégratation du personnage féminin. Nous nous demanderons comment les romanciers représentent la déchéance du personnage féminin. Premièrement

Corpus séquence n°2 : Nous allons étudier trois textes ainsi qu'un document iconographique présents au sein de ce corpus, un extrait des Lettres persanes de Montesquieu écrit en 1721 ; un extrait des Misérables de Victor Hugo de 1862 et un dernier extrait des Choses de Pérec datant de 1965. Enfin, le document iconographique présenté n'est autre que Campbell's soup cans d'Andy Warhol paru en 1962. Ces textes et ce document présentent un thème général commun qui est « la consommation »,

rendus réaliste par un style d'écriture inimitable. Victor Hugo est célèbre par son engagement politique et son exil après le coup d’État de Louis Napoléon Bonaparte en 1851. Victor Hugo parvient à proposer le plus de personnages avec son roman Les Misérables, publié en 1862. Comment l’auteur met-il en valeur cette scène de rencontre aux yeux du lecteur ? Dans un premier temps, Victor Hugo choisit une progression originale de son récit à travers le dialogue. Dans un deuxième temps, Victor Hugo présente

le mode d'une nostalgie poignante ("explique pourquoi mon coeur s'est épris/du sanglot rouillé de tes vieilles cours") ; le poète se souvient de ses lectures de jeunesse et évoque Cosette et sa mère Fantine, deux femmes misérables (pauvres et dignes de compassion) du roman de Victor Hugo, Les Misérables qui sont comme des figures de la misère de la France. Le poème se termine sur une note d'espoir ("L'arbre de l'école à son tour répète/une belle histoire où l'on dit : demain") et de révolte : "Ah

Les Misérables est un roman de Victor Hugo paru en 1862 (la première partie est publiée le 30 mars à Bruxelles par les Éditions Lacroix et Verboeckhoven, et le 3 avril de la même année à Paris1). Dans ce roman, un des plus emblématiques de la littérature française, Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné

enfants sont devenus le centre de la famille, provoquant une volonté d'en avoir moins. La contraception et l'abandon sont deux moyens de parvenir à limiter les naissances. 1.2 Présentation du document 2. Le document 2 est un extrait du roman Les Misérables, écrit par Victor Hugo en 1881. A première vue il s'agit d'un texte narratif, mais la phrase « On arrange tranquillement ces départ-là; mais ce sont des déespoirs » ou l'adverbe « probablement »tendent à montrer l'intervention du narrateur qui

s'y attacher : touché par ses misères. Cf. la pauvre Fantine qui est réduite à se faire couper les cheveux, puis arracher les dents et enfin se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier sont des escrocs en plus => encore plus pathétique).               B- Le roman témoin de l'époque * Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants

prend pour Jean Valjean. Au terme d'un terrible débat de conscience, le pseudo M. Madeleine se rend aux Assises, à Saint-Omer, et se dénonce au moment où l'innocent va être condamné. Avant de se livrer à la justice, il avait secouru une malheureuse, Fantine, et avait adouci son agonie en lui promettant de s'occuper de sa fille, Cosette. Il s'évade du bagne où on l'a renvoyé, arrache la petite Cosette à un couple de malfaiteurs, les Thénardier, et lui fait donner une bonne éducation. Cosette devient sa