Faut Il Combattre Nos Désirs

liberté ne se trouvent jamais ensemble. La liberté est une chose non seulement très belle, mais très raisonnable, et il n'y a rien de plus absurde ni de plus déraisonnable que de former des désirs téméraires et de vouloir que les choses arrivent comme nous les avons pensées. Quand j'ai le nom de Dion à écrire, il faut que je l'écrive, non pas comme je veux, mais tel qu'il est, sans y changer une seule lettre. Il en est de même dans tous les arts et dans toutes les sciences. Et tu veux que sur la plus

désir et la volonté de mettre toutes ses facultés au service de leur satisfaction, de les étendre aux limites du possible pour réaliser nos désirs, y compris ceux qu’on estime, en l’état, impossibles à combler. Entre le désengagement et la recherche effrénée de l’assouvissement, il y a place pour une sagesse raisonnable qui s’efforce d’équilibrer nos désirs et nos moyens d’y satisfaire, volonté et puissance. Ce passage est extrait d’un ouvrage consacré à l’éducation. Rousseau se propose de décrire

est jamais heureux. Non pas parce que le désir ne soit jamais satisfait, la vie n’est pas si difficile à ce point, mais en ceci que, dès qu’un désir est satisfait, il n’y a plus de manque, donc plus de désir. » Combien d’objets ont été dans nos désirs et qui une fois obtenus, sont aujourd’hui dans nos placards. Combien d’amants se seraient donnés la mort plutôt que ne pas obtenir l’Amour de leurs rêves et qui aujourd’hui ne sont plus avec cette personne ? Ce texte a été pour moi un révélateur

un désir qui chercherait sans cesse sa satisfaction. Dès lors, la question se pose de savoir si le désir est la cause de la souffrance ou en est le remède . Il nous restera alors à chercher s'il est possible et même raisonnable de chercher à combattre les désirs par la raison, et quelle forme peut prendre ce combat. Désirer est-ce nécessairement souffrir ? En tant que tension vers un objet qu'on imagine pouvoir être source de plaisir ou de plénitude, le désir -comme le Janus bifrons- recèle une

respecte les désirs et les besoins que celle-ci lui impose. Certains désirs naturels sont essentiels à la survie comme boire ou manger. D’autres sont naturels mais non nécessaires, ils apportent alors le plaisir et donc le « bon ». Le désir sexuel ou la gourmandise sont naturel et apporte une sensation de bien être tant qu’ils restent canalisé et qu’ils ne deviennent pas une source de débauche provoquée par leur poussée à l’extrême. Ainsi, la nature n’est pas à l’origine de certains désirs non nécessaires

passions, de répondre à ses désirs; il parait donc légitime de penser que le désir est une condition nécessaire au bonheur. Mais bonheur et désirs sont-ils compatibles ? Ne faudrait-il pas en réalité supprimer le désir pour être heureux ? Une enquête philosophique s’impose donc afin d’éclairer le rapport entre désir et bonheur. Dans un premier temps, nous verrons que le bonheur peut résider dans la suppression des désirs. Puis nous expliquerons en quoi la modération des désirs peut apparaître comme une

scientifique et sociaux et continuent encore de nos jours avec les moyens modernes : Télé-évangélisme , Activisme anti-IVG qui assassine des médecins, interdiction du port des préservatifs, Kamikaze intégriste, etc etc etc.. Il est donc légitime de les combattre activement. Le satanisme est une « religion » qui prône les plaisirs de la vie et non des rêves spirituels sans but. Les satanistes reconnaissent Satan dans son origine païenne (c'est à dire une force de la nature), comme un principe, ou comme un

l’assouvissement de ce manque. Le désir est donc humain et peut prendre de multiples formes comme celle que Montaigne lui-même énonce « désir de vengeance », désir qui nous pousse à fauter. Dans le  Phèdre  de Platon, l’âme est comparée à un chariot attacher à deux chevaux, l’un fougueux et brutal qui représente les désirs, les passions, l’autre obéissant et doux qui représente la volonté; enfin, le cocher conduisant le char représente la raison. S’il n’en tenait qu’au cocher, il irait

Souvent assimilés à des énergies néfastes, les pulsions étaient synonymes d'échec social, de désordre, de mal être, de folie... Ainsi beaucoup on tenté de supprimer, de combattre ces pulsions. C'est par l'éducation que l'on pense les éradiquer: celle-ci serait intransigeante, sans liberté, avec l’apprentissage de codes sociaux très vigoureux. Parallèlement, Freud, médecin s'intéressant aux maladies psychiques, en particulier les névroses et les psychoses, suivra les cours du très grand médecin Charcot

pommade seulement sur le front d’Yvain alors qu’elle a utilisé toute la pommade et a jeté ensuite la boîte vide : elle dit que son cheval a trébuché et que la boîte est tombée dans l’eau. La dame goba le mensonge et accueilli Yvain en exauçant tous ses désirs. Chapitre 8, Yvain contre le comte Alier.Le comte Alier accompagné de ses chevaliers et de ses sergents pillent le château et tous ses occupants. Yvain les poursuit à cheval. Yvain les rattrape et entame le combat. Yvain est le meilleur de