Fatalité Du Libertinage

ma retenue » C)-La toute-puissance du Destin Des Grieux va plus loin dans sa volonté explicative en s’en prenant à la cruauté du destin qu’il rend responsable de leur infortune. Ce n’est pas le hasard qui a présidé à leur rencontre mais bien la fatalité. Cf le début du texte, qui commence par l’interjection élégiaque « Hélas ! que… ». La rencontre prend ici une valeur de prédestination et on note le recours au lexique de la transcendance « l’ascendant de ma destinée ». Le vocabulaire est bien celui

≠ chez ces 2 auteurs mais il y a des véritables lignes de fractures repérables. * Premièrement , chez Racine, la fatalité domine et possède un caractère inexorable. Le personnage principal et d’autres personnages vont peu à peu prendre conscience de cette fatalité et ils vont devoir accepter la vie que la fatalité leur assigne. À la différence de la tragédie grecque, le héros racinien a conscience de sa destinée (≠ ds tragédie grecque et Œdipe). Bien que conscient

appris que Mme de Volanges, qui connaît son libertinage (mais pas celui de Mme de Merteuil), I'a dénoncé auprès de Mme de Tourvel (lettre 9), il accepte d’obéir à la marquise afin de se venger lui aussi de Mme de Volanges : il poursuivra de front les deux projets. Mais Mme de Merteuil est agacée par l’intérêt qu’il porte à Mme de Tourvel («Déjà vous voilà timide et esclave ; autant vaudrait être amoureux»), et lui rappelle les principes fondamentaux du libertinage, lui en proposant une illustration en

jeunesse de P évoque celle de DG : série de ruptures entre lui et les figures d’autorité (père, prêtre, juge). On retrouve dans ML l’émergence de l’individualisme qui suit la mort de Louis XIV avec famines et défaites qui entraine un essor du libertinage et des jeux d’argent, une période de déstabilisation. Prévost avait prévu le sens historique et idéologique de cette crise, à la fois collectif et individuel, il reprend « cette gde crise qui orchestre ses propres contradictions ». 1726-31 : il

extravagant, peu apprécié au 17è et 18 è siècle, Réalisme psychologique – Histoire, Princesses de clef Fin du siècle – Pessimisme, méfiance de l'homme, « Le cœur est un organe creux et plein d'ordures » - PASCAL. L'amour est perçu comme une faiblesse, une fatalités. Gencenisme – Mouvement religieux, politique. Problème de la liberté humaine. Grâce ou pas ? Libre arbitre ou pas ? Les querelles commencent en 1547, Consyl de trente qui affirme la place du Libre Arbitre. Baïus → Prédestinée (pas de libre arbitre)

conquête, séduisant même la fière Antiope, farouche amazone et mère d'Hippolyte. C'est ce point en particulier qui provoque le refus total d'Hippolyte de céder aux douceurs de l'amour et de résister aux attraits de la gente féminine, en opposition au libertinage de son père qu'il juge indigne. Thésée représente donc pour lui à la fois la figure parfaite du héros vers laquelle il tend perpétuellement mais aussi la bassesse des Hommes, la séduction et la futilité des sentiments amoureux qu'il trouve dénués

roi lui cria de prendre celui qui arrivait ») rajoute à la dimension sonore de l'arrivée du Duc. Le trait sociale est important puisque c'est lui qui régie les couples du bal selon sa fantasie. Ainsi, le lecteur pourra-t-il retenir ce coût de la fatalité mais les personnages également car l'arrivée de M de Nemours reste imperceptible par son identité. Les désignations du Duc par groupes nominaux : « quelqu'un qui entrait », « celui qui arrivait », « un homme », « ce prince », entourent le personnage

l’habiter et de la sainteté du lieu. Elle se dirigea donc sans hésitation et fut reçu comme il se doit par l’un des quatre moines qui l’habitait. Ils s’avéreront être une bande de quatre moines débauchés qui s’adonner au blasphème, parjure, et autres libertinages avec des filles qu’ils capturent, enferment et libèrent après des années de sévices sexuelles. C’est en ce lieu que Justine perdu sa virginité mais garda toute son innocence et sa candeur lorsqu’elle fut libéré. Elle ère à nouveau sur les routes

empruntée à une typologie physiologique : la femme de tête, à distinguer de la femme de cœur ou Mme de Tourvel, et de la jeune fille sensuelle, Cécile (cette répartition renvoie à la perspective inspirée par les Lumières et plus encore par le libertinage : en effet, puisqu’il s’agit de définir la nature de l’homme, il convient de le considérer comme un organisme biologique et non comme un pion appartenant à un ordre social). Laclos prend acte de la situation de dépendance imposée par la morale et

spectaculaire. Il est très à l'aise et social. Il connaît beaucoup de personnes. Il est très physique il faut qu'il saute haut pour passer "par-dessus quelque siège" (ligne 7). C'est un conquérant, un Don Juan. c) le poids de la fatalité  La princesse refuse d'abord la fatalité : Lorsqu'elle danse, elle n'ose pas se retourner pour voir le visage de l'homme qui vient d'entrer malgré " un assez grand bruit " (ligne 3). Elle finit par l'accepter lorsque lors lui désigne le duc comme cavalier. Il y a une