Farce Caractéristiques

imprévue, à laquelle il semblait moins que tout autre promis, rend extrêmement sensible sa nature féline, sa souplesse et ses griffes. C'est le torchecul le plus dynamique de tous. Une scène dramatique s'offre aussitôt à l'imagination du lecteur, une farce joyeuse « jouée à deux personnages » (le chat et le cul). D'ailleurs, on la retrouve presque derrière chacun des torcheculs. Là l'objet joue un rôle qui n'est pas le sien, grâce à quoi il s'anime d'une manière nouvelle. L'animation de l'objet, de la

La fable de La Laitière et le Pot au Lait sont extrait du livre VII des Fables. Caractéristique de ce poème de la Fontaine, les personnages ne sont pas des animaux mais des personnages humains. I-Un récit vif et efficace 1)-Les étapes du récit : * vers 1 à 11 → Récit. C'est la présentation de Pérette : ses habits, le mobile du voyage, ses pensées. La présentation est à l'imparfait, c'est le temps e la description et de l'habitude. Il y a de nombreux adjectifs qui montre sa simplicité et son

passion Procédés d'expression  Vers alexandrin, dialogues argumentatifs, monologues, stances, récits  Langage proche de la conversation, en vers ou en prose  Grande liberté d'expression en vers ou prose, mélange des genres, couleur locale (traits caractéristiques d'une époque et d'un lieu donnés) Registre  Tragique  Comique  Mélange des registres tragique et comique, des « tons » (le sublime se mêle au grotesque, le beau au laid) Visées  Morales et pédagogiques plaire et émouvoir ; inspirer la terreur

Molière décide donc de créer rapidement une pièce en prose sur un sujet à la mode : entre 1658 et 1661, on trouve pas moins de trois pièces traitant d’un personnage libertin, séducteur et impie précipité dans la mort par une statue de pierre - une farce italienne montée à Paris en 16583 - la tragi-comédie Le Festin de Pierre ou le fils criminel de Dorimon (Lyon, 1658-Paris, 1661) et Le Festin de Pierrenote de Villiers (Paris, 1659) inspirées toutes deux de la pièce de l’italien Giliberto aujourd’hui

existent. 4. a. Les personnages désignés par leur statut social ou leur métier sont, par exemple : un vilain, un curé, un riche, un pauvre, un comte, un prévôt, un prêtre. b. Les prénoms employés sont : Robin (Le vilain de Farbu), Jacquinot (La farce du cuvier), Henri (le vilain et la tarte), Ade (Le vilain devenu médecin), Raoul (Le vilain et la tarte). L’explication peut être double : les noms de familles se répandent à partir du xiie siècle seulement. Jusque-là, les personnes étaient désignées

• présent gnomique et maxime dans alexandrin blanc : et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre La portée morale du discours est soulignée par quels termes ?: « honnêtes gens », « digne », « vertu », « honnête homme » Annonce le registre de la farce bouffonne qui traversera la pièce comme pour désamorcer sa dimension inquiétante ou tragique - un personnage comique : portrait en contrepoint de celui de DJ • poltron • croyant jusqu’à la superstition Questions pouvant être posées sur le texte -

vie et les caractéristiques de son théâtre b. Son œuvre 5.1.2. Sophocle (-497 à -405) a. Sa vie et les caractéristiques de son théâtre b. Son œuvre 5.1.3. Euripide (-484 à -406) a. Sa vie et les caractéristiques de son théâtre b. Son œuvre 6. La comédie 6.1. Comparaison comédie/tragédie 6.2. Les deux styles de comédie 6.2.1. La comédie ancienne (Ve-IVe s.) a. Caractéristiques b. Aristophane (env. 435- après 385) 6.2.2. La comédie nouvelle (IV e –IIIe s.)  a. Caractéristiques b. Ménandre

imposait son style et ses valeurs. On peut définir le classicisme comme un moment historique, car l’état français après les guerres de religions cherche une certaine stabilité. Louis XIV va procéder a une centralisation de la politique. III Caractéristiques de ce mouvement littéraire Les auteurs qui incarnent le mieux cette période classique sont principalement Corneille, Racine et Molière. Le courant classique est appelé tel quel car son idéal est l’imitation des Anciens. On cherche a enrichir

nombre de modifications et de spécificités. En quoi le théâtre se distingue-t-il des autres genres littéraires ? Comment le texte prévoit-il les conditions de sa propre représentation ? C’est ce que nous verrons en abordant, dans la fiche 20, les caractéristiques dutexte de théâtre, et en distinguant en particulier les didascalies des dialogues et des monologues. Comment la pièce de théâtre est-elle construite ? Quels sont les principes d’organisation auxquels elle est soumise ? Le XVIIe siècle a en

absolu, d’autant plus que la logique des enchaînements est mise à mal.  II. De la farce à l’horreur  A. La métamorphose  1. Le processus de transformationUne lecture précise des didascalies permet de repérer les différents aspects de la transformation. Elle touche l’apparence physique, la faculté de parole (différence entre l’homme et l’animal) et les déplacements : Jean subit un dérèglement général de ses caractéristiques humaines.   2. Le langage atteintSi Bérenger s’efforce de parler normalement