Faubourg Saint-Germain

politique (Z. Marcas) ou les Scènes de la vie de province (La Muse du département ou Illusions perdues) comme dans les Etudes analytiques (La peau de Chagrin). Paris est vu par tous les angles, des Tuileries aux prisons, du Faubourg Saint Germain au Quartier Latin ou la rue Saint Denis. Tous les groupes sociaux sont décrits, les princes et les ministres, les hors la loi et les prostituées, les boutiquiers et les grands hommes d’affaires. Tous les milieux sont vus, à l’exception d’un seul, celui des

c’est une femme coquette de salon archétype des mœurs qui règnent au Faubourg Saint-Germain. La comtesse de Sérisy : ami de la duchesse c’est elle qui la présente à Montriveau. VI. Le cadre spatio-temporel Dans le récit cadre l’action se passe en 1823 en Espagne, à Majorque dans un couvent de Carmélite : La paroisse de Saint-Thomas-d’Aquin. Puis le récit enchâssé où l’action se passe en 1818 au Faubourg Saint-Germain. Ensuite un retour au récit cadre. VII. Thèmes importants du

richesse ainsi que celle de la modernité et de la jeunesse. Les soirées parisiennes sont toujours animées que ce soit par les bals, les divers salons ou encore les nombreux théâtres « Théâtre de la Cité », « Théâtre italien », « Théâtre du boulevard Saint-Martin ». Les bals donnés et notamment celui de la vicomtesse de Beauséant sont de véritables événements dans la petite vie parisienne, toute la bonne société se bat pour se faire inviter et cherche à se mettre sous ses meilleurs atouts pour y assister

apparait comme un coup de force, et utilise la technique du dévoilement progressif. Premier chapitre : « Une pension bourgeoise » A la fin de novembre 1819, au quartier Latin, plusieurs personnes vivent dans la sordide pension de Mme Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geniève, qui nous est longuement présentée. On y trouve Melle Michonneau et M. Poiret, Victorine Taillefer, jeune fille déshéritée par son père ; Eugène de Rastignac, étudiant noble, mais pauvre, venu faire son droit et chercher gloire et pouvoir

armes. En manque d’argent, le comte d’Evreux épouse la fille du financier Crozat (elle n’a que douze ans) et vend un terrain à John Law. Ayant gagné la faveur du régent, qui lui promet un poste important, il achète à Mollet un terrain dans le faubourg saint honoré. Mollet accepte à condition qu’il en soit l’architecte de l’hôtel. Selon la légende, ce serait pour recevoir dignement le Régent lors de la remise de ce brevet que le comte d’Evreux aurait décidé de faire construire son hôtel particulier

est mort sensiblement au même âge que son modèle, submergé par la réussite, et finalement terrassé par l'incapacité de se donner des limites. LE PERE GORIOT, 1835 A Paris, fin 1819, dans une rue misérable qui descend de la Montagne Sainte- Geneviève vers le Quartier latin, madame Vauquer tient la pension qui porte son nom. Ses pensionnaires sont des êtres mesquins comme Poiret et mademoiselle Michonneau, ou sans éclat comme la jeune Victorine Taillefer. Trois personnages émergent de

III. Trompe-la-mort, IV. La mort du père Goriot. L’histoire est située à Paris de la Restauration, notamment au faubourg Saint-Marceau, à la Chaussé-d’Antin et au faubourg Saint-Germain. Le faubourg Saint-Marceau sur la rive gauche, proche du quartier Latin est celui où la pension Vauquer est situé. C’est un quartier des débuts dans la vie. Au contraire, le faubourg Saint-Germain et la Chaussé-d’Antin sont des quartiers élégants. Le premier celui de l’aristocratie distinguée où règne madame

être reçue chez la vicomtesse de Beauséant dont le salon au faubourg Saint-Germain ne s’ouvre qu’aux gens titrés de longue date. Ce qui n’est pas le cas de Delphine, ex-roturière. Eugène de Rastignac réussit tout de même à la faire admettre au bal d’adieu de la vicomtesse qui quitte Paris par dépit amoureux, après avoir été abandonnée par le marquis d'Ajuda-Pinto. Delphine ne poursuit qu’un seul but : appartenir au faubourg Saint-Germain. Ce qu’elle parviendra à faire 1821. Elle est à l’opéra

INTRODUTCION A partir du 19 e siècle, une nouvelle forme de roman nait : le roman réaliste. De nombreux auteurs tel que Balzac se donnent comme objectif de reproduire la réalité ordinaire et quotidienne des gens des milieux populaires. C'est dans ce contexte que Balzac publie Le Père Goriot en 1835. Le romancier Balzac écrit "All is true" qui signifie tout est vrai au début du roman Le Père Goriot . Le réalisme signifie un courant artistique

treizes". Ce passage est une longue réplique d'une conversation du général Montriveau et de son ami le Marquis de Ronquerolles. Lors de cette conversation l'ami du général, explique à celui-ci, le comportement et la mentalité des femmes du Faubourg-Saint-Germain. *PROBLEMATIQUE* *PLAN* ( 1 ) _ Au début de la longue réplique de Ronquerolles, l'utilisation de l'adjectif possesif "Mon" et de l'adjectif "cher" laisse le lecteur à comprendre qu'il y a une grande complicité et familiarité entre