Fascisme Et Nazisme Crise économique

Le Totalitarisme • Fascisme : vient de l’italien, veut dire faisceau. C’est un des emblèmes de l’autorité de l’empereur romain. • Nazisme : vient de la contraction de « national socialiste », le nom du parti créé par Hitler (NSDAP) • Le totalitarisme met en place 3 régimes politiques : celui de l’Italie sous Mussolini (1922), celui de l’Allemagne sous Hitler (1933) et celui de l’Union-Soviétique sous Lénine (1918) puis Staline (1924) • C’est un nouveau type de régime qui apparaît

et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive. Benito Mussolini exaltait sa « farouche volonté totalitaire », appelée à délivrer la société des oppositions et des conflits d'intérêts[5]. Giovanni Gentile, théoricien du fascisme, mentionna le

-exclusion des juifs, antisémitisme -antiparlementarisme -création d’un pouvoir fort Q.3 : Le NSDAP et le parti communiste profitent de la crise qui nourrit leurs revendications au dépend du parlementarisme en place. Q.4 : Il y a un élan de nationalisme, une volonté de revanche suite au diktat. La population souhaite un changement à cause de la crise et du chômage qui touchent directement les classes moyennes. Les élites quant à elles soutiennent Hitler puisqu’il s’oppose au communisme qui

mécanisme politique qui est issue du principe patriarcale : le pouvoir est dans les mains d’un chef qui considère ses proches comme des serviteurs et ses sujets comme des fidèles => on a une hiérarchie. On a aussi une confusion entre les rôles économiques et politiques. Du coup les ressources privées qui viennent de l’économie et les ressources publiques qui viennent du politique sont mêlées. On parle de clientélisme : consiste à entretenir la soumission par une distribution avisée des ressources

1939, les États-Unis soutiennent la Grande-Bretagne avant de s’engager pleinement en 1941, après Pearl Harbor, dans la lutte contre le nazisme et le fascisme. De 1941 à 1991, les États-Unis luttent contre deux totalitarismes : le nazisme puis le communisme. De 1941 à 1945, la priorité est la lutte contre l’Allemagne nazie et ses alliés. La puissance économique et militaire des États-Unis est ici décisive et accélère la fin du conflit. Alliés à l’URSS, les États-Unis sortent victorieux du conflit

et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive. Benito Mussolini exaltait sa « farouche volonté totalitaire », appelée à délivrer la société des oppositions et des conflits d'intérêts[5]. Giovanni Gentile, théoricien du fascisme, mentionna le

invention à Giovanni Amendola3,4, opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de pensée et de lutte politique. Son emploi se répandit dans les milieux antifascistes italiens. Ainsi Carlo Sforza (libéral républicain), Gaetano Salvemini (gauche anticommuniste) et surtout Luigi Sturzo (démocrate-chrétien) furent dans l'Entre-deux-guerres des utilisateurs du concept de totalitarisme. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte

H. LES FASCISMES C'est la troisième ligne de force de l'entre-deux-guerres, avec la crise de la démocratie classique et le rayonnement du communisme soviétique. Au départ, le mot fascisme vient de l'italien FASCIO ou Fasci italiani di combattimento, associations composées essentiellement d'anciens combattants et de bourgeois nationalistes qui s'emparent du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche

= l'attitude de quelqu'un qui pense modifier le cours des événements par sa volonté, et peut à la limite désigner quelqu'un de trop directif ou autoritaire) + rationalité organisationnelle transformations dans ordre des représentations économiques (autorité, contrôle, décision collective) et équilibres politiques (collaboration des syndicats). Nouvelle « communauté de travail » apparaît comme pendant de nouvelle « totalité » humaine. Justification de naissance d’ « Etat total » à visée

III LES TOTALITARISMES FACE AUX DEMOCRATIES 1- En quoi les régimes totalitaires sont-ils tournés vers la guerre ? a) Le nazisme allemand est résolument tourné vers la guerre. C’est en effet en partie sur son programme de révision du Traité de Versailles que le NSDAP est arrivé au pourvoir, insistant sur le mythe de l’invincibilité de l’armée en 1918. Il affirme aussi sa volonté de restaurer le Reich c’est-à-dire le Saint Empire Romain Germanique du Moyen-âge. Il faut rassembler les peuples de