Fatalité Du Libertinage

l’ange de la mort “représente le temps avec sa faux ” on peut en conclure que le mal qu’il a causé l’amène à sa mort. Enfin il y a la statue qui accentue le retour en arrière qui rappel le moment où Don Juan l’a tuée. Elle représente la mort et le libertinage de Don Juan. Ainsi Dieu à travers la statue du commandeur fait mourir Don juan en le foudroyant et l’emmène directement en enfer. On assiste ainsi à deux scènes très mystérieuses et angoissantes. Cependant ce sont deux scènes qui sont complètement

Enfin, en mettant en scène le personnage de Dom Juan doté de deux caractères bien distincts, l’un étant perçu comme un héros, pour sa noblesse, son courage et sa générosité et l’autre perçu au contraire, comme anti-héros pour son hypocrisie et son libertinage envers les femmes, on peut supposer que Molière a voulu démontrer à travers ce personnage que nul n’est parfait mais qu’au contraire le bon va avec le mauvais et que l’un ne va pas sans l’autre. Autrement dit, que chaque personne malgré tout le

et défient à la fois la religion, l'ordre social et le code aristocratique. Don-Juan ira jusqu'a adopter le masque de l'affection pour continuer sa vie de "libre-penseur" mais surtout de grand séducteur. Molière soulève ici le délicat sujet du libertinage. Nous pouvons prendre aussi comme exemple l'Ile des Esclaves de Marivaux, qui nous parle de la nature humaine. Tous les personnages de cette pièce éprouvent l’envie de puissance. Marivaux a ici dénoncé la volonté de puissance mais aussi la distance

Néanmoins, une fois qu’il a assouvi ses désirs, il est normal qu’il souhaite goûter à d’autres. Le comédien hors de lui : Mais une femme ca se respecte! Le but de Molière était de dénoncer le libertinage de mœurs, non pas de faire une éloge de ce genre de personne et encore moins de repousser ses actes a la fatalité de son humble etre! Le metteur scène furieux : Sors je t’en pris mais je ne changerai pas mon point de vue sur le caractère de Don Juan, cela reste ma pièce quand même. Il fallait être

Lecaractère volage de Dom Juan est dénoncé par sganarelle. C'est le valet qui fait la morale au maitre, Dom Juan se fâche. I- L'apologie du libertinage. A- Dom Juan défend une cause indéfendable Dom Juan s'oppose à sganarelleen reprenant sa thèse sous forme de question rhétorique, mais on a une réponse négative. Dom Juan met en avant le libertinage, il reconnaît qu'il multiplie les conquêtes amoureuse (l.45). Il s'oppose à l'opinion commune « Non,Non » (l.7). B- Arguments de Dom Juan.

“le penchant au plaisir”, c’est-à-dire le libertinage, et l’intrigue même, “les malheurs”. Ce récit rétrospectif a la particularité de nous présenter la rencontre entre les deux amants sous un angle faussé car subjectif. Mais les commentaires faits a posteriori viennent éclairer le récit en mettant en lumière l’évolution de Des Grieux, une fois plus âgé. L’aspect tragique du texte s’en voit renforcé: Des Grieux, victime de la fatalité, est dominé par Manon. L’histoire

On trouve des symétries aussi dans les personnages :  - opposition méchants / gentils - opposition hommes / femmes - opposition jeunes / vieux On trouve cependant quelques nuances par rapport au roman libertin. Laclos introduit deux formes de libertinage (Valmont et Merteuil recherchent le plaisir, ils sont calculateurs ; mais pour Valmont c'est plus un jeu alors que Merteuil est motivée par la vengeance vu sa condition de femme : elle veut dominer les hommes, qui dominent en général -> "les règles

femme. Dans toute cette lettre Valmont va instaurer un jeu de double sens pour tourner en ridicule la présidente qu’il veut séduire. Cette épitre nous montre un Valmont en écrivain remarquable, maitrisant sur le bout des doigts la rhétorique du libertinage. Mais l’écriture agit aussi comme un révélateur sur le personnage et nous dévoile ses faiblesses. La lettre sacrilège de Valmont présente donc à la fois l’aboutissement de la réussite du langage libertin, mis au service de la « conquête » d’une

avait coutume de tendre à ses proies une main aussi trompeuse que ses paroles (voir Charlotte ou M. Dimanche). Ici, situation inverse, celle de prendre la main qu’on lui tend, et il semble accepter de s’engager solennellement vers sa propre mort.  Fatalité, puisque la mort de DJ semble irrévocable caractéristique du héros tragique.  Fonction cathartique du dénouement. c) Sganarelle, le contre point comique -S’oppose à son maître par sa peur, superstition. -Mais surtout, les derniers mots de

« je me trouvais enflammée »l.17 ; « elle me parut » l.13 Il n’est pas maître de la situation : verbes au passif « me rendit » l.26 Une force supérieure le dirige. On la retrouve dans la tragédie Il s’apparente à un perso tragique, sur qui la fatalité s’est abattue Il réfute tout ce qui lui arrive : ce n’est pas sa faute, il n’est pas responsable. Il cherche ainsi à se déculpabiliser de la mort de Manon devant Renoncourt III rapidité du coup de foudre et de la mise en œuvre Voc hyperbolique