Fatalité Du Libertinage

monde de libertinage. Madame de la Fayette met en mots les inquiétudes du Grand Siècle à travers l’histoire de « La Princesse de Clèves ». La Princesse de Clèves étant une femme de la Cour se doit d’avoir un comportement digne d’une honnête femme, aussi belle extérieurement que intérieurement. Comme lui apprenait sa mère Madame de Chartes, en plus de toutes ses qualités elle voulait lui donner une valeur inestimable qui n’est autre que la vertu afin de l’éloigner de ce monde de libertinage : « Madame

danger des liaisons, en serait-il lui-même une liaison dangereuse »/ Fin du roman Volanges, dupée par Merteuil, avoue à Rosemonde « Qui ne pourrait pas frémir en songeant au malheur que peut causer une seule liaison dangereuse. ») 1) le danger du libertinage a) Valmont b) femmes en danger c) complicité dangereuse 2) danger des liaisons a) amoureuses b) correspondances « Verba volent, Scripta moment » La structure du roman 1) construction dramatique a) partie 1 (l1 à

passion devient le maître du jeune homme au cours du roman “cette sorte de fille”. La passion est aussi pourvoyeuse d’illusion car Des Grieux, aveuglé par ses sentiments, ne voit plus le libertinage de Manon et DG demande la main de M lors du voyage à la Nouvelle Orléans L’amour agit en effet comme une fatalité puisque l’amour est assimilé au bonheur, la tendresse mais aussi à la destruction et la tragédie “ L'amour est une passion innocente ; comment s'est-il changé, pour moi, en une source de

entre ses deux personnages. Cette scène participe donc de l’incipit de l’œuvre, et s’effectue après le relai de narration entre le Marquis de Renancourt et Des Grieux. 2) Lecture 3) Problématique 4) Annonce du plan : I) Un roman d’amour II) La fatalité par la peinture des personnages II) Commentaire I) Un roman d’amour 1) Une entrée en matière vivante -L’animation de la scène met en valeur Manon et reflète l’aveuglement amoureux de Des Grieux. « Il en sortit quelques femmes, qui se retirèrent

distance se traduit par des remarques que l'on peut considérer comme ironiques. Le narrateur souligne son inexperience de l'époque pour expliquer ce qu'il s'est passé. B) La tragédie et la fatalité de la passion : A plusieurs reprises, le narrateur indique la difficulté qu'il y a d'échapper à la passion. Cette fatalité s'exprime à travers des métaphores qui font de la passion un coup fatal. On a une scène de rencontre paradoxale qui mêle le bonheur du coup de foudre, le ravissement amoureux et le malheur

Le roman Les Liaisons dangereuses composé de lettres fait partie du mouvement littéraire du classicisme. Cette œuvre fut publiée en 1782 par le célèbre écrivain Choderlos de Lacos, elle s’inscrit dans le courant du libertinage de mœurs. Ce roman épistolaire raconte l’histoire de deux héros libertins, le Vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil. Tout au long de l’œuvre, les deux personnages qui ont été amants dans le passé s’envoient des lettres pour se raconter leurs

fatale Manon = „penchant au plaisir“ (libertinage) tenue de se rendre au couvant par ses parents. Pas de descriptions physique mais de ce qu'elle dégage „ingénument“ „plus expérimentée“ „si charmante“ „air charmant“ → envouté „maîtresse de mon cœur“ → esclave de cette passion. Insistance sur l'âge „fort jeune“ „moins âgée que moi“ Allusion à Adam & Eve, femme fruit du pécher Les personnages ont donc des caractères opposés 2) Passion sous le signe de la fatalité regret : „hélas“ „ses malheurs et

de l’inconstance» I) Dom Juan, maître de la parole 1) Couple théâtral bien rôdé ; 2) La rhétorique de l’éloge paradoxal ; 3) Une fausse argumentation II) Dom Juan, les paradoxes de l’inconstance 1) Le conquérant ; 2) Le conquis ; 3) Le libertinage I 1) Maître&valet=tradition du théâtre & invariant des pièces de Molière. Traditionnelle impertinence du valet=liberté de ton de S : «je vs dirai franchement», ms sur autorisation de DJ: «je te donne la liberté de parler».DJ= mythe déjà connu

les expressions hyperboliques du narrateur. On relève alors « l'édifice de mon bonheur » et « étonné mille fois ».         Les thèmes dominants dans ce récit de Prévost sont principalement le malheur « malheureuse », « malheurs », la souffrance et fatalité « pleurer », « criminel », la passion « enflammé », « désirs » et enfin l'amour « sentiment », « amour ».         Prévost provoque chez le lecteur une certaine ambiguïté car les limites spatiales et temporelles sont indéfinies et évasives. Des Grieux

Des lettres qui semblaient pourtant refléter la douceur et la braise du c?ur. Le Vicomte, en véritable architecte qui lie chaque bloque de personnage et d’action, conduira également Gercourt à la honte, Danceny au rôle attribué à l’homme, le libertinage, et Cécile au couvent.Un total contrôle du personnage régis par l’argent, permettant au vicomte une excellente renommé, mais aussi de pouvoir et savoir l’utiliser, manipulation qui s’exécute par la plume, la diversité des mots, du ton, du style