Fascisme Nazisme Staline Points Communs Et Différences

..................................................................... 481 6. La libération des démons ........................................................................... 486 7. Le fascisme ................................................................................................ 492 8. Le nazisme (National-Socialisme) ............................................................ 496 9. Les enseignements de l'expérience soviétique .......................................... 500 10. La

réparations, protectionnismes, …) C. Le réarmement est une solution esquissée pour faire face aux tensions engendrées par la crise II. La guerre apparaît aussi comme le moyen ultime de sortir de la crise A. Les politiques de déflation ont échoué, à la différence des politiques de réarmement B. La guerre détourne les esprits des problèmes intérieurs C. La guerre est la logique finale de certaines politiques de réarmement, financées de manière très illusoire (cf. Schacht) III. Mais la crise économique

rappeler une situation originale : les Etats-Unis ayant debarque en Europe apres un certain temps (2ans de pres) du debut de la 2nd guerre mondiale apres l’attaque niponne de Bert Herbert avec la determination de rentrer au pays au plus vite alors que Staline en avait profite pour etendre son aire geopolitique grace a l’Europe de l’Est qui vas devenir parti integrante de l’empire sovietique. Seul ces deux pays avait maitrise l’energie atomique et se procurait de la bombe atomique, les E-U s’en servir contre

| |RELATIONS | |INTERNATIONALES | [pic] Evaluation : ● Oral/écrit. ● Questions générales et questions sur des points précis. Sommaire Sommaire 1 Chapitre 1. Les caractères de l’histoire des relations internationales 4 Section 1. Principes et méthodes 4 §I. Présentation du cours 4 §II. Qu’est ce que l’histoire des relations internationales 5

au fil du temps. III. Le concept de politique Il faut en premier lieu bien comprendre que la politique n’est pas du tout juxtaposée avec le monde des idées. Waldeck Rousseau, président du conseil sous la IIIème République, a témoigné de la différence entre la réalité et le monde des idées : « un programme n’est pas fait pour être appliqué, dès lors qu’il est appliqué, il cesse par là même d’exister ». IV. Le concept d’Utopie L’Utopie est le pays de nul part tel que le décrivait Thomas

utiliser des variables d’analyse des différences politiques entre différents systèmes politiques et économique. Il va encore plus loin puisqu’il va amener des concepts, des instruments à la perception de la politique. Il explique le pourquoi du bien fondé du capitalisme dans certain pays, notamment aux États-Unis(les Américains sont en majorité protestants) a si bien marché au USA et pas en Europe Latine. Il va s’interresser a la religion. Et finalement la différence c’est la religion : Chato en europe

pouvoir mondial. Kant, Hugo, sont les précurseurs de la mondialisation et ont une vision imaginaire. Les fonctionnalistes ont une vision plus précise : le monde est uni par des besoins pris en charge par des structures qui exercent des fonctions communes comme : J. Monnet : pour lui, l’Europe devrait son intégration aux besoins partagés entre les membres dans les domaines très importants comme le charbon et l’acier (CECA). G. Selles : il reprend ce principe au niveau mondial : le monde est bien

Cela s’est vu il n’y a pas si longtemps, dans la première moitié du siècle dernier, et même plus récemment. Beaucoup de ceux qui l’ont connu sont encore vivants et peuvent en témoigner. Et il ne faut pas croire que « la bête immonde » du nazisme, du fascisme ou du stalinisme est définitivement terrassée. Si le pire n’est jamais sûr, du moins peut-il renaître. C’est sans nul doute ce que se sont dits les manifestants de l’entre-deux-tours de la dernière présidentielle française, en 2002, lorsqu’ils

d’anciens combattants et qui souhaite l’union et la rénovation nationale. Ces groupes empruntent au fascisme, le goût des parades et des formations militaires. Il faut toutefois préciser que la véritable doctrine fasciste n’a pas pénétré encore en France. Quoiqu’il en soit, ces ligues relayées par la presse d’extrême droite entretiennent dans le pays une atmosphère d’intense passion politique, dont le point culminant est les émeutes de 1934. Il y a une crise parlementaire. Pour apaiser les esprits,

l'attente de la destruction apparemment proche, la prise de conscience de l'impuissance, et les alternances d'espoir et désespoir − tout cela en soixante-dix minutes montre en main, avec seulement dix centimètres d'un blindage de fer tordu pour faire la différence entre le danger, la captivité et la honte, d'un côté − la sécurité, la liberté et le triomphe, de l'autre[42]. » Il s'échappe du camp de prisonniers et parcourt près de 480 km jusqu'à la ville portugaise de Lourenço Marques dans la baie de Delagoa