Farce Caractéristiques

2/ Une farce tragique Entretiens avec Claude Bonnefoy : « Dans la plus part de vos pièces, le mécanisme compte beaucoup. Il revêt, de surcroît, d’une pièce à l’autre, des formes différentes, formes qui peuvent se conjuguer à l’intérieur d’une même pièce : mécanisme du langage, automatisme du comportement, prolifération des objets, accélération et dérèglement de l’action. Mais il y a plus. La manière dont vous utilisez ces mécanismes constituent une rupture avec les mécanismes théâtraux

L’Amour ? Valère. Oui. Harpagon. Bel amour, bel amour, ma foi ! l’amour de mes louis d’or ! ». Cette situation, qui se produit dans un cadre bourgeois, est un schéma habituel de la comédie de mœurs. La fin de Tartuffe (texte B) présente aussi les caractéristiques d’une comédie de mœurs, même si le sujet est grave et sérieux. On le voit à la présence d’une famille réunie, en butte à un personnage hostile, Tartuffe. Il s’agit en effet d’une représentation des mœurs d’une famille bourgeoise dont le chef

Le Classicisme : Caractéristiques : L'écriture classique se veut fondée sur la raison. On y a parfois vu l'influence du rationalisme de Descartes mais il s'agit plutôt d'un intérêt pour la lucidité et l'analyse. Les héros et héroïnes classiques ne sont en général pas rationnels mais leurs passions, souvent violentes, sont analysées par l'écriture qui les rend intelligibles. Le classicisme est donc davantage influencé par une volonté de soumettre le déraisonnable à l'ordre de la raison que par un

toutes les péripéties de Don Juan pendant les actes intermédiaires avant d'arriver au dénouement, lors des dernières scènes de la pièce, menant comme souvent dans les tragédies à la mort du héros. Ensuite, on retrouve certaines des thématiques caractéristiques de la tragédie dans la pièce. Ainsi, les thèmes de la passion et de l'amour sont deux valeurs de Don Juan, qui le poussent à toujours aller de l'avant, comme on le voit dans la tirade de l'inconstance. Don Juan est un libertin, et même s'il a

la lecture analytique ( I, 1) qui suivra. - Rédaction collective d’une introduction au passage respectant les 3 étapes qui viennent d’être abordées. Sont donc dégagés : la problématique ( « Comment à travers ces portraits, retrouve-t-on les caractéristiques d’une scène d’exposition comique ? » ) et les 2 axes de lecture ( 1 : Une scène d’exposition / 2 : une scène comique)  Préparation de la séance suivante : - relecture de l’extrait - questions : Réfléchir aux fonctions d’une scène d’exposition

où les nobles sont faibles face aux forces supérieures des dieux manipulateurs. Pendant période classique de la France, il y avait l’invention de la tragédie comédie et tragédie lyrique. La tragédie comédie avait un objectif similaire à la comédie-farce en évoquant les mœurs du public. La tragédie lyrique était une sorte de théâtre en utilisant la musique, et a commencé l’opéra français, semblablement à comment Molière a inventé la comédie-ballet qui a influencé la création d’autres genres. Dans la

les protagonistes ont de plus en plus de mal à s’entendre car la communication est parasitée par les barrissements tonitruants de Jean. On risque donc le malentendu absolu, d’autant plus que la logique des enchaînements est mise à mal.  II. De la farce à l’horreur  A. La métamorphose  1. Le goût du spectacle Ce passage pose un évident problème de mise en scène : comment montrer la métamorphose de Jean ? En 1960, Jean-Louis Barrault utilisa pleinement les allers-retours de Jean vers sa salle de

imitation amusante d’une œuvre connue (d’un genre) pour s’en moquer de façon à mettre en évidence ses caractéristiques présentées comme des faiblesses… - La satire → s’attaquer aux vices d’une personne ou d’une société (registre satirique → critique + ironie). - L’humour (noir) → repose sur un effet comique qui se dissimule sous le sérieux / absurdité et cruauté du monde. - La farce → ruse, tromperie, mensonge, renversement de situation. Ex : Les comédies de MOLIERE ; la caricature

vignettes, a des traits enfantins, il parait naïf et niais sans se préoccuper de l’avenir. Il agit sans beaucoup réfléchir. Il semblerait que par la présence quasi constante du Renard dans la BD en général, l’auteur ai voulu insister sur cette caractéristique du personnage. En effet sur les vingt et une vignettes que compte la BD, le Renard apparait quinze fois et la Cigogne seulement dix fois, montrant ainsi la prédominance du premier. Quant à la Cigogne, ses traits sont plus doux à l’exception du

brutale vérité. » (Ionesco) Question : Quel lien établissez-vous entre ce portrait de Guignol que vous proposent les documentalistes du Musée Gadagne et le théâtre de Ionesco ? Vous répondrez à cette question en complétant le tableau suivant : Caractéristiques du Influence de Guignol sur le théâtre de Guignol. théâtre de Ionesco dans La Leçon. Séance n°5 : Lecture analytique : Depuis le début jusqu’à « vite réprimée », pp. 85-89. Etude de la « scène d’exposition ». a) Document n°4 : Film distributed