Fatalité Du Libertinage

désir, déresponsabilité face à la fatalité biologique de la libido. DJ = objet impuissant d’une force supérieure. - détournement des valeurs de la justice & de la raison : il retourne les valeurs, le lien légitime de fidélité devient une source d’injustice. - constance & fidélité = force négative : conquête amoureuse = vie, mariage = mort Fidélité = antinaturelle - universalisation fallacieuse : instrument rhétorique = faire apparaître le libertinage comme allant de soi grâce à un

Juan ou le convive de pierre | | | |L’action et la fatalité | |au fil de l’œuvre | Dom Juan, pièce baroque de Molière

(ruiner sa réputation) + en faire une libertine. l.45 à 47 : « il y aura bien du malheur si le Gercourt ne devient pas, comme un autre, la fable de Paris ». l.45 : « si une fois vous formez cette petite fille ». l.34 : « le sort inévitable » --> fatalité : son plan va forcément fonctionner. Deux portraits méprisants.  C. But : gloire et humiliation. Gercourt = perso. ridicule & prétentieux. l.32 : « l’importance que met Gercourt à la femme qu’il aura ». M. critique le choix de G. pr sa femme + le

époque contestataire, notamment de la part des philosophes des lumières, contre le règne de Louis XVI. Laclos, qui est notamment l’auteur du roman épistolaire Les Liaisons dangereuses, paru en 1782, va faire de cette œuvre une expression du libertinage. Libertinage qui sera, d’ailleurs, une manifestation de la crise qui gagne ce siècle, et le duo Valmont / Merteuil qui régit Les Liaisons Dangereuses l’illustrera parfaitement. Précisons également que cette œuvre est un roman remarquable dont le style

|73 |«-désirez-vous épouser ma fille?-Je ne puis encore donner | | |jour, alors qu'un orage éclate, les deux jeunes gens sont sous la cabane. MM ternue. SC les découvre et le frappe. Puis ils se | |ma parole » : libertinage et mondanité de MM | | |calment et discutent tous les trois. SC évoque sa vie passionée. | |

fiction ce qui permet de "photographier" l'époque , on peut penser au regard mordant de Montesquieu qui utilise le regard des persans pour se moquer des mœurs des français . Les liaisons dangereuses vont mettre en avant des comportements autour du libertinage que tout individu du XVIII est capable d'identifier , ne pas oublier que le XVIII est le siècle des Lumières , on voit apparaitre un nouveau type de roman : le roman philosophique ( ex : le roman de Diderot , Jacques le Fataliste ) Ce sont des personnages

(interrogations, s'invectivent...) -> permet d'assurer la continuité de l'œuvre = unité de l'intrigue "Le destin de l'homme demeure le jeu des événements [...] Le personnage de théâtre lutte contre les autres ou contre une fatalité extérieure", L'amateur de théâtre, Touchard. - expression de soi l'Atelier, Grumberg (scène 10) = question de la commémoration 2) un instrument pour le metteur en scène - choix scéniques :

Texte 2 Introduction: Au siècle ou la morale combat le libertinage et ou les lecteurs sont friands de littérature de voyage, Denis Diderot s'inspire du voyage autour du monde de l'explorateur Bougainville. Dans son supplément, il reprend les témoignages de tahitiens tout en idéalisant cette société à la manière d'une utopie afin de critiquer la civilisation européenne. Publié en 1772, le supplément présente au chapitre 2 les adieux du vieillard, un tahitiens qui prend la parole en s'adressant

chevalier, qu’il n’essaye pas de le mener vers d’autre chemin. Il est vrai que l’homme d’Eglise prône la religion de la vertu par opposition à Des Grieux qui lui prône celle de l’amour. Tiberge tente de détourner son ami des chemins bien sombre du libertinage : Ainsi pareil à un opposant, il réfute la conduite bien hasardeuse de notre héros. Elle est aux antipodes de la religion et donc aux antipodes de la pensée du prêtre qui essaye tant bien que mal de remettre son ami sur le droit chemin. Tiberge

l'intelligence et de l'opportunité.     Valmont, lui, paie le prix fort : il meurt. Sa mort est justifiée selon les codes de l'honneur de l'époque, mais cette mort apparaît très vite comme étant "une erreur". Danceny regrette ce duel fatal : " je gémis de la fatalité qui a causé à la fois vos chagrins et mes malheurs;" écrit-il à Mme de Rosemonde dans la lettre 169. Valmont, agonisant demande que l'on ait pour son justicier " tous les égards qu'on doit à un brave et galant homme" (lettre 163) et  la remise des