Faut Il Compter Avec Ou Sans Autrui

politiques : naissance de la cité grecque dont le modèle est Athènes → première cité dans laquelle les citoyens participent aux affaires de la cité directement ou indirectement. Si c'est indirectement, ils devront élire des représentants. Pour cela, il faut avoir le soucis de choisir les meilleurs. Aubenque parle d' « aristocratie élective » : les meilleurs gouvernants , pour avoir été choisi par leurs concitoyens. Nous concevons aujourd'hui la démocratie comme élective. Aristos : capacité de décider/

primordiale, définit le souci fondateur de la philosophie, comme si aucune sagesse n'était possible sans elle. Cependant, pour de nombreux philosophes, il y a un lien entre « autrui » et connaissance de soi ». Dans le texte d'Aristote, il met en évidence que pour apprendre à se connaître il faut inévitablement prendre appuis sur autrui et en particulier nos amis, qui ce dernier diffère de mon semblable mais se rapproche de nous par de nombreux points communs. Nos amis seraient donc indispensable pour la

créancières ou débitrices par l’effet de ce contrat. Le fondement qui en résulte est la liberté contractuelle. Comme la volonté est autonome et peut créer à elle seule un contrat, il faut constater que la personne a émis en ce sens. Il est cependant une exception notable à évoquer, celle de la Stipulation pour autrui. Comme dispose article 1121 du code civil : «  On peut pareillement stipuler au profit d’un tiers, lorsque telle est la condition d’une stipulation que l’on fait pour soi-même ou d’une

Peut-on exister sans les autres?   AUTRE EXEMPLE  DE PLAN SYNTHETIQUE I)   LE SOLIPSISME : UNE HYPOTHESE INTENABLE  I)L’hypothèse  ne serait même pas exprimable II)Le « pour autrui » comme structure de la conscience ( Sartre) III)L’absence est encore un mode de présence.( Il est terrible de se rendre compte qu’on n’existe plus pour les autres alors qu’on pense encore à eux. )            Transition : l’homme n’est pas fait pour vivre seul d’ailleurs…   II) L’ISOLEMENT A DES EFFETS REGRESSIFS

sont commune à l’espèce humaine en laquelle je suis catégorisé, ainsi chacun de nous est représentatif de la race humaine, vous, Moi, Toi, Ils, tous autant que nous sommes sans distinction particulière. Je suis semblable à toi ou lui, semblable à autrui, en quelques sortes à des étrangers, et je suis dans ce même temps si différents, si dissemblant. Dans ce cas, ces dissimilitude de par leur complexité peuvent elles faire en sorte qu’un homme puisse m’être totalement étranger ? Un homme peut il m’être

un automate qui ressemblait à sa fille trop tôt disparue. Ce doute entre vie et non vie. Cette crise de l’identité de l’homme dans ses fondements les plus personnels. Si un être entièrement conçu artificiellement viendrait à prétendre être vivant, faut-il reconsidérer les critères définissant l’humanité ? Où se situe la frontière entre le corps et l’esprit ? Qu’est ce qu’être humain ? Finalement l’individu en tant qu’entité séparée et indépendante d’un tout plus vaste a-t-il une identité propre

vie est pleine d’embûches, mais surtout, qu’il faut avant tout se battre et lutter pour acquérir quelque chose, garder ce quelque chose, ou même qu’il faut se battre dans la vie en général. Mais ces expressions du Café du commerce sont-elles vraiment fondées ou bien se transmettent-elles de génération en génération sans avoir pour autant une raison réelle d’exister ? Pourtant se pose ici, une autre problématique : celle de la reconnaissance par autrui qui vient s’imbriquer avec celle de la lutte.

considère que la notion d'obligation prime sur le droit qui lui est subordonné et relative c'est-à-dire que contrairement au droit, l'obligation existe par elle-même, elle est absolue. Le droit s'articule autour de l’obligation, pour la subordonnée il faut comprendre que le droit est dicté selon le devoir. De plus le droit est relatif, il n'existe pas par lui-même. L'idée commune que le devoir provient d'un droit et inversement, qu'un droit est toujours relatif à l'obligation ainsi opposer dans le

qui ralenti les exportations mondiales). * Le pouvoir d’achat du reste du monde. * Externalités positives : Effet crée par un agent économique lorsqu’il procure à autrui par son activité une utilité, un avantage gratuit. * Externalités négatives : effet crée par un agent économique lorsqu’il génère à autrui, du fait de son activité, un dommage, un effet pervers sans avoir à en supporter le coût. * Croissance endogène : théorie de la croissance expliquant la croissance des économies

il repose sur l'enrichissement procuré à autrui. Mais il est légèrement différent, dans la mesure où il suppose un appauvrissement corrélatif. - enfin le dernier quasi contrat, obéit à sa propre logique, car ici il n'y a pas d'avantage procuré à autrui, ni d'appauvrissement subit. Ici, l'avantage a été attendu, il a été espéré par autrui. En somme, deux distinctions se font jour : - d'une part les quasi-contrats qui reposent sur l'avantage procuré à autrui. - d'autre part les quasi-contrats qui