Fatalité Du Libertinage

mélodrame. On trouve le traditionnel conflit du fils avec le père qui marque la toute-puissance des vieillards et de l'ordre social.Avec la rencontre impromptue et le coup de foudre, le roman devient celui d’un amour qui est un mélange d'amour fou, de libertinage et d'amour «fraternel», les héros ne profitant toutefois de leur bonheur qu’à quelques occasions (vie commune ; évasion de prison ; fuite dans le désert pour assurer leur bonheur futur).Or l’amante est une femme fatale qui entraîne l'amant à la

porte satirique : ∙? satire de la crdulit du public : en effet le prestige de lautorit des mdecins tient lhabit. ∙? satire sur les mdecins et inefficacit mdicaments ە? cet pisode a une valeur de fable : fonde fallacieusement des croyances et libertinage (thmatique de la pice) remise en cause de lexistence de Dieu. ە? Sganarelle reoit le lien entre limpit de Dom Juan lgard de la mdecine et du ciel : passage constant dun sujet un autre 3. Dom Juan et Sganarelle argumentent-ils ? effet de largumentation

d'énergie, d'efforts, de "travaux pénibles". Valmont : L'alter ego de Mme de Merteuil : Valmont a beaucoup de points communs avec Mme de Merteuil, avec laquelle il partage la même école du libertinage : "conquérir est notre destin" (lettre 5) Comme Mme de Merteuil, c'est un personnage qui est sûr de lui, il ne doute pas qu'il réussira dans son entreprise de séduction avec Mme de Tourvel ; comme elle il ne supporte pas de rival et

[Renseignez-vous. Distinguez bien le libertinage de raison et le libertinage de mœurs, même si Dom Juan les cumule…] [Selon le cas:] Tirso de Molina, Éric-Emmanuel Schmitt (La Nuit de Valogne), … Quelles versions du mythe de Dom Juan connaissez-vous ? Qu'est-ce qui a pu scandaliser les spectateurs, lors des premières représentations ? Satire d'un grand seigneur, faite par Molière, un roturier. Caricature de la religion. Représentation sur scène du libertinage. 63 Molière, Dom Juan, III, 2

fois : trahison, réconciliation, suite. On trouvera trois fois ce même schéma dans le récit. Enfin, c’est uns structure tragique qu’est celle de Manon Lescaut : Des Grieux, dans son récit, fait sans cesse référence à son destin, à son étoile, à la fatalité, comme pour s’innocenter de tous les évènements. Cette unité d’action est aussi l’unité de la conscience narrative. On ne voit tout ça qu’à travers un seul récit : seule la partie de Des Grieux, sa narration, donne son unité au texte. On peut voir

roman à une tragédie. Il est né après la tragédie classique et, comme dans ce genre de pièces, c'est bien la fatalité qui s'exerce («Pourquoi la destinée nous sépare-t-elle par un obstacle si invincible?»). Il a les caractères du théâtre classique, et une pièce de théâtre a pu être faite très rapidement à partir du roman. En ce qui concerne le sujet, le roman voit l'exercice de la fatalité sur des personnages de haut rang, personnages qui sont ceux de la tragédie. En ce qui concerne la forme, par

Ces deux espaces s’ignorent ou s’excluent, comme le soulignent Mme de Volanges (lettre 9) ou Mme de Tourvel (lettre 50), mais aussi M me de Merteuil, lorsqu’elle presse encore une fois Valmont de revenir à Paris (lettre 113). Les lieux communs du libertinage On retrouve dans le roman les lieux de plaisir des libertins, l’Opéra et les théâtres, les boudoirs, les petites maisons (lettres 47 ou 85). Le « cercle » ou le « grand théâtre » désignent sous la plume des libertins les salons où se font et défont

été invités à rechercher au CDI des renseignements sur la biographie de Pascal et la cadre historique. Le cours invite les élèves à prendre conscience de « l’effrayant génie » qu’a été Pascal. On insiste ensuite sur le contexte idéologique (le libertinage et ses causes) et le contexte religieux (Augustinisme / Jansénisme / Réforme / Contre Réforme). L’appui sur la lecture de la lettre 12 des Provinciales et du discours de Tout-à-Tous à la belle Sainte-Yves dans L’Ingénu de Voltaire (chap.16) permet

Divinité a ses lois ; le monde matériel a ses lois ; les intelligences supérieures à l’homme ont leurs lois ; les bêtes ont leurs lois ; l’homme à ses lois. Ceux qui ont dit qu’une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité ; car quelle plus grande absurdité qu’une fatalité aveugle qui auroit produit des êtres intelligents ? Il y a donc une raison primitive ; et les lois sont les rapports qui se trouvent entre elle et les différents êtres, et les

roman à une tragédie. Il est né après la tragédie classique et, comme dans ce genre de pièces, c'est bien la fatalité qui s'exerce («Pourquoi la destinée nous sépare-t-elle par un obstacle si invincible?»). Il a les caractères du théâtre classique, et une pièce de théâtre a pu être faite très rapidement à partir du roman. En ce qui concerne le sujet, le roman voit l'exercice de la fatalité sur des personnages de haut rang, personnages qui sont ceux de la tragédie. En ce qui concerne la forme, par