Farce Métaphysique

tremblement de terre à Lisbonne CF : Chapitre 6 : « Tandis qu’il raisonnait, l’air s’obscurcit » Montaigne : « philosopher c’est apprendre à mourir » Voltaire : philosophe = « tremblant, peureux et lâche » - Pangloss est le boucher de la métaphysique |-> Perte de temps, aveuglement, malhonnêteté Chapitre 30 : « il le soutenait toujours et n’en croyait rien » b) La philosophie de Leibniz - XVIIème siècle, Leibniz (1646), ouvrage principal en 1710 : Les Essais de Théodicée

tout le Moyen Âge. Comme Galilée, Descartes se rallie au système cosmologique copernicien ; mais, par prudence envers la censure, il avance masqué, en dissimulant partiellement la nouveauté de ses idées sur l'homme et le monde dans ses pensées métaphysiques, idées qui révolutionneront à leur tour la philosophie et la théologie. L'influence de Descartes sera déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succèderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit

faiblesses et d'incertitudes » l.18-19). L'énonciateur suit ensuite un raisonnement logique en passant par plusieurs idées séparées par des points-virgules, qui l'amène à penser qu'il est dans une trop grande ignorance pour comprendre ces idées métaphysiques et qu'il n'a plus donc qu'à se « laisser mollement conduire à la mort » l.26 car c'est « un sujet de désespoir » l.24 On remarque ensuite les guillemets indiquant la fin de citation, et le ton devient immédiatement plus direct. Au travers d'un

impressionnistes dans le changement du climat londonien « Qu’est-ce, en effet, que la nature ? […] prions l’art de tourner d’un autre côté ses yeux émerveillés » Qu’est-ce que la nature ? -argumentation d’ordre métaphysique -la nature comme création intellectuelle -voir une chose (et non pas la regarder), c’est voir sa beauté - la chose n’a d’existence que par l’art « Il l’a déjà fait au surplus [...] Malgré tout je ne veux pas accabler la nature »

un matériel et l’autre formel, que l’intellect humain tente d’unifier ce que lui procurent sa sensibilité et sa raison en vue d’une compréhension qui allie les faits et les idées. En montrant la complémentarité d’une démarche scientifique et métaphysique, l’idée de Nature est possible puisqu’elle est conçue dans sa totalité. Le savoir de la philosophie de la nature est donc épistémologique; un savoir ayant comme fondement premier la recherche de l’essence de l’être, son origine. Cette curiosité

Extrait de la réponse : Il commence par remettre en cause l’idée d’une mère nature afin de montrer ensuite que c’est l’art qui est ce qui donne vie à la nature et non la nature qui donne la vie. Il commence donc ici par une interrogation sur ce qu’est la nature et fait référence à cette conception antique de la nature qui voit en elle la mère nourricièr ... c'est certain comme le dit Oscar Wilde, les artistes ont une capacité de rendre visible certains phénomènes ou réalités visible par le commun

Autres auteurs Leibniz: "on peut prendre le mal métaphysiquement, physiquement et moralement. Le mal métaphysique consiste dans la simple imperfection, le mal physique dans la souffrance et le mal moral dans le pêché" La morale de l'acte: Sartre: "l'homme est ce qu'il se fait" Malreaux: "Un homme est la somme de ses actes" Bible: "seul Dieu sonde les cœurs et les reins" Platon:"les bons sont ceux qui font seulement en rêve ce que les méchants font dans la réalité" Mal subi/mal commis

désintéressement) [6] . Tel est alors le fondement du jeu interne de la volonté défini par le pouvoir de choix entre se soumettre ou non à la loi de la raison. D’où le fameux libre arbitre à la « bifurcation de deux routes » ( Fondements de la métaphysique des mœurs, édition Delbos p.99). Mais il importe de préciser aussitôt qu’il ne s’agit nullement ici d’opposition simpliste entre raison et sensibilité. La faculté de désirer est une et certes soumise à l’amour de soi mais Kant affirme explicitement

Cet enseignement laisse place à une morale : le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Voltaire dénonce donc l'utopie avec le passage de l'Eldorado (où tout est merveilleux). • L'excipit de Candide souligne le refus des discours métaphysiques et optimistes, ici caricaturés par Pangloss, et rappelle les bienfaits du travail : il permet à l'homme de donner un sens à sa vie, d'évoluer et de prendre en main son destin. Trois éléments qui permettent finalement à l'individu de construire

personnage qui apparaît comme l'incarnation du mal commence à apparaître comme celui qui refuse et affronte le destin , qui appairait comme seul homme libre face à des esclaves. Refus de la fortune , du destin : Camus dans l'homme révolté : révolte métaphysique Rousseau dans la profession de foi du vicaire savoyard malgré tout il est impossible de concevoir l'homme libre de définir la liberté humaine en y excluant la capacité de faire le mal et de le choisir. À supposer même que ce qu'on vise ce soit