Faut Il Augmenter Les Impôts

contribution à l'activité économique (les salaires versés par les entreprises...). Ils achètent des biens et services aux entreprises nationales (c'est leur consommation). Ils en achètent également à l'extérieur (importations), ils versent à l'État des impôts en fonction de leur revenu. Les entreprises fournissent des biens et services aux ménages. Elles achètent des biens d'équipement (l'investissement) et des biens intermédiaires à l'extérieur (importations). Elles fournissent des biens à l'étranger

Questions : 1) Dans "PIB", le P indique produit. VRAI FAUX VRAI 2) Dans "PIB", le I indique : immatériel intérieur industriel indice Interieur 3) Dans "PIB", le B indique que :- l’amortissement des machines n'est pas soustrait. - les impôts ne sont pas comptabilisés. L’amortissement des machines n’est pas négatif. 4) Le PIB mesure la production de l'ensemble des entreprises d'un pays en un an. VRAI FAUX FAUX 5) En comptabilité, les ressources étant égales aux demandes, le

relance, il diminue les impôts et autres taxes pour augmenter la demande et limiter la hausse du chômage ainsi que pour améliorer la croissance et le pouvoir d’achat des ménages. L’Etat crée donc un déficit budgétaire public qu’il espère résorber par les impôts à long terme. 2. La politique de rigueur A l’inverse, l’Etat peut décider de mener une politique de rigueur, c'est-à-dire augmenter les impôts pour réduire la demande et l’inflation. L’Etat diminue ses dépenses et augmente ses recettes pour

risques. Exemples : les retraites, les indemnités chômage, les prestations familiales, les pensions d’invalidité, le RSA Le Revenu disponible est le revenu qui reste à la disposition des ménages après redistribution, c’est-à-dire après paiement des impôts et des cotisations sociales d’une part et perception des prestations sociales d’autre part. On peut donc le calculer ainsi : Revenu disponible = ………… + ………….. …………… LES REVENUS DES MENAGES : du revenu primaire au revenu disponible Revenus du travail

Un impôt citoyen pour une société plus juste LES ESSAIS Un impôt citoyen pour une société plus juste Fiscalité = choix de société ! Pierre-Alain Muet avec la collaboration de Denis Gettliffe et Guillaume Robert Fiscalité = choix de société ! TOME 1 Un impôt citoyen pour une société plus juste Pierre-Alain Muet avec la collaboration de Denis Gettliffe et Guillaume Robert UN IMPOT CITOYEN POUR UNE SOCIETE PLUS JUSTE SOMMAIRE Parler de fiscalité, c’est parler de nos choix

qualifiés. Alors que la rémunération revenu a des incidences sur l’arbitrage entre travail et loisir. Pour les ressources physiques, l’impôt constitue un élément de coût de ces ressources. On trouve, dans les systèmes fiscaux, des taxes et impôts frappant l’énergie, l’eau, les minerais,etc… Concernant les ressources en savoir, la fiscalité pourrait contribuer à la détermination de l’étendue scientifique » soit par la taxation des équipements, des profits de recherche, soit par les

recettes de 5 façons différentes : Elles paient les salariés Elles achètent des consommations intermédiaires Elles paient des impôts indirects (TVA) Elles paient des intérêts Elles font des profits Au total, on obtient : Chiffre d’affaire - CI = PIB = rémunérations des salariés + profits + paiements d’intérêt + impôts indirects Calcul du PIB : Le PIB peut augmenter : Soit parce que les quantités augmentent Soit parce que les prix des biens augmentent Le PIB nominal mesure la valeur en

Auto-entrepreneur ➢ nombre associés : 1 ➢ Apport : juridiquement pas exigé ➢ Statut dirigeant : Dirigeant entrepreneur ➢ Statut social : travailleurs non salariés ➢ Couverture sociale : travailleur indépendant ➢ Fiscalité : impôt sur le revenu, taxation sur les bénéfices progressifs en fonction de l’ensemble des revenus du foyer fiscal. ➢ Micro social ➢ Micro fiscal ➢ Chiffre d’affaire prestations de services et négoce Attention : Un certain nombre de plafond à

nécessaire car inévitables et on considère que ces dépenses sont improductives, elles ne produisent pas de richesses. D’investissement ou de capital : dépenses qui forment le capital fixe, qui enrichissent. Elles sont productives de richesses et il ne faut pas oublier que pendant très longtemps, l’Etat a été en France le principal investisseur sur le territoire national par le biais de la construction des infrastructures, de l’équipement public… Ces dépenses sont propres aux budgets publics, qui transitent

Investissement (Dépenses) DI = Flux de Trésorerie d’investissement FTI : RI – DI (souvent négatif car plus de dépenses que de recettes) = Flux de Trésorerie disponibles avant impôt FCF : ETE + FTI Charges financières nettes de produit financiers CFPF - Dividendes D - Augmentation de Capital AC (Argent reçu des actionnaires) - Impôt sur les sociétés IS = Flux de Trésorerie de Financement FTF : IS – D – AC - CFPF Si FTF >0 : DEBT Réduction ( Variation de la trésorerie : FTF + FCF Flux de création