Faut Il Accepter L Idée Que Chaque Génération Contribue Aux Progrès De L Humanité Rousseau

...............................................................................................................72 Pour une approche interculturelle du texte littéraire à travers les textes des écrivains maghrébins et subsahariens de la nouvelle génération...........................................................................................................73 Jaouad SERGHINI, Université Mohammed Premier, Oujda, Maroc ............................................................................

se posent aux hommes et dont l'esprit divin possède déjà la solution, a été de plus en plus limitée dans sa compétence, de sorte que ce qui échappe à une réduction au formel lui présente des difficultés insurmontables. Faut-il tirer de cette évolution de la logique, et des progrès incontestables qu'elle a réalisés, la conclusion que la raison est tout à fait incompétente dans les domaines qui échappent au calcul et que là où ni l'expérience ni la déduction logique ne peuvent nous fournir la solution

l’importance respectives ont beaucoup varié au cours des siècles, constitueront, avec des exemples tirés du contenu du droit, du droit matériel, les grands axes de notre démarche, à chacune des grandes époques. Aussi, dans cette ouverture offrant une première idée de la matière, nous consacrerons un peu de temps à des considérations générales sur les institutions génératrices de droit ( III. ) et sur les formes que prend le droit ( IV. ). Enfin, on indiquera la bibliographie conseillée ( V. ). I. La définition

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III.2.2 La coexistence pacifique (1953/1962) ......................................................................... 67 III.2.3 La Détente, un condominium obligé (1962/1979) ......................................................70 III.2.3.1 Les progrès de la Détente .................................................................................... 71 III.2.3.2 Le maintien de fortes tensions, surtout dans le Tiers monde............................73 III.2.4 La guerre « fraîche » (1979/1985) ..

en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et au collège Jean-Yves Cousteau à Méry-sur-Oise (95) Jean HUBAC Professeur au lycée Jean Rostand à Mantes-la-Jolie (78) Bruno JÉGOU Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Baptiste LÉON Professeur au lycée Jean Macé à Vitry-sur-Seine (94) Sommaire THÈME

Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et au collège Jean-Yves Cousteau à Méry-sur-Oise (95) Jean HUBAC Professeur au lycée Jean Rostand à Mantes-la-Jolie (78) Bruno JÉGOU Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Baptiste LÉON Professeur au lycée Jean Macé à Vitry-sur-Seine (94) Sommaire THÈME 1 CHAPITRE

sens de l’hypothèse à formuler. Si l’on change l’ordre des faits, si l’on choisit comme point de départ un autre élément de la série, la théorie qui s’ensuit sera différente : d’où l’arbitraire de toute hypothèse. Tout jugement est arbitraire, donc il faut l’assumer pour se reconnaître responsable du "choix des faits1. » Nous ne lirons pas les romans de Zola pour analyser la névrose de l’écrivain naturaliste, mais ces derniers nous offriront la possibilité d’explorer l’inconscient de l’être humain.

devenu curieux. Il se moqua de la coquetterie : «Une femme qui n'est plus coquette, c'est une femme qui a cessé d'être». Il se montra un sociologue ironiste : «Ce qui gâte I'esprit des bourgeoises, c'est Ie faste continuel qui s'offre à leurs yeux : chaque équipage que rencontre en chemin une femme à pied porte en son cerveau une impression de douleur et de plaisir ; de douleur, en se voyant à pied ; de plaisir, en se figurant celui qu'elle aurait si elle possédait une pareille voiture. Le moyen que

impraticable, et fréquemment, tu songes à un départ à une vie autre, à l’infini des chemins. Ta morne existence dans ce village. Ta solitude. Ces secondes indéfiniment distendues quand tu vacilles à la limite du supportable. Tes mots noués dans ta gorge. À chaque printemps, cet appel, cet élan, ta force enfin revenue. La route neuve et qui brille. Ce point si souvent scruté où elle coupe l’horizon. Mais à quoi bon partir. Toute fuite est vaine et tu le sais. Les longues heures spacieuses, toujours trop courtes