Fausse Promesse Kant

Kant ne peut admettre que le devoir puisse être déterminé par des conditions empiriques. Le devoir a sa source dans la raison et se définit, en dehors de tout rapport à des mobiles sensibles ou à des situations particulières. Il prend la forme d'une loi

bonne kantienne est-elle possible à l’homme ? C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ? En guise de conclusion, un exercice : la fausse promesse est-elle toujours condamnable? Bibliographie Introduction Qu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs, tente de répondre à cette question. Il y répond d’une manière double : d’abord, en définissant la moralité

PHILOSOPHIE – DEVOIR COMMUN TS - CORRIGÉ DE L’ÉTUDE PHILOSOPHIQUE D’UN TEXTE KANT– Extrait des Fondements de la métaphysique des mœurs, Deuxième Section, éd. Delagrave, p.156-157 [INTRODUCTION] [Thème:] Ce texte aborde la recherche philosophique (métaphysique) du principe de la moralité. [Thèse:] L’auteur soutient que le principe de la moralité ne peut pas être empiriquement établi. [Thèse adverse:] Il constate et explique l’échec de toutes les tentatives philosophiques précédentes qui ont

de la connaissance qui dépasse ce que nous pouvons connaître au moyen de nos sens, de l'expérience. Dieu, l’immortalité, l’infini sont des problèmes métaphysiques. Kant recherche dans la Fondation de la métaphysique des Mœurs un principe universel et nécessaire de la morale. Concept de la bonne volonté, Concept du devoir. I. Kant y décline la philosophie en 3 sciences : Physique, Ethique et Logique. Les deux premières sont matérielles, car elles se rapportent à un objet –la nature pour la Physique

vraiment pertinente ?B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ?C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ?En guise de conclusion, un exercice : la fausse promesse est-elle toujours condamnable?Bibliographie  |   |   IntroductionQu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs, tente de répondre à cette question. Il y répond d’une manière double : d’abord, en définissant la moralité. Ensuite, en

Préface Kant y décline la philosophie ainsi qu'Aristote en 3 sciences : Physique, Ethique et Logique. Les deux premières sont matérielles, car elles se rapportent à un objet - la nature pour la Physique, la morale pour l'éthique. La logique est quant à elle purement formelle. Physique et Éthique ont chacune une partie empirique, c'est-à-dire s'appuyant sur les enseignements de l'expérience, tandis que la Logique ne saurait avoir de partie empirique. Toute philosophie non empirique est dite pure

que l’on pense être vrai. Le mensonge est donc le contraire de la véracité. Il implique un abus de confiance et fait l’objet d’une condamnation morale sévère. La société le sanctionne également lorsqu’il porte atteinte à la communauté tout entière (fausse déclaration lors d’un procès, sur une déclaration d’impôts…). Le mensonge ne saurait a priori être un droit. Toutefois, on peut se demander s’il faut toujours privilégier la vérité aux dépens des autres valeurs, tel le bien-être ou la vie humaine

nature et raison. -La morale de Kant : Comment être libre ? Nécessaire : ce qui ne peut pas être autrement. La nécessité caractérise la nature et les contraintes y sont nécessaires. L’homme est une partie de la nature ( il respire, il a des besoins). La liberté grâce à la raison qui permet « l’autonomie de la volonté ». La raison ou la volonté peut se donner à elle-même ces lois pour agir, elle permet donc à l’homme d’être lui-même la propre cause de ses actions. -Kant applique un critère à la liberté

idée à l’esprit. Descartes dans Règles pour la direction de l’esprit « Chacun peut voir par intuition qu’il existe, qu’il pense, qu’un triangle se détermine par trois lignes seulement. » Ex : Chiliogone. b. Est-ce un critère satisfaisant ? Fausses évidences. (Perceptives [auditives – visuelles] et Intellectuelles [illusions – préjugés]) Dans les méditations métaphysiques « Il est de la prudence de ne se fier jamais entièrement à ceux (les sens) qui nous ont une fois trompés » Dans le discours

blasphématoire : C’est à dire un mensonge qui serait prétendument au service de la foi, par exemple le mensonge des priscilliens ou des prêtres dans l’histoire de tout à l’heure. Pire des mensonges, le sujet est grave. - Le mensonge nuisible : La fausse promesse par exemple. J’ai besoin d’argent, je lui demande de l’argent en lui disant que dans 8 jours je le lui rendrai, alors que je sais qu’il n’en est rien. Mensonge par pure méchanceté également, qui n’apporte rien si ce n’est la jouissance de savoir