Fatalité Du Libertinage

Nous allons voir comment l’auteur à justifier sa thèse. Dans la 1ère partie, c’est à dire de la ligne 1 à 7, on a clairement une opposition au destin avec le déterminisme. En effet, dans l ‘exemple de l’excuse sur nos vices et notre libertinages, on ne peut pas prétendre que ces actes sont le destin puisque ce sont nos agissements qui sont responsables de ce que nous faisons. Notre conduite ne change pas le destin puisqu’on ne le choisit pas (prémisse : on abuse de la nécessité du destin)

de sottise ou d’impertinence, qu’il paraît presque aussi scandaleux que Don Juan. Ce Don Juan est le personnage central. Son attitude générale et ambiguë vis-à-vis des hommes, des femmes et de Dieu pose la question délicate du libertinage. Face aux femmes, le libertinage amoureux du héros apparaît très nettement : ses seuls principes sont le plaisir et l’inconstance, et son amour des femmes ressemble fort à de la misogynie, car elles sont pour lui un simple moyen de flatter sa vanité ou d’affirmer

le recours systématique à l'artifice, par la restitution de l'univers du Grand Siècle dans le choix des costumes et du décor. La comparaison des deux mises en scène peut amener à réfléchir sur le sens de la catharsis et sur les conceptions de la fatalité que ces choix des metteurs en scène infléchissent. La répression du désir Quel rôle joue le corps dans cette mise en scène ? Analysez l'expresssion du désir en vous appuyant sur la gestuelle de Phèdre dans les scènes I, 3 et II, 5.

Dans une autre lettre il utilise le père Anselme afin d’avoir une entrevue avec mme de Tourvel, une fois de plus il cache encore bien son jeu afin de se faire passer pour un autre. - Sa relation avec mme de Tourvel, est elle la fin de son libertinage ? : En effet en présence de la présidente, le roué ne comprends pas le sentiment qu’il éprouve « je n’ai plus qu’une idée, j’y pense le jour et y rêve la nuit, s’écrit il. J’ai bien besoin d’avoir cette femme, pour me sauver du ridicule d’en

vieilles moralisantes ou Cécile… Le style de Valmont est celui d’une dépréciation ironique avec un fond de sérieux, de gravité. Merteuil : gaieté, enjouement diabolique. Leur discours est concis, sans mots parasites : c’est un des préceptes du libertinage et des Liaisons comme le montre le travail de réécriture et de condensation. Autre particularité du style : les antithèses symétriques (volontiers maximes), rythme binaire dominant qui donne une tonalité intellectuelle et qui accentue l’expression

Prévost, 1753 (1er partie) Explication n°6  : la rencontre entre Manon et Des Grieux Introduction Abbé Prévost(1697-1763) est un auteur du XVIIIe siècle. Son œuvre est marquée par les mouvements de son siècle tels que le libertinage, le classicisme ou encore les Lumières. Le texte que nous avons sous nos yeux est issu de la 1er partie de son roman Manon Lescaut, publié en 1731 et qui fait parti des 3 derniers tomes de ses Mémoires. Il y raconte les mésaventures

Manon Lescaut de l’abbé Prevost - La scène de rencontre - Comment la rencontre introduit elle ici la fatalité ? On connaît l’issue malheureuse… En quoi cette scène l’annonce-t-elle ? En quoi la voix du narrateur est elle double ? En quoi ce récit est il contradictoire ? PLAN : I- Une scène attendue car c’est un tournant dans la vie de DG 1) La mise en valeur de la rencontre 2) La métamorphose du jeune homme 3) Un tournant dans la vie de Des Grieux II- Le point de vue double du

la terreur. Un des procédés de la tragédie est l'ironie tragique qui intervient lorsque des personnages constatent avec une certaine dérision qu'ils sont les jouets du destins, par exemple dans Phedre ,les vers 19 et 20 montrent que face à cette fatalité, elle est condamnée à mourir : "... gloire cruelle" / "... cœur d'une faible mortelle", ceci annonce son suicide final. Le théâtre est avant tout un divertissement car c'est un spectacle : c'est le rôle de la mise en scène qui s'appuie sur

les références au registre théâtral présentes tout au long du récit, les scènes théâtrales et tous les moyens caractéristiques de la scène permettent au lecteur à considérer ce roman comme une oeuvre profondement influencée par le théâtre. La fatalité qui pèse toujours sur les personnages, le sujet et le dénouement tragiques, la construction dramatique indispensable pour une oeuvre qui doit mettre en évidence le danger des liaisons terribles, sont des qualités dramatiques que le lecteur avisé

extrait sous le simple titre de Manon Lescaut. Ce roman se situe à l’époque de la Régence, sous laquelle Prévost vécut. Il présente une société en plein changement où nombre de personnes, surtout les nantis, les nobles, s’adonnent au jeu et au libertinage en abusant du pouvoir que leur confère leur place dans la société. Ce roman raconte les terribles péripéties d’un jeune homme de la bonne société, promis à une charge ecclésiastique, qui tombe amoureux fou d’une jeune courtisane nommée Manon. Le