Farce Caractéristiques

scène, Arlequin et Cléanthis vont se faire la cour, sous les yeux des leurs anciens maîtres.
Cette scène présente divers intérêts : le thème du jeu, les caractéristiques de la scène galante et le sens de la scène. Il y a plusieurs types de comique dans cette scène : jeux de scènes, jeux de mots, jeu sur la situation. Ceux-ci amènent l'idée de la farce.
 Les deux personnages se jouent la comédie.
 A plusieurs reprises, Arlequin rit. Les rires sont signalés par des didascalies et des onomatopées. C'est

par bien des aspects (surtout le premier acte) .Mais elle présente des personnages nobles (Dom Juan, Elvire par exemple qui est une héroïne typique de la tragédie) et un héros, en proie à la fatalité, qui meurt dans la scène de dénouement. Ces caractéristiques ancrent la pièce dans la tragédie. Le deuxième acte présentant des paysans occupés à leurs affaires amoureuses se rapproche de la pastorale. Et le dernier est proche de la tragédie. Il y a donc un mélange des genres, ce que refusaient les règles

héros, la révolte du prince contre le roi despotique, nous renvoie à toute tradition antique [...] ». Du reste, étant donné que Musset ne destinait pas sa pièce à être représentée, il a fait l'économie de tout un dispositif scénique flamboyant, caractéristique du drame romantique, dans le but d'intérioriser entièrement le langage dramatique. La ville de Florence est rendue vivante de par son atmosphère, Musset laisse apparaître des bribes de conversations entre les citoyens, décrit leur mode de vie

 UBU ROI Alfred Jarry FIN DE PARTIE Samuel Beckett structure -drame de 5 actes, reprend les principes et les caractéristiques des situations tragiques, mais aussi des éléments comiques et burlesques -en prose -drame sans actes -parodie aux conventions théâtrales classiques -pas d’ordre logique, plupart des répliques sans intérêt -dialogue chez Beckett pas la même fonction que dans le théâtre classique souvent aucune raison -didascalies composent 30% de l’œuvre langage -langage

la lecture analytique ( I, 1) qui suivra. - Rédaction collective d’une introduction au passage respectant les 3 étapes qui viennent d’être abordées. Sont donc dégagés : la problématique ( « Comment à travers ces portraits, retrouve-t-on les caractéristiques d’une scène d’exposition comique ? » ) et les 2 axes de lecture ( 1 : Une scène d’exposition / 2 : une scène comique) Préparation de la séance suivante : - relecture de l’extrait - questions : Réfléchir aux fonctions d’une scène d’exposition

réflexion, que la jalousie est une chose qui chasse les gens d’autour d’une maison. Un jeu comique fait d’Arnolphe le barbon traditionnel de la farce. Ce type de personnage est tiré vers la caricature, il est joué avec des roulements des yeux, des grimaces grotesques et des soupirs exagérés. On sait ainsi que Molière jouait le rôle d’Arnolphe, le poussait à la farce, et que cela implique, parmi les procédés les plus simples, nombre de gestes bouffons : qu’il s’agisse de son retour chez lui (Acte I, scène

Molière décide donc de créer rapidement une pièce en prose sur un sujet à la mode : entre 1658 et 1661, on trouve pas moins de trois pièces traitant d’un personnage libertin, séducteur et impie précipité dans la mort par une statue de pierre - une farce italienne montée à Paris en 16583 - la tragi-comédie Le Festin de Pierre ou le fils criminel de Dorimon (Lyon, 1658-Paris, 1661) et Le Festin de Pierrenote 3 de Villiers (Paris, 1659) inspirées toutes deux de la pièce de l’italien Giliberto aujourd’hui

frontière est parfois ténue entre badinage de bon aloi et mensonge joyeux proprement dit ; entre la « blague » et la « farce ». La blague, annonce ses exagérations et ne cache pas son intention de simplement amuser. Elle n'a de contre-vérité que la forme. Le « blagueur » serait le premier ennuyé qu'on le prît au sérieux et que l'on fondât quelque décision grave sur sa fantaisie. La farce cherche bien, fût-ce provisoirement, à tromper véritablement quelqu'un, en l'amenant, par exemple, à une démarche

 DOSSIER SUR L’HISTOIRE DU THEATRE ET LES CARACTERISTIQUES DU GENRE THEATRAL Vous vous référerez également : I- Au manuel de textes - p.148-150 : histoire du théâtre, p.168, Brecht ; p.170-le théâtre dans le théâtre ; p.218 Notes et Contre-notes Ionesco ; vocabulaire du théâtre p.554-555, la représentation du texte théâtral, les principaux genres théâtraux p.556-557 -Les méthodes du bac p.588-fin -Exercices d’entraînement à l’expression écrite : p.187 II-Au manuel de méthodes : La

chauds (dans les marronnés, orangés et rouges) puis des tons plus clairs dans les nuances des blancs, des verts, des rosés, des beiges et des jaunes. Elles ne servent qu’à créer ou modifier des ambiances, ainsi qu’à mettre en avant certaines caractéristiques des personnages (par exemple, lorsque Prospero s’exprime solennellement, les lumières sont plus sombres et graves, tandis que pour Ariel elles ont des nuances plus joyeuses et égayantes.) Rajouté à cela, certains effets tels que de la fumée,